Que les dieux nous sauvent de cette tirannye
-De l'aide serait apprécié, beaucoup!!!
Il cognait. Il cognait très fort dans les planches de bois qui l'entouraient, comme une couverture de draps de soir. Il cognait avec tant de force...
Tant de haine.
Mais, ce bois, il n'était pas que de la Camelote, tout de même.
Mais solide.
Très solide, malheureusement, car il n'était que donc plus difficile et compliqué à bien casser avec que nos poingts, comme ça, en suffoquant sous terre.
-Oh mais _____!!!
Oh, oui, zut. Oui, ____!!! Il était coincé dans un cerceuil, et il allait pérrir là, tout seul, tout fripotté et chifonné par sa peur, laissant sa petite fille qui allait sûrement mourir toute seule, comme ça, sous l'eau, ou même juste là où le Louépé allait la tuer ou quoi????!!
Il devait y sortir, de son cerceuil.
Il cognait...Il tabassait...Il pleurait, même. Il s'écorchait le bout de ses doigts en saignant de partout (À cause de ce méchant Louépé, bien sùr...). Ses mains ne savaient plus du tout quoi faire, pareil avec tout le reste de son corps. Et, puis