Alice était absolument enchantée de sa vie universitaire et de toutes les nouvelles opportunités qu'elle avait découvertes. Elle avait fait des rencontres incroyables et avait développé des amitiés qui semblaient durer depuis des années. Mais plus que tout, elle était reconnaissante d'avoir le Professeur Laurent comme mentor et ami. Depuis leur première rencontre, il avait été un soutien inébranlable pour elle et l'avait encouragée dans sa passion pour l'archéologie. Elle se souvenait encore de la première fois qu'elle avait parlé au professeur de ses recherches sur l'Égypte ancienne. Elle avait été tellement nerveuse, mais il avait écouté avec attention et avait immédiatement été impressionné par son enthousiasme et son intérêt pour le sujet. Il l'avait encouragée à poursuivre ses recherches et avait même proposé de lui donner des conseils pour améliorer sa méthode de recherche. Depuis ce jour, le Professeur Laurent avait été un véritable mentor pour Alice. Elle avait appris tellement de choses grâce à lui, des techniques de recherche avancées aux dernières découvertes archéologiques dans le monde entier. Elle avait même assisté à certains de ses séminaires prestigieux, où elle avait rencontré des chercheurs de renommée mondiale et avait discuté de ses propres recherches avec eux. C'était un moment incroyablement excitant pour elle.

C'est d'ailleurs grâce à lui qu'elle avait participé au stage d'une semaine à l'exposition Toutânkhamon Le Trésor du Pharaon à Paris, à la Grande Halle de la Villette. L'exposition Toutânkhamon Le Trésor du Pharaon était fascinante pour Alice. Elle se souvenait de l'excitation qu'elle avait ressentie en entrant dans la Grande Halle de la Villette, où l'exposition avait lieu. Les murs étaient décorés de motifs égyptiens et de représentations de pharaons, créant une ambiance mystique et envoûtante. L'exposition elle-même était magnifique, avec des dizaines de pièces exposées, toutes plus impressionnantes les unes que les autres. Alice se souvenait particulièrement du masque funéraire en or massif de Toutânkhamon, qui était exposé dans une salle à part, sous une lumière tamisée. Le masque était incroyablement détaillé, avec des yeux incrustés de pierres précieuses, une couronne ornée de lapis-lazuli, de cornaline et de turquoise, et une barbe royale en or. Alice avait été captivée par la beauté de l'objet et l'histoire qu'il représentait. Mais il n'y avait pas que le masque de Toutânkhamon qui avait impressionné Alice. L'exposition présentait également des sarcophages, des bijoux, des statuettes, des ustensiles de cuisine et même des jeux de société, tous datant de l'Égypte ancienne. Alice avait passé des heures à admirer chaque objet et à en apprendre davantage sur la culture et la civilisation égyptiennes. L'exposition avait également offert des conférences et des débats sur les dernières découvertes archéologiques en Égypte, auxquels Alice avait assisté avec beaucoup d'intérêt. Pour elle, c'était une occasion unique de rencontrer d'autres passionnés d'archéologie et de discuter de sujets qui l'intéressaient vraiment. Pendant ce stage, elle avait fait la connaissance de Guillaume, le fils du Professeur Laurent, qui travaillait également sur le site.

Alice avait immédiatement sympathisé avec Guillaume, qui partageait sa passion pour l'archéologie et l'histoire de l'Égypte antique. Ils avaient discuté pendant des heures de leurs recherches respectives et de leurs projets d'avenir. Guillaume était un jeune homme de 18 ans, un peu plus grand qu'Alice, mesurant environ 1m80. Il avait les cheveux courts et noirs, des yeux bruns expressifs et un sourire charmeur. Il avait une apparence élancée et musclée, comme s'il avait fait du sport régulièrement. Guillaume avait un style vestimentaire simple et décontracté, souvent habillé en jeans et en t-shirts, mais toujours avec une touche d'élégance qui lui donnait une allure décontractée mais distinguée. Son visage était symétrique, avec des traits réguliers et une expression douce et attentive. Il avait un QI élevé, comme Alice, et partageait sa passion pour l'archéologie et l'histoire.

Après le stage, Alice et Guillaume avaient gardé contact et s'étaient revus plusieurs fois à Strasbourg. Ils étaient devenus de bons amis, partageant des moments de détente, des sorties et des discussions passionnantes sur leur sujet de prédilection.

Pour Alice, cette amitié était une bouffée d'air frais dans sa vie. Elle appréciait la compagnie de Guillaume et se sentait plus confiante dans ses capacités grâce à ses encouragements. Alice n'était pas du genre à tomber facilement sous le charme de quelqu'un, mais quelque chose en Guillaume la faisait chavirer. C'était peut-être son sourire charmeur ou son regard pétillant lorsqu'il parlait de sujets qui le passionnaient. Elle aimait la façon dont il la regardait, comme s'il cherchait à découvrir toutes les nuances de sa personnalité complexe. Alice ne pouvait s'empêcher de se sentir légèrement nerveuse en présence de Guillaume. Elle cherchait toujours à être à son meilleur, à trouver les bons mots pour répondre à ses questions et à être attentive à ce qu'il disait. Parfois, elle se surprenait à rougir en le regardant droit dans les yeux, espérant qu'il ne remarquerait pas son embarras. C'était la première fois qu'elle ressentait un tel émoi envers un homme. Elle sentait son cœur battre plus fort et son corps s'embraser dès qu'il se trouvait près d'elle. Elle se perdait souvent dans son regard profond, ne pouvant s'empêcher de remarquer chaque détail de son visage. Elle essayait de masquer son embarras en détournant les yeux, mais elle ne pouvait pas s'empêcher de rougir en repensant à ses regards échangés avec lui. Elle espérait que Guillaume ne remarquerait pas son trouble, mais elle avait l'impression que chaque fois qu'elle le regardait, il pouvait lire en elle comme dans un livre ouvert. Mais elle gardait ces sentiments pour elle, ne voulant pas risquer de mettre en péril leur amitié naissante. Elle aimait passer du temps avec Guillaume, à discuter de leur passion commune pour l'archéologie et l'histoire de l’Égypte ancienne. C'était une complicité qu'elle appréciait énormément, même si elle ne pouvait s'empêcher de se demander si Guillaume ressentait la même chose pour elle.

Un mois supplémentaire avait passé. L’automne était arrivé et les dernières feuilles mortes tombaient sur le sol telle la flammèche d’une chandelle vacillante. Alice avait continué à voir Guillaume régulièrement. Leur amitié s'était approfondie, et Alice se plaisait de plus en plus en sa compagnie. Cependant, les deux hommes en noir qui l'avaient suivie le jour de son entretien avec le professeur Laurent étaient toujours là, observant chacun de ses mouvements avec une attention soutenue.

Alice avait commencé à se méfier d'eux, mais elle ne savait pas comment agir. Elle avait essayé de les semer plusieurs fois, mais sans succès. Cependant, elle avait remarqué qu'ils portaient un signe distinctif sur leurs costumes, un symboles qui lui étaient familiers.

Elle avait consulté les écrits de sa grand-mère, et finalement, avait découvert que ces hommes étaient membres de l'Ordre des Templiers, une organisation qu'elle avait appris à détester depuis qu'elle avait appris leur rôle dans la corruption de la déesse Isis et qui avait pour symbole : La croix des Templiers

Décidée à découvrir ce qu'ils voulaient, Alice avait commencé à les observer discrètement, notant chaque mouvement, chaque comportement suspect. Elle avait remarqué qu'ils semblaient s'intéresser à tout ce qui concernait l'Égypte antique, à tout ce qui avait trait aux artefacts et aux symboles égyptiens. Elle avait compris que quelque chose se tramait, mais elle ne savait pas quoi.

