Le louépée (Partie deuxxx))

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Louépé. Ah. Oui. Ce vieux monstre marié à Louépée, son épouse, qui, elle aussi, se nourrit d'enfants. Les plus délicieux? Oui, les plus dodus. Plus précisément, ceux qui ont le gout de manger beaucoup. Mais ils se nourissent dans la forêt. Aussi, dans leur maison, sous-terraine. Pourquoi? Parce que, bien sùr, c'en était une belle idée d'attirer les enfants comme ça. Et se cacher des parents qui viennent leurs cherchers des malheurs. Mais, par chance, les enfants s'en sortent très souvent: Les louépés ne sont pas très fùtés. Plutôt, infiniment débiles. Tellement, même, qu'ils ont oubliés de se faire faire des nouvelles dents pour tuer.

Et le pire dans tout ça, c'est que les loups apprennent. Et, ce qui va bien ensemble, les espionnages. Et les espionnages, c'est pour les biens loups. Louépé, lui, avait espionné toute son enfance, les gens et autres loups. Et puis, un jour, il en a eût assez. Il a décidé de devenir chasseur. De tuer les autres Loups, les Louées, et les Humains et les Humaines.

Mais là, il avait une autre cible.

Hulard.

Qui souffrait.

Il y eût un combat sanglant, cruel, et avec des mouvement brefement bruts, secs, et détruits par d'autres coups qui déchiraient l'air comme des trompettes qui réveillent des gens les matins joyeux d'étés. On ne voyait guuère queuh les gens voyaient qu'Hulard gagnait. Ils se concentraient sur le Louépédd. On l'appelle aussi comme ça. Le louépedd.

Mais bref, Il gagnait. Et personne ne se souciait vraiment de tout cela. Comme être au cirque, certaines et certaines disaient. Mais les gens souffraient de grimaces sanglantes. Comme un des êtres dans les guerres qui s'éttaient passées auparavant.

Louépé souriait de toute sa rage piquantee et pincée, racrapotée sur son visage poilu en griffant sa bonne et future collation. Il y eüt quelques de ces petits cris, qu'on utilisaient comme aux cirques de Rome, comme des petits gloussements innoportuns. Oubliés, juste comme des passants sur une rue vide mais remplie d'oubliements.

Ce l'était, non mais d'Oh oui!!!!!!!! Ce l'était d'une bataille digne de guerre. Le loup tournait sa tête, en griffant, trimphant de sa gloire de souffrance. Un peu comme des moments de gloires, après un ou des combats de gadiateurs. Un peu comme des moments gagnés après avoir tué dans une grande et froide guerre. Et le pire dans le toute de ceci cela, c'était qu'Hulard, lui, pourtant simple humain désiré de la poussière, lui, qui lui, pourtant, il n'avait pas de ces grosses griffes de loups. Ni de ces crocs.

Mais pourtant, pourtant toujours, dans la mélée, des gens l'encourageaient. Et, lui, qui lui, qui n'avait pas tout cela, ni de griffes ni de cros, se faisait aimer par son peuple. Par ses amis.

Mais même que tout cela n'était pas rien, il se sentait oublié. Seul. Même que certaines et certains, eux, donnaient des mots d'or, lui, il se sentait toujours oublié. Toujours depuis que sa reine adorée discretement lui avait donné avec tant d'attention, tant d'amour, tant de discrètion, un mot gardé secret à jamais. Un mot. Ce mot, c'était sa vie. Sa création. La création de cette reine, cet enfant. Et là il était un peu devenu comme le roi de ce château. Mais pourtant, il y avait, dans tout cela, un peu d'oublies.

Et, dans cette même mélée, toute un peu oubliée mais aussi oubliante, avait quand même sa fille, qui, elle, était là, toute espérante sa vie, la regardant avec ses yeux bleus. Les même que sa mère. Sa VRAIE mère. Ou même peut-être ce Hulard trouverait l'amour, un jour?

NON!! Il n'y eut pas le temps car Le louépé se jeta sur lui, qui était tout hammoché. Et la dernière fois qu'il vù sa fille fut au moment où elle se jeta sur le loup en criant, voyant son père à moitié mort, et souffrant. Et il ferma les yeux.

Et puis là, le Bloumf. Le grand Bloumf des cieux arriva dans ses yeux vivements fatigués. Éradiqué, et drainé, et alla vers le Grand Bloumf.

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