Tu reviens ou pas, Kartokth????????!!!!!
Nous savons bien que le monde n'est pas seul. Le monde n'est pas vide. Mais en ces temps là, de détresse, de douleurs, de maux, de souffrance inouïe, les coeurs l'étaient. Ils étaient tous vides. Pourtant, peut-être que vous aussi, vous avez le coeur vide. Car vous savez ce qui est arrivés à toute la famillle de Kartokth. À sa famille, aux familles qui ont causés la perte de cette famille, et à tous et toutes celles qui ont pù mourir de souffrance. De haine. De revenche. De vangeance. De mort. De meurtre. Peut-être vous aussi avez du pitié pour eux. Vous les comprenez. La famille. Les familles. Auparavant réunies, et de là détruites et répandues par la guerre, les batailles, et la mort. Et pendant ces temps là, les cycles recommencent.
Alors là, tout commence un peu plus tôt. Ou pourrais-je dire, plus tard, aussi? Non. Plus tôt. Avant bien même la vie de Kartokth. La dynastie des diables. De lucifer. De la mort. Et de toute leurs familles. Non. Bien que tout ce passe dans le même monde, tout se passe dans un autre temps. En -110 avant l'an 1. Là ou la reine Aldaricse était née. La grand-mère de Morganne. Eh bien oui. Elle était née, dans un vieux village de France, mais elle était morte donnant la vie à son enfant: Moldille. La mère de Morganne. Préparez-vous, à une aventure palpitante, de l'histoire d'Aldaricse.
Préparez vous, laissez-vous danser, pivoter vers ce monde mystérieux...
Aldaricse. Ah oui. Aldaricse. Née par le cahos.
Tout commenca alors dans le même château que Kartokth était quand nous avons commencés notre histoire. Dans le même château. Cilldoöôonǹ. Le château, aussi dit, de la vie. Pourquoi? Bien oui, en fait, personne ne le sait. On dirait même que des fois, les loups garous se réfugiaient de la pluie auprès de ce château et n'attaquait nul humain ou nul humaine. C'était un âvre de paix. Même, dirait t'on, qu'un démon pourrait vivre avec un ange en ces lieux. Ils sont sacrés. Enfin, étaient sacrés. Et c'est donc pourquoi que la mère d'Aldaricse a décidée de faire naître sa toute petite bien aimée ici, en ce château. Et rien ne venait combler sa décision; tout le monde était de son avis. La vie prenait son rôle paisible. Mais, cette nuit-là, en l'an -110, il neigeait. C'était un froid hiver. Mystérieusement, c'était un hiver d'automne. Comment était-ce possible d'être en hiver et en automne plein en même temps?! Eh bien c'était simple: Il négait le premier jour d'automne. Et en ces temps-là, on disait que dès qu'il négait, c'était déjà bien l'hiver. Car aux temps d'Aldaricse, la solctice d'hiver, d'été, de printemps, et d'automne, n'étaient pas encore inventés, ni même découverts. Mais bref. Nous ne sommes pas là pour vous parler de météo. Non? Parce que nous sommes ici pour vous raconter la vie, et l'histoire d'Aldaricse, et de sa fille. Et de sa fille après. Et ainsi de suite à l'infini. Pour que vous compreniez mieux toute l'histoire de fous.
Eh mais donc, il negeait. Beaucoup, même. Même que les gens n'étaient pas autorisés à sortit de cette bâtisse sans creuser un tunnel avec une pioche en fer bien forte et solide. Et la neige, elle était compacte. Avant le réchaufemment climmatique, en France, il nègeait beaucoup plus qu'en ces temps modernes auxquels nous vous parlons en ce moment même. La mère d'Aldaricse, elle, dans sa chambre d'accouchement; la chambre de son mari, Geollandard, criait. Elle accouchait en ce moment où il avait commencé à neiger. Comme par un miracle, avait dit Geollandard, tout content de recevoir son tout petit. Quand la mère accouchait, on ne savait point tout que ça allait être une fille. Aldorîne, la mère d'Aldaricse, espérait avoir un garçon. Pour qu'il s'engeage dans l'armée et qu'il les délivre tous contre les Anglois. Les véritables Anglois. Les redoutables Anglois. Elle désirait à tout prix pouvoir vivre en paix. Mais ce n'était pas si simple, dans ce pays-là, en France. Surtout pas en l'an -110, pendant une redoutable guerre de chevaliers, de sang partout, de souffrances et de doigts arrachés des archers sur les planchers des châteaux. Elle désirait à tout prix être délivré, elle et son mari bien-aîmé. Elle hurla. Hurla de plus en plus. Son mari l'encourageait à sortir de sa souffrance, de pousser, de pousser. Quelques amies à elle étaient venues pour aussi aider à pousser, tirer, distribuer de l'eau, des médecines (En ces temps-là, des feuilles et des plantes), et tout ce tralala qu'on donnait en ces temps-là aux femmes qui accouchaient.
Et à un moment qu'on croyaient qu'il allait jamais finir, elle poussa si fort qu'un éclat de sang sortit de son ventre. Ça n'améliora point la situation. Mais, Aldaricse était née.
Une fille?! La mère sauta de mélancolie, puis, de joie. Sa fille bien aimée!!!!
Aldorîne pleura. Non pas de tristesse, non pas de douleur, mais de joie soudainement énorme. C'était innombrablement rare d'avoir un enfant si facilement en ces temps là. On croyaient même que c'était un miracle de faire naître un enfant sans souffrir. Surtout en France. Elle était émùe. Sa fille n'allait pas avoir besoin de mourir au combat. Elle allait avoir une vie raisonnable. Dans un château énorme, magnifique, et peut-être allait t'elle même devenir une reine?! Mariée, beaucoup d'enfants, et une belle vie?! Oui. Aldorîne éspérait tout cela. Sa vie allait s'améliorer, s'améliorer. Ou...pas?
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