Elle avait décidé d’en parler à Guillaume pour avoir son avis. Après tout, il était étudiant en histoire, et peut-être qu'il pourrait l'aider à comprendre ce qui se passait. De plus, elle était heureuse de passer du temps avec lui, et se sentait de plus en plus attirée par lui.

Mais comment pouvait-elle lui parler de ça sans paraître paranoïaque ou folle ? Elle avait décidé de rester sur ses gardes, tout en continuant à fréquenter Guillaume. Peut-être qu'il finirait par comprendre ce qui se passait, et l'aiderait à percer le mystère de ces hommes en noir.

Alice se sentait anxieuse à l'idée de révéler à Guillaume la vérité sur les hommes en noir qui la suivaient depuis plusieurs mois. Elle avait peur de passer pour une folle ou de mettre Guillaume en danger. Cependant, elle savait qu'elle pouvait lui faire confiance et qu'il pourrait l'aider. Elle sortit son téléphone mobile et composa le numéro de Guillaume. Après plusieurs sonneries, il répondit :

— Salut Alice, ça va ? répondit-il en chuchotant.

— Salut Guillaume. Je suis un peu anxieuse, est-ce que tu peux venir me retrouver sur la terrasse du café du campus ? J’ai quelque chose d’important à te dire.

— Bien sûr, je suis en cours pour l’instant, mais je peux te rejoindre dans une demi-heure. Est-ce que ça te convient ?

— Oui, parfait, merci Guillaume. C’est vraiment important.

Alice raccrocha le téléphone, le cœur battant la chamade. Elle regarda nerveusement autour d’elle, espérant que les hommes en noir ne soit pas dans le coin. Elle attendit avec impatience l’arrivée de Guillaume, se demandant comment elle allait lui révéler la vérité sans paraître totalement folle.

Alice était habillé d’un magnifique gilet en laine dans les tons rouille et beige orné de motifs géométriques et tribaux qui lui donnent un style bohème et ethnique. Les motifs rappellent des formes de fleurs, de feuilles et de triangles, avec une texture côtelée sur le devant et une texture lisse sur le dos. Le gilet est sans manches et sa coupe est asymétrique, avec des franges sur le bas pour un effet plus original et décontracté. Il est ouvert à l'avant, permettant ainsi de laisser apparaître un t-shirt à manche longue noire. Les fibres de laine du gilet lui confèrent une texture douce et confortable. Il est également parfait pour se protéger du froid tout en restant tendance et stylée. Alice avait choisi de porter son pantalon cargo noir pour sa rencontre avec Guillaume. Ce pantalon était fait d'un tissu épais et résistant qui semblait capable de supporter les aventures les plus périlleuses. Les multiples poches sur les côtés et à l'arrière offraient un espace de rangement pratique pour toutes sortes de petits objets. Les coutures robustes renforçaient l'impression de solidité et de durabilité. Il avait une coupe ample mais ajustée, donnant une allure à la fois décontractée et professionnelle à Alice. La taille haute lui permettait de porter une ceinture, offrant une touche supplémentaire de style. Alice aimait particulièrement la sensation de confort et de liberté de mouvement qu'elle ressentait en portant ce pantalon, comme si elle était prête à partir à l'aventure à tout moment. Elle avait ensuite terminé sa panoplie par une paire de baskets noir on ne peut plus classique. Ses cheveux bruns étaient soigneusement attachés en une queue de cheval laissant seulement sa mèche bleu électrique libre comme le vent. Elle observait les passants tout en sirotant son café chaud sur la terrasse du café du campus sous un léger vent frais d’automne, anxieuse à l'idée de révéler ses secrets à son ami. Guillaume arriva enfin, vêtu d'une veste en cuir noir et d'un jean délavé.

"Salut, Alice, tu as l’air inquiète. Tout va bien ? » demanda-t-il en prenant place en face d’elle.

« Je dois te parler de quelque chose d’important, Guillaume », dit-elle, en prenant son courage à deux mains et regardant autour d’elle pour vérifier que personne ne les écoutait.

Guillaume posa sa main sur celle d’Alice pour la rassurer. « Je suis là pour toi, tu peux tout me dire. »

Alice frissonna de plaisir mais ce n’était pas du tout le moment de succomber à cette tentation mais elle était du coup moins anxieuse. Elle commença à lui parler de ses découvertes sur l’Ordre des Templiers, en décrivant comment elle avait remarqué des hommes en noir la suivant et en révélant leur identité. Guillaume écouta attentivement, sans l’interrompre, hochant la tête de temps en temps. Il ne semblait pas du tout surpris par ce qu’elle lui racontait. Alice réalisa alors qu’il avait peut-être lui aussi des informations sur cette organisation.

« Je savais que tu étais impliqué dans quelque chose de dangereux, Alice », avoua-t-il.

Finalement, Guillaume confirma les soupçons d'Alice en lui révélant qu'il avait lui aussi remarqué les hommes en noir et qu'il avait déjà commencé à faire des recherches car il avait vu un pin’s de l'Ordre des Templiers accroché à leurs vestes de costume. Il expliqua à Alice que cette organisation avait existé au Moyen Âge et qu'elle avait été dissoute par le roi Philippe le Bel en 1312. Cependant, certains affirmaient que l'Ordre avait survécu jusqu'à nos jours dans le plus grand secret.

Alice fut d’abord étonnée d’apprendre que Guillaume avait également remarqué ces hommes la suivaient et soulagée de constater qu'elle n'était pas la seule à se préoccuper des hommes en noir. Elle se sentait en sécurité avec Guillaume à ses côtés. Ils décidèrent de poursuivre leurs recherches ensemble pour en savoir plus sur l'Ordre des Templiers et sur les raisons de leur intérêt pour Alice. Elle était soulagée de ne pas être la seule à avoir remarqué leur présence. Elle se sentait plus en sécurité avec Guillaume à ses côtés. Ils avaient décidé de garder leur découverte pour eux, ne sachant pas à qui ils pouvaient faire confiance.

Ils voulaient en savoir plus sur ces hommes en noir, essayant de comprendre leur but et leurs actions. Ils avaient également commencé à enquêter sur l'histoire des templiers et leur influence dans le passé. Mais pour l'instant, ils se concentraient sur leur vie universitaire. Alice était fascinée par les cours du Professeur Laurent et sa passion pour l'archéologie. Elle avait hâte de commencer à travailler sur des fouilles et à découvrir de nouveaux artefacts.

Guillaume était également très intéressé par l'archéologie, mais il avait d'autres centres d'intérêt, comme la philosophie et la politique. Il avait une vision du monde bien à lui et aimait débattre avec Alice de différents sujets.

Guillaume est une personne profondément optimiste qui croit en l'humanité et en son potentiel. Il a une vision du monde qui peut paraître fantasque ou complotiste pour certains, mais qui pour lui est basée sur une analyse rigoureuse des faits et des informations disponibles. Pour lui, le monde est un lieu de possibilités et de défis à relever. Il est convaincu que l'humanité a un rôle à jouer dans l'évolution de la planète et que chacun de nous peut contribuer à créer un monde meilleur. Cependant, il pense également que l'humanité doit être consciente de ses limites et de ses erreurs, et qu'elle doit apprendre à vivre en harmonie avec la nature. Guillaume a une vision de la politique qui est centrée sur la justice sociale et l'égalité. Il croit que les gouvernements doivent travailler pour le bien commun et non pour les intérêts d'une élite. Il estime que la démocratie participative où chaque citoyen aurait son mot à dire est la meilleure façon de garantir la participation de tous à la prise de décision et que chaque individu doit être écouté et respecté. En termes de philosophie, Guillaume est un grand admirateur des penseurs de la Grèce antique, en particulier Pythagore, qui a développé le concept du nombre d'or. Selon Guillaume, le nombre d'or est une clé importante pour comprendre les mystères de l'univers et de la vie. Il croit que le nombre d'or est présent dans toutes les choses, de la beauté de l'art à la structure des molécules. En fin de compte, la vision du monde, la philosophie et la politique de Guillaume peuvent sembler idéalistes ou utopiques pour certains, mais pour lui, ce sont des idées pratiques et réalisables qui peuvent aider à créer un monde meilleur pour tous. Sa personnalité fantasque est en réalité une qualité qui lui permet de voir les choses sous un angle différent et de trouver des solutions novatrices aux problèmes les plus complexes.

Alice apprécie énormément la personnalité fantasque et électron libre de Guillaume. Elle admire sa curiosité et sa passion pour l'histoire, l'archéologie et les mystères du monde. Son approche unique et sa pensée en dehors de la boîte « Système » intriguent Alice, qui trouve souvent ses idées rafraîchissantes et stimulantes.

Pour Alice, Guillaume est un véritable innovateur qui apporte une nouvelle perspective aux sujets qu'ils discutent ensemble. Elle trouve sa vision du monde et sa philosophie de vie inspirantes et fascinantes, même si elles sont souvent considérées comme controversées ou marginales. Alice se sent connectée à Guillaume sur un niveau intellectuel et émotionnel profond, et apprécie la façon dont il la pousse à sortir de sa zone de confort et à explorer de nouvelles idées et concepts. Elle admire son courage de s'exprimer et de défendre ses convictions, même si elles sont en conflit avec les idées populaires. Pour elle, Guillaume est un véritable esprit libre et un leader créatif qui l'inspire à penser différemment et à envisager le monde sous un nouveau jour.

Au fil des jours, ils étaient devenus très proches, partageant leurs passions et découvertes. Elle se sentait submergée par une émotion qu'elle n'avait jamais connue auparavant. Chaque fois qu'elle était en présence de Guillaume, son cœur battait plus fort et plus vite. Elle était terrifiée à l'idée de perdre cette amitié naissante si elle avouait ses sentiments à Guillaume. Elle avait décidé de garder ses sentiments, mais elle ne pouvait s'empêcher de le regarder avec des yeux énamourés. Elle espérait qu'un jour, peut-être, Guillaume se rendrait compte de ses sentiments et que leur amitié se transformerait en quelque chose de plus fort. Mais pour l'instant, elle préférait continuer à rêver en secret.

Alice se sentait émerveillée en présence de Guillaume. Dès qu'elle le voyait, son cœur battait plus fort et elle avait l'impression que le temps s'arrêtait. Elle aimait sa façon d'être, fantasque et passionné, toujours prêt à suivre ses intuitions les plus folles. Elle appréciait sa curiosité intellectuelle et sa façon de remettre en question les idées reçues. Elle aimait particulièrement ses yeux, qui semblaient refléter une profondeur insondable. Elle aimait la façon dont il la regardait, comme s'il était capable de lire en elle comme dans un livre ouvert. Elle aimait aussi sa voix, douce et rassurante, qui la réconfortait à chaque fois qu'elle en avait besoin. Chaque fois qu'elle était en sa compagnie, elle avait l'impression de vivre un rêve éveillé. Elle se sentait en sécurité et aimée, et elle savait qu'elle pouvait tout lui confier sans crainte d'être jugée. Elle aimait être près de lui, sentir sa chaleur et sa présence rassurante. Alice se surprenait à penser à lui dans la journée ou dans la nuit, à imaginer leur futur ensemble, à rêver de tous les moments heureux qu'ils pourraient partager. Elle se sentait chanceuse d'avoir rencontré quelqu'un d'aussi spécial et elle était déterminée à faire tout ce qui était en son pouvoir pour le garder à ses côtés. Ses premiers sentiments pour Guillaume étaient faits de fascination, d'admiration et d'un amour grandissant, teinté de romantisme et de rêverie. Mais pour l'instant, elle était heureuse de passer du temps avec lui et de découvrir le monde passionnant de l'archéologie.

Quelques jours passèrent, le froid s'installa progressivement dans la ville et les premières neiges commencèrent à tomber. Alice était en train de réviser ses cours lorsqu'elle reçut un appel de Guillaume. Alice était ravie de recevoir l'appel de Guillaume, mais elle était également surprise et hésitante. Elle lui demanda :

« Un réveillon de Noël dans la classe du Professeur Laurent avec les étudiants étrangers ? C’est une excellente idée, mais je ne suis pas certain que j’ai quelque chose à porter pour l’occasion. »

Guillaume lui répondit : « Ne te stresse pas pour ça. Trouve quelque chose de sympa à enfiler et je suis sûr que tu seras parfaite. »

Alice, étonnée, demanda : « Comment ça, ne t’inquiète pas pour ça ? Tu veux dire que je devrais m’attendre à un cadeau surprise de ta part ? »

Guillaume rit et répondit : « Peut-être bien… mais ça dépendra de ta tenue ! »

Alice, à la fois amusée et intriguée, accepta finalement l’invitation de Guillaume.

Alice était surprise et en même temps ravie de cette invitation. Elle avait hâte de découvrir la classe du Professeur Laurent dans un contexte différent de celui des cours magistraux. Elle accepta donc l'invitation de Guillaume et se mit en quête d'un cadeau pour le Professeur. Alice parcourut les boutiques, en quête d'un cadeau qui plairait au Professeur Laurent. Elle finit par trouver une belle édition reliée de l'un de ses livres préférés sur l'Égypte ancienne. Elle était convaincue que le Professeur serait ravi de ce cadeau, étant donné sa passion pour cette civilisation. Cependant, alors qu'elle continuait sa recherche de cadeaux, elle remarqua une magnifique robe de soirée exposée dans une vitrine. Elle se rappela alors que le réveillon de Noël approchait et qu'elle n'avait rien prévu pour l'occasion. Elle entra dans la boutique et essaya la robe. C'était une robe longue, rouge foncé, avec un décolleté plongeant et une fente sur le côté. Elle se regarda dans le miroir, émerveillée par sa beauté et sa silhouette flatteuse. Elle savait que cette robe serait parfaite pour l'occasion. Alice décida alors de se faire plaisir et d'acheter la robe, ainsi que le livre pour le Professeur Laurent. Elle sortit de la boutique, les sacs remplis de cadeaux, le sourire aux lèvres et l'excitation de la soirée qui approchait.

Le soir de Noël, Alice arriva dans la classe du Professeur Laurent. La salle avait été transformée pour l'occasion : des guirlandes de Noël étaient accrochées aux murs, une table avait été dressée au centre de la pièce et des bougies étaient disposées sur les étagères. Les étudiants étrangers étaient tous là, avec des plats et des boissons à partager.

Alice portait une robe de soirée noire élégante qui mettait en valeur sa silhouette fine et gracieuse. La robe était ajustée au niveau du buste, avec une encolure en V plongeante et des bretelles fines qui dégageaient ses épaules. Le tissu fluide de la robe tombait en cascade jusqu'à ses pieds, avec une fente sur le côté qui dévoilait sa jambe délicatement galbée. Ses cheveux châtains étaient coiffés en chignon, laissant quelques mèches encadrer son visage. Elle avait opté pour un maquillage léger mais élégant, avec un rouge à lèvres rouge foncé qui faisait ressortir ses lèvres pulpeuses. Les bottes cuissardes lacet talons hauts que porte Alice au réveillon de Noël sont tout simplement magnifiques. Elles sont en simili cuir noir brillant, avec des lacets sur le devant pour un ajustement parfait. Les lacets ajoutent également une touche de style, donnant un look sexy et audacieux à la fois. Les talons hauts d’une dizaine de centimètres sont fins et élégants ce qui ajoute à la silhouette élancée d'Alice.

Guillaume, timide, accueillit Alice en rougissant légèrement : « Euhm… Salut Alice. Tu es… Tu es vraiment magnifique ce soir. J’avais raison de te faire confiance pour ta tenue. »

Alice rougit légèrement, mais se sentit flattée par le compliment. Elle répondit : « Merci, tu n'es pas mal non plus dans ton costume noir. »

Guillaume portait un costume noir impeccablement taillé qui soulignait sa silhouette athlétique. Sa chemise blanche était parfaitement repassée et ornée d'une cravate noire assortie. Ses chaussures noires brillaient comme des miroirs, témoignant de l'attention qu'il avait portée à sa tenue pour cette soirée particulière. Ensemble, Alice et Guillaume formaient un couple élégant et raffiné qui ne manquait pas d'attirer les regards.

Alice fut accueillie chaleureusement par le Professeur Laurent, qui lui fit la bise en guise de bienvenue. Elle remarqua également que Guillaume avait préparé un petit cadeau pour le Professeur : un coffret comprenant un livre et un double DVD collector du documentaire « Bâtisseurs de l’Ancien Monde ».

Au fil de la soirée, Alice discuta avec les autres étudiants étrangers et apprit beaucoup sur leurs cultures respectives. Elle se sentait heureuse de faire partie de cette communauté et de partager un moment convivial avec des personnes de différents horizons.

La soirée de Noël chez le Professeur Laurent était un moment de partage et de convivialité. Parmi les invités, il y avait des étudiants étrangers venus des quatre coins du monde. La Chinoise, prénommée Li, était une jeune fille timide et réservée, qui avait du mal à s'exprimer en français. Elle portait une robe rouge qui mettait en valeur sa peau dorée et ses longs cheveux noirs. Le Japonais, Hiro, avait un visage fin et des yeux en amande qui lui donnaient un air mystérieux. Il avait apporté des spécialités culinaires de son pays, qu'il avait préparées avec soin. L'Américaine, Sarah, était grande et blonde, avec des yeux bleus qui pétillaient de malice. Elle était très communicative et avait déjà lié des amitiés avec plusieurs des invités. La Tunisienne, Amira, était élégante dans sa robe noire à dentelle. Elle avait des yeux foncés et brillants qui reflétaient son intelligence et sa curiosité. Enfin, l'Africain du Sud, Thabo, avait une carrure imposante et une voix grave. Il était très sociable et avait une joie de vivre contagieuse.

Les étudiants étrangers étaient tous très heureux d'être là, de partager ce moment ensemble et de découvrir les traditions françaises de Noël. Ils discutaient, riaient, échangeaient sur leur culture respective et sur leur expérience d'étudiant à l'université de Strasbourg. Ils dégustaient les mets délicieux préparés par le Professeur Laurent et par chacun des invités. Les conversations étaient animées, parfois en français, parfois en anglais, mais toujours dans une ambiance chaleureuse et amicale.

Alice et Guillaume, quant à eux, étaient très proches l'un de l'autre, comme deux amoureux inséparables. Ils discutaient à voix basse, souriant l'un à l'autre, échangeant des regards complices. Ils étaient tous les deux heureux de partager ce moment ensemble, entourés de leurs amis, de leur famille de cœur.

Les lumières tamisées de la salle de classe rendaient l'ambiance feutrée et chaleureuse. Alice se sentait merveilleusement bien aux côtés de Guillaume, assise à une table décorée de guirlandes de Noël scintillantes. Les conversations animées des étudiants étrangers résonnaient autour d'elle, mais son attention était complètement focalisée sur Guillaume.

Il était assis juste en face d'elle, le visage légèrement éclairé par la lueur des bougies posées sur la table. Son sourire charmant et sa timidité touchante ne faisaient que renforcer l'attirance d'Alice pour lui. Elle avait remarqué qu'il avait parfois du mal à trouver ses mots, mais cela ne faisait que le rendre plus adorable à ses yeux. Le repas de Noël était délicieux, chaque bouchée était un enchantement pour les papilles. Alice était heureuse de partager ce moment de convivialité avec les autres étudiants et le professeur Laurent, mais ce qui la rendait vraiment heureuse était d'être aux côtés de Guillaume.

Au fil de la soirée, elle avait remarqué qu'il avait fini par se détendre un peu plus en sa présence. Ils avaient échangé des regards timides et des sourires complices, ce qui avait suffi à faire battre le cœur d'Alice un peu plus fort. C'est alors que Guillaume s'était levé, presque maladroitement, pour aller chercher un verre d'eau. Il était revenu vers elle, la regardant droit dans les yeux, comme s'il avait quelque chose d'important à lui dire. Et c'est à ce moment-là qu'elle avait ressenti une douce chaleur envahir tout son corps, alors qu'il prenait sa main dans la sienne et la serrait légèrement. Alice n'avait pas pu s'empêcher de rougir, mais elle savait que ce qu'elle ressentait pour Guillaume était réel et sincère. Ils avaient ensuite discuté un peu plus, échangeant des anecdotes sur leurs vies respectives, tout en continuant à partager les mets délicieux du repas. À la fin de la soirée, Guillaume l'avait raccompagnée jusqu'à sa chambre sur le campus, sans quitter sa main une seule fois.

La soirée se poursuivit tard dans la nuit, les étudiants étrangers et les invités du Professeur Laurent partageant des histoires, des anecdotes et des souvenirs puis des chants de Noël, des danses et des échanges de cadeaux. Les visages étaient illuminés de sourires, de joie et d'amitié. Tout le monde était heureux d'avoir partagé ce moment unique, à la fois intime et universel, qui célébrait l'amitié, l'amour et la vie. Alice se sentait comblée par cette expérience et se promit de rester en contact avec ses nouveaux amis, même après la fin de ses études.

Guillaume raccompagna Alice dans sa chambre sur le campus à 3 heures du matin. Les rues étaient vides et silencieuses, recouvertes d'une fine couche de neige fraîchement tombée. Les lumières des réverbères donnaient une ambiance tamisée à l'ensemble, accentuant l'aspect romantique de la promenade nocturne.

Arrivés devant sa porte de chambre, Alice se tourna vers Guillaume, le remerciant pour la soirée et pour avoir été si gentil avec elle. Ils restèrent un instant immobiles, se regardant droit dans les yeux, sans savoir quoi dire. Finalement, Guillaume brisa le silence en lui souhaitant bonne nuit, lui offrant un sourire timide avant de se retourner pour s'en aller. Alice le regarda partir, se mordant la lèvre inférieure, sentant son cœur battre la chamade. Elle savait que quelque chose avait changé entre eux, mais elle ne pouvait pas mettre le doigt dessus. Alice était rentrée dans sa chambre, les yeux brillants et le cœur gonflé d'amour pour Guillaume. Elle savait maintenant que quelque chose de spécial s'était produit entre eux, et elle avait hâte de voir ce que l'avenir leur réservait. Elle se laissa tomber sur son lit, perdue dans ses pensées.

Guillaume se tenait là, devant la porte de la chambre d'Alice, nerveux et hésitant. Il avait voulu partir directement après l'avoir raccompagnée, mais quelque chose en lui l'avait poussé à revenir. Il toqua donc timidement à la porte, sachant pertinemment qu'il risquait de la réveiller. Il attendit un moment avant d'entendre la voix d'Alice, endormie, lui demandant qui était là.

" C'est moi, Guillaume ", répondit-il doucement.

Alice se leva rapidement, étonnée de le voir là. Guillaume ne savait pas quoi dire, mais il avait besoin de parler à Alice. Ils commencèrent à discuter vaguement de tout et de rien, cherchant leurs mots, et finalement, Guillaume s'avança doucement vers Alice.

Elle était tellement surprise qu'elle ne pouvait pas bouger, et elle fixait Guillaume intensément. Il se rapprocha encore d'elle, jusqu'à ce qu'il puisse sentir son souffle chaud sur son visage. Alice avait le cœur qui battait la chamade, elle n'arrivait pas à croire ce qui était en train de se passer.

Et puis, sans prévenir, Guillaume l'embrassa timidement. Alice ne s'y attendait pas, mais elle se laissa aller, répondant doucement à son baiser. Tout son corps était en feu, et elle se sentait submergée par une vague de désir et de passion. C'était comme si tout ce qu'elle avait ressenti pour Guillaume depuis leur rencontre était subitement devenu concret. Elle avait toujours su qu'il y avait une connexion spéciale entre eux, mais maintenant, elle le ressentait dans chaque fibre de son être. Le baiser de Guillaume était doux et tendre, mais il y avait aussi une passion profonde et intense derrière. Alice pouvait sentir son amour pour elle à travers chaque caresse, chaque mouvement, chaque souffle. Ils restèrent ainsi pendant plusieurs minutes, se caressant doucement, se découvrant l'un l'autre. Alice se sentait tellement en sécurité dans les bras de Guillaume, comme si elle avait enfin trouvé sa place dans le monde. Finalement, ils se séparèrent doucement, chacun reprenant son souffle. Ils se regardèrent dans les yeux, sans dire un mot, juste en ressentant l'amour qui les unissait. Alice savait maintenant, sans aucun doute, qu'elle aimait Guillaume et que rien ne pourrait jamais changer cela. Elle était enfin heureuse, en paix avec elle-même et le monde qui l'entourait. La neige continuait de tomber doucement à l'extérieur, et Alice avait l'impression que tout était parfait dans ce moment, comme si rien ne pouvait perturber leur bonheur. Ils s'embrassèrent encore une fois, doucement, et Guillaume laissa échapper un petit soupir. "Je t'aime Alice, et je veux que tu saches que je serai toujours là pour toi.", murmura-t-il doucement. Alice sourit, les yeux brillants. " Moi aussi, je t'aime ", répondit-elle. Ils s'embrassèrent une dernière fois avant que Guillaume ne quitte la chambre d'Alice, se promettant de se revoir bientôt.

Alice était allongée sur son lit, les yeux rivés au plafond, perdue dans ses pensées. Elle ne pouvait s'empêcher de repenser aux moments passés avec Guillaume, à ses sourires timides et à ses regards en coin qui la faisaient fondre. Elle était si heureuse d'avoir enfin trouvé quelqu'un qui la comprenait et qui partageait ses passions. Malgré la fatigue qui la gagnait peu à peu, Alice ne pouvait pas fermer les yeux. Elle se mit alors à fixer la petite statue de Toutou, le dieu des rêves, posée sur sa table de nuit. Elle se rappelait avoir lu quelque part que les anciens Égyptiens croyaient que ce dieu sphinx pouvait aider les mortels à trouver le sommeil et à leur apporter des rêves prophétiques. Alice se laissa alors envahir par la douce chaleur des couvertures et se mit à penser à Guillaume. Elle se rappela chaque instant de leur soirée ensemble, la sensation de ses lèvres sur les siennes, la manière dont il la regardait, la façon dont il avait tenu sa main tout au long de la soirée. Elle sourit, heureuse de sentir que quelque chose de fort était en train de naître entre eux. Et puis, peu à peu, Alice sentit que la fatigue l'emportait. Ses yeux se fermèrent alors que les premières lueurs de l’aurore traversèrent les terres enneigés de l’Alsace et elle se mit à sombrer lentement dans un sommeil paisible. Elle se mit à rêver d'un monde merveilleux où elle et Guillaume étaient ensemble, explorant des contrées lointaines, découvrant des trésors cachés, et vivant des aventures incroyables. Toutou, le dieu des rêves, veillait sur elle, lui assurant un sommeil paisible et doux.

Alice se réveilla lentement, bercée par les doux rayons du soleil qui se faufilaient à travers les rideaux de sa chambre. Elle prit une profonde inspiration et se sentit bien. Elle se souvint alors de la soirée de la veille, du réveillon de Noël avec Guillaume et le professeur Laurent. Un sourire se dessina sur ses lèvres lorsqu’elle pensait aux douces lèvres de Guillaume. Elle se leva et se dirigea vers la fenêtre pour observer le paysage blanc dehors. Les premières neiges de l'hiver avaient recouvert le campus, ajoutant une touche de magie à l'atmosphère déjà féerique de la période de Noël. Alice se sentait légère, heureuse et amoureuse. Elle se prépara pour la journée, prenant soin de mettre une tenue confortable pour se promener avec Guillaume dans le parc du campus. Pour cette première sortie avec son amour dans le campus enneigé, Alice porte un bonnet noir en laine avec une petite pompon blanc sur le dessus, assorti à des gants en laine noirs. Elle a également enfilé un manteau long et chaud de couleur noire, avec une ceinture pour marquer sa taille fine. Sous son manteau, elle porte un pull en cachemire bleu marine qui met en valeur ses yeux. Pour le bas, Alice a opté pour un jean noir moulant qui lui va à merveille, ainsi que des bottes en cuir noir à talons. Elle a également attaché une écharpe en laine bleue claire autour de son cou, qui contraste joliment avec la couleur de ses cheveux. Enfin, elle a laissé sa mèche bleu électrique légèrement visible sous son bonnet, donnant une touche originale à sa tenue. Elle n'avait pas encore décidé de ce qu'elle voulait faire aujourd'hui, mais elle était sûre que le temps passerait agréablement en compagnie de Guillaume. Alors qu'elle sortait de sa chambre, elle croisa Li, Hiro, Sarah, Thabo et Amira, ses amis étrangers qu'elle avait rencontré lors du réveillon de Noël. Elles semblaient toutes ravies et lui souhaitèrent joyeux Noël. Alice répondit avec un sourire et continua son chemin. Elle retrouva Guillaume à l'entrée du campus. Guillaume est habillé d'un manteau noir en laine épaisse avec un col montant pour se protéger du froid. Il porte également une écharpe grise qui encadre son visage, le protégeant du vent glacial. En dessous, il a une chemise blanche et un pull en laine noire qui le maintient au chaud. Pour le bas, il porte un jean noir et des bottes de randonnée marron qui lui permettent de marcher dans la neige sans glisser. Le froid de l'hiver ne semble pas affecter Guillaume, mais il se blottit tout de même contre Alice, cherchant sa chaleur. Son sourire charmeur est présent, mais il semble aussi un peu timide et nerveux en même temps, montrant à quel point il est amoureux. Ses yeux bruns expressifs sont fixés sur Alice avec affection, et il prend sa main dans la sienne avec douceur, comme s'il avait peur de la perdre. Malgré son apparence fantasque et complotiste, il était un homme sensible et aimant. Ils partirent se promener main dans la main. Ils s'arrêtèrent à plusieurs reprises pour admirer les décorations de Noël et échanger des anecdotes sur leurs souvenirs de Noël d'enfance. Alice se sentait comblée de bonheur en compagnie de Guillaume. Elle n'avait jamais rencontré quelqu'un d'aussi fascinant et différent des autres. Leur complicité était palpable, leur amour grandissant de jour en jour. Le temps fila à toute allure et ils finirent par rentrer, épuisés mais heureux de cette journée passée ensemble.

Les sorties entre Alice et Guillaume entre Noël et Nouvel An étaient des moments de pure magie pour elle. Ils se promenaient dans les rues illuminées de la ville, main dans la main, en discutant de tout et de rien. Guillaume avait l'art de la faire rire et de la mettre à l'aise, même dans les moments les plus stressants.

Ils avaient décidé de visiter les différents marchés de Noël de la ville et de goûter aux spécialités culinaires locales. Alice était enchantée de découvrir de nouveaux plats, de nouvelles saveurs et de partager ces moments avec Guillaume. Ils se réchauffaient les mains autour de tasses de vin chaud tout en admirant les magnifiques décorations et les illuminations. Leur dernière sortie ensemble avant le réveillon du Nouvel An était particulièrement magique. Ils étaient allés se promener en forêt pour profiter de la beauté de l'hiver et des paysages enneigés. Guillaume avait préparé une thermos de chocolat chaud et des biscuits faits maison pour leur pause goûter. Ils s'assirent sur un tronc d'arbre, et Guillaume la prit dans ses bras pour la réchauffer. Alice sentit alors son cœur battre la chamade, et se demanda si Guillaume ressentait la même chose qu'elle. Leurs regards se croisèrent et il lui sourit doucement, comme pour répondre à sa question silencieuse puis l’embrassa amoureusement sur les lèvres. Elle se blottit contre lui, sentant la chaleur de son corps et le bonheur qui l'envahissait. Ils rentrèrent à la tombée de la nuit, fatigués mais heureux de cette journée inoubliable. Alice se rendit compte qu'elle était amoureuse de Guillaume et que ce sentiment était partagé. Elle avait hâte de passer le réveillon du Nouvel An avec lui et de commencer une nouvelle année ensemble.

Le jour du réveillon du Nouvel An arriva. Alice et Guillaume se réveillèrent tôt ce jour-là, remplis d'excitation à l'idée de célébrer le Nouvel An ensemble. Ils avaient prévu une journée tranquille dans le campus enneigé, mais ne savaient pas encore que leur journée allait prendre une tournure inattendue. Après une promenade romantique main dans la main, ils décidèrent de se diriger vers la bibliothèque privée du Professeur Laurent pour s'amuser à chercher des livres sur l’Égypte ancienne. Guillaume avait accès à la bibliothèque grâce à la bénédiction du Professeur Laurent, qu'il avait rencontré à la soirée de Noël. Le Professeur Laurent avait en effet remarqué l'intérêt de Guillaume pour l’Égypte ancienne et avait accepté de lui donner un accès privilégié à sa bibliothèque. Ils entrèrent dans la salle de classe qui servait de bibliothèque privée du professeur et commencèrent à chercher des livres. Soudain, Guillaume trébucha sur un tapis et se rattrapa à une étagère. En essayant de reprendre son équilibre, il fit tomber une grosse boîte en bois et fer forgé qui était posée sur une étagère. La boîte s'ouvrit et trois artefacts magnifiques en tombèrent : l'œil d'Horus, les ailes d'Isis et le sceptre d'Osiris. Alice et Guillaume restèrent bouche bée devant ces objets fascinants fais d’or et de pierres précieuses. Ils avaient étudié l’Égypte ancienne pendant des années, mais n'avaient jamais rien vu de tel. Les objets semblaient avoir une aura mystique qui les entourait.

Alice s'approcha de l'œil d'Horus et ressentit une étrange sensation de chaleur dans ses mains. Elle le prit et leva les yeux pour le regarder. Elle était captivée par la beauté de l'objet, qui était fait d'un matériau brillant et resplendissant. Guillaume, quant à lui, avait les yeux rivés sur les ailes d'Isis. Il avait étudié ces ailes pendant des années, mais n'avait jamais pensé qu'il les verrait un jour de ses propres yeux. Il les toucha avec précaution, comme s'il avait peur de les briser. Soudain, ils entendirent un bruit derrière eux. Le Professeur Laurent était entré dans la salle de classe et les avait surpris en train de toucher les artefacts. Alice et Guillaume étaient terrifiés à l'idée de se faire réprimander par le professeur. Mais au lieu de cela, il sourit et leur demanda s'ils voulaient en savoir plus sur ces artefacts. Le Professeur Laurent leur expliqua alors que ces artefacts étaient en réalité des objets magiques qui étaient capables de ressusciter la déesse Isis. Il leur dit que ces objets avaient été cachés pendant des siècles, et qu'il avait lui-même passé sa vie à les rechercher. Il ajouta qu’il était la réincarnation d’Osiris, le Dieu des morts.

Alice et Guillaume étaient abasourdis. Ils avait découvert quelque chose de tellement incroyable. Et le Professeur Laurent qui leur dit qu'il est la réincarnation d'Osiris, le mari d'Isis. Même Guillaume, son propre fils ignorait cela et était profondément choqué par cette information.

Alice et Guillaume restaient bouche bée, incapables de dire un mot. Le Professeur Laurent venait de révéler un secret extraordinaire, impensable. Guillaume, qui croyait tout connaître de son père, était choqué et demanda, la voix tremblante : « Papa, c’est vrai ? Tu es vraiment la réincarnation d’Osiris ? ». Le Professeur Laurent acquiesça lentement, l’air grave : « Oui, mon fils. C’est une lourde responsabilité, mais c’est la vérité. J’ai gardé ce secret pendant trop longtemps, mais il est temps que tu le saches. » Alice, qui ne savait pas quoi dire, fixait le Professeur Laurent, émerveillée et effrayée à la fois. « C’est incroyable, murmura-t-elle finalement. Je n’arrive pas à y croire. »

Alice et Guillaume écoutèrent le professeur Laurent avec attention. Il leur raconta comment, lors d'une fouille dans un tombeau à Karnak, il avait touché un objet inconnu et avait soudain ressenti une étrange sensation dans tout son corps. Au fil du temps, il avait commencé à avoir des visions et des souvenirs de l'époque de l'Égypte antique, où il était Osiris, le dieu des morts. Le professeur Laurent expliqua que cela avait changé sa vie de manière irréversible. Il avait commencé à se comporter différemment, à avoir des dons et des capacités extraordinaires, ainsi qu'une connaissance profonde de l'histoire et de la culture de l'Égypte antique. Il avait d'abord gardé cela pour lui, craignant d'être considéré comme fou, mais il avait finalement décidé en cet instant de partager son secret avec son fils et sa meilleur étudiante en qui il avait une totale confiance. Ils étaient tous deux fascinés par l'histoire du professeur Laurent. Ils avaient du mal à croire que leur professeur d'archéologie était en réalité la réincarnation d'un dieu égyptien. Ils lui posèrent de nombreuses questions et le professeur Laurent répondit avec patience et passion, partageant avec eux tout ce qu'il avait appris et découvert au fil des ans. Le professeur leur montra ensuite les trois artefacts magiques : l'œil d'Horus, les ailes d'Isis et le sceptre d'Osiris. Il leur expliqua que chacun de ces objets avait le pouvoir de ressusciter définitivement la déesse Isis, mais que pour cela, ils devaient être utilisés ensemble et en présence d'une personne qui était la réincarnation d'Osiris dans une pièce secrète de la pyramide de Khéops, la plus grande pyramide d’Égypte qui se trouve sur le plateau de Gizeh. Alice et Guillaume sortirent de la conversation avec une nouvelle perspective sur leur professeur et sur l'histoire de l'Égypte antique. Ils avaient encore du mal à croire que le professeur Laurent était réellement Osiris, mais ils ne pouvaient nier que sa passion et son expertise pour l'archéologie étaient inégalées.

Alice et Guillaume étaient toujours sous le choc de leur découverte. Ils avaient du mal à croire que le professeur Laurent était la réincarnation d'Osiris, et qu'il avait gardé secret l'existence des artefacts magiques pendant toutes ces années. Alice savait que la magie existait, mais elle était encore plus convaincue maintenant que la légende de la déesse Isis que sa grand-mère lui racontait pouvait être vraie.

Ils étaient assis dans la salle privée du Professeur Laurent, entourés de livres et d'artefacts égyptiens. Alice évoqua l'impossibilité d'entrer dans la pièce secrète de la pyramide de Gizeh, où les artefacts devaient être placés pour ressusciter la déesse Isis. « Comment pouvons-nous espérer sauver le monde si nous ne pouvons même pas accéder à cet endroit qui est surveillé nuits et jours par l’armée égyptienne avec l’autorisation de tirer à vue ? » s'exclama-t-elle, avec une pointe de frustration dans la voix.

Le Professeur Laurent posa doucement sa main sur son épaule. « Alice, c’est vrai que l’entrée de la pyramide est interdite, mais nous ne pouvons pas abandonner. Nous devons continuer à chercher une solution. »

Guillaume ajouta : « Mais comment allez-vous faire pour entrer dans la pyramide sans vous faire prendre ? »

Le professeur Laurent leur expliqua qu’il avait passé des années à chercher l’entrée secrète menant à l’intérieur de la pyramide, mais en vain. « Mais je ne baisserai pas les bras, » continua-t-il, « nous chercherons la pièce secrète lors de notre expédition sur le plateau de Gizeh en avril prochain. »

Alice et Guillaume hochèrent la tête, conscients que le professeur était déterminé à accomplir cette mission coûte que coûte. Ils se promirent de l’aider autant qu’ils le pouvaient et de garder le secret sur leur découverte pour protéger leur sécurité ainsi que celle du Professeur Laurent.

De plus, à ce moment, ils étaient tout aussi impatients que lui de partir à la recherche de cette pièce secrète, mais ils savaient que cela allait être dangereux. Ils décidèrent donc de ne pas en parler à qui que ce soit, pas même à leurs amis proches, pour éviter tout risque. Ils se prenaient machinalement par la main. Le Professeur Laurent observa attentivement le geste d'Alice et Guillaume qui se tenaient la main. Il fut surpris de cette proximité entre eux et décida de poser la question qui lui brûlait les lèvres.

« Vous deux, êtes-vous ensemble ? » demanda-t-il curieusement.

Alice et Guillaume se regardèrent timidement, rougissant légèrement. Ils ne s’attendaient pas à cette question, mais leurs regards en disaient long sur leurs sentiments mutuels.

« Je suppose que oui, nous sommes ensemble, » répondit Guillaume, essayant de cacher son émotion.

« Nous sommes encore au début de notre relation, mais nous sommes heureux ensemble, » ajouta Alice avec un sourire timide.

Le Professeur Laurent sourit, ravi de leur réponse. Il avait aperçu comment ils se regardaient depuis le début de leur rencontre et était heureux de voir qu’ils avaient finalement trouvé l’amour ensemble.

« Je suis ravi pour vous deux. L’amour est l’une des plus belles découvertes que l’on peut faire dans la vie, » dit-il en souriant.

Alice et Guillaume acquiescèrent timidement, leurs mains toujours entrelacées. Ils se sentaient un peu gênés d’avoir révélé leur relation, mais ils étaient également soulagés que le Professeur ne les juge pas.

La matinée étaient déjà bien entamée, Alice et Guillaume décidèrent de passer le reste de la journée ensemble. Ils se promenèrent dans la ville enneigée, main dans la main, parlant de tout et de rien, mais surtout de leur découverte incroyable. Ils se sentaient libres et heureux, comme si rien ne pouvait les arrêter.

Ils passèrent la soirée dans un restaurant romantique, savourant un délicieux dîner et échangeant des regards amoureux. Le repas du nouvel an dans le restaurant était un vrai festin pour les sens. Les tables étaient dressées avec soin, des nappes blanches immaculées, des chandeliers élégants et des décorations de Noël scintillantes. Les serveurs étaient habillés en costume noir et blanc, et couraient entre les tables avec des plateaux de nourriture. En entrée, Alice et Guillaume dégustèrent une délicieuse salade de fruits de mer, accompagnée d'un verre de vin blanc sec. Le plat principal était un succulent filet de bœuf, tendre et juteux, servi avec des légumes croquants et une purée de pommes de terre onctueuse. Ils partagèrent également une bouteille de vin rouge corsé pour accompagner le repas. Pour le dessert, Alice et Guillaume optèrent pour une assiette de fromages fins, suivie d'un dessert succulent et léger : une mousse au chocolat noir riche et crémeuse, agrémentée de copeaux de chocolat et de fruits frais. Tout au long du repas, Alice et Guillaume échangèrent des regards amoureux et des sourires complices, savourant chaque bouchée et chaque moment de cette soirée mémorable. Alice sentait son cœur battre la chamade, elle se sentait éprise de Guillaume, plus que jamais. Elle ne pouvait s'empêcher de penser à lui, même lorsqu'il se levait pour aller aux toilettes. Pendant le repas, Guillaume et Alice discutaient de tout et de rien, mais surtout de leur passion pour l’Égyptologie. Mais celui qui passionnait Alice était l'archéologie interdite. Elle avait toujours été fascinée par les mystères et les secrets que renfermaient les pyramides et les tombes des pharaons égyptiens. Guillaume, étant le fils du professeur Laurent, connaissait bien ce domaine et avait ouvert les yeux d'Alice sur l'existence de théories et de découvertes qui n'étaient pas reconnues par la communauté scientifique. Alice était tellement absorbée par la conversation qu'elle ne réalisa pas le temps qui passait. Le dîner se prolongea jusqu'au dessert, et la table se remplissait de plats délicieux aux couleurs chatoyantes. Ils partagèrent une coupe de champagne pour célébrer la nouvelle année. Leur passion commune les rapprochait de plus en plus, et leur complicité était palpable. Ils partageaient le même amour pour l'histoire ancienne et les mystères de l’Égypte.

La musique douce jouait en arrière-plan, ajoutant une touche romantique à l'ambiance de la soirée. Guillaume prenait régulièrement la main d'Alice, lui faisant des compliments et la faisant rire. Elle se sentait en sécurité et protégée dans ses bras, et savait qu'elle était avec la bonne personne.

Le moment le plus mémorable de la soirée fut lorsqu'ils échangèrent un baiser à minuit, sous les feux d'artifice éclatants qui illuminaient le ciel nocturne. Guillaume avait son bras autour d'Alice et la tirait doucement contre lui, ses lèvres douces sur les siennes. Le temps s'arrêta pour eux, comme si le monde entier avait disparu et qu'il ne restait plus qu'eux deux. Ils étaient amoureux, et rien n'était plus important.

Après le baiser, ils se regardèrent dans les yeux, souriant et heureux. Alice pouvait sentir la chaleur de l'amour qui brûlait dans son cœur. Elle savait que Guillaume était celui qu'elle cherchait depuis si longtemps, celui avec qui elle voulait passer sa vie. Le reste de la soirée passa comme un rêve, avec des conversations, des rires et des regards amoureux.

Lorsqu'ils quittèrent le restaurant, Alice et Guillaume se promenèrent dans les rues de la ville, main dans la main. Ils étaient heureux, insouciants, et ne pensaient qu'à leur amour. La nuit était claire et froide, mais ils se réchauffaient l'un l'autre. Ils voulaient rester ensemble, pour toujours. Alice et Guillaume rentrèrent chez le Professeur Laurent après leur soirée romantique au restaurant. Ils se tenaient la main et souriaient, heureux de passer leur première nuit ensemble. Guillaume avait prévu une soirée romantique avec Alice dans sa chambre. Il avait mis les petits plats dans les grands pour créer une ambiance agréable et chaleureuse. Il avait disposé des bougies parfumées sur les tables de chevet pour créer une atmosphère tamisée et intime. Les flammes dansaient doucement, illuminant la pièce d'une lueur orangée et apaisante. Il avait également allumé la cheminée pour ajouter une touche de chaleur et de confort.

Le lit avait été soigneusement préparé, avec des draps blancs immaculés et des coussins moelleux pour offrir un confort optimal. Des pétales de roses étaient disposés en forme de cœur sur le lit, ajoutant une touche de romantisme à l'ensemble. La pièce était propre et bien rangée, avec une ambiance propice à la détente et au calme. Quand Alice entra dans la chambre, elle fut immédiatement transportée par l'ambiance romantique créée par Guillaume. Elle fut séduite par l'odeur agréable des bougies parfumées, qui lui procurèrent une sensation de bien-être immédiat. Elle ressentit une émotion profonde en voyant les pétales de roses disposés avec soin sur le lit et la cheminée allumée, qui ajoutaient une touche de romantisme à la pièce. Elle se tourna ensuite vers Guillaume, avec un regard timide.

« Tu as tout préparé toi-même ? », demanda-t-elle, avec un léger tremblement dans la voix.

Guillaume acquiesça, et Alice ne put s’empêcher de sourire en le regardant. Elle savait qu’il avait pris beaucoup de temps et de soin pour créer cette ambiance romantique, et cela la touchait profondément.

« C’est tellement beau, Guillaume », dit-elle, avec un soupir rêveur. « Je ne m’attendais pas à ça. Quand as-tu préparé ça ? »

Guillaume se rapprocha d’elle, prenant doucement sa main dans la sienne.

« Très tôt ce matin avant de venir te chercher. Je voulais que ce soit spécial pour toi », dit-il, avec un ton amoureux. « Tu es si importante pour moi, Alice. Je veux te rendre heureuse. »

Alice sentit son cœur battre plus fort dans sa poitrine, et elle se mit à rougir. Elle regarda Guillaume, les yeux brillants d’amour.

« Tu me rends déjà très heureuse, Guillaume », murmura-t-elle, avec un sourire tendre. « Je suis tellement chanceuse de t’avoir dans ma vie. »

Ils s'assirent sur le lit, plongés dans une atmosphère romantique et douce. La soirée promettait d'être magique et inoubliable. Alice se sentait nerveuse mais excitée, sachant que ce serait leur première fois ensemble. Guillaume la rassura en lui caressant doucement la joue et en l'embrassant tendrement sur les lèvres. Elle se blottit contre lui, sentant son cœur battre la chamade. Guillaume lui dit à l'oreille qu'elle était la plus belle chose qui lui soit arrivée. Ils s'installèrent sur le lit, se regardant intensément. Guillaume lui caressa doucement les cheveux et l'embrassa dans le cou. Alice frissonna de plaisir et ferma les yeux, se laissant emporter par ses caresses. Guillaume la fit basculer délicatement sur le lit, se plaçant au-dessus d'elle. Elle déshabilla Guillaume tout en s’embrassant passionnément, leurs langues se mêlant dans une danse sensuelle. Guillaume prit son temps pour découvrir chaque parcelle du corps d'Alice, la déshabillant lentement et effleurant sa peau avec ses doigts. Alice se sentait enivrée par ses caresses et ses baisers, elle avait l'impression que son corps était en feu. Guillaume la regarda droit dans les yeux et lui dit qu'il l'aimait plus que tout au monde. Alice ressentit une vague d'émotion la submerger, elle savait qu'elle était amoureuse de lui aussi. Après qu’Alice, l’ait aidé à mettre un préservatif, ils firent l'amour avec douceur et tendresse, prenant leur temps pour explorer chaque recoin de leur corps. Ils étaient en parfaite harmonie, se donnant l'un à l'autre avec amour et passion. Lorsqu'ils atteignirent le paroxysme de leur plaisir, ils s'embrassèrent à nouveau, se promettant l'un à l'autre un amour éternel. Ils passèrent le reste de la nuit enlacés, épuisés mais heureux. Alice savait qu'elle avait trouvé l'amour de sa vie en Guillaume, et elle était impatiente de découvrir tout ce que leur avenir ensemble leur réservait.

Alice resta éveillée jusqu'aux premiers rayons de soleil, où elle se laissa finalement tomber dans les bras de Toutou, le dieu sphinx égyptien des rêves. Dans son rêve, Alice se retrouva transportée dans un paysage égyptien à couper le souffle. Elle marchait dans une vaste étendue de sable doré, bercée par la douceur du vent chaud. Elle entendait des chants envoûtants et des tambours résonnant au loin. En levant les yeux, elle aperçut la majestueuse pyramide de Gizeh, s'élevant dans le ciel bleu intense. Soudain, elle entendit une voix familière derrière elle, c'était Guillaume. Il se tenait à ses côtés, habillé dans une tunique égyptienne blanche, les cheveux noirs comme l'ébène. Il la prit par la main et la guida vers la pyramide, où une lumière éclatante émanait de son sommet. Ils grimpèrent les marches de la pyramide, montant toujours plus haut. Enfin, ils atteignirent une porte en pierre massive, ornée de symboles égyptiens. Guillaume l'ouvrit, et une odeur de poussière et de vieux parchemins les enveloppa. Ils entrèrent dans une pièce sombre, où trois coffres en or étaient disposés sur un piédestal en marbre. Guillaume lui expliqua qu'à l'intérieur de ces coffres se trouvaient les trois artefacts magiques : l’œil d'Horus, les ailes d'Isis et le sceptre d'Osiris. Alice se sentit envahie par un sentiment de puissance et de magie qui émanait de ces objets. Soudain, la pièce se mit à trembler, et une silhouette féminine apparut devant eux. C'était la déesse Isis, resplendissante de beauté et de lumière. Elle leur expliqua que leur mission était de trouver l'entrée secrète menant à la chambre funéraire de la pyramide, où les artefacts devaient être placés pour ressusciter définitivement la déesse Isis. Alice se réveilla en sursaut, le cœur battant à tout rompre. Elle réalisa que c'était un rêve, mais il était si réel, si vibrant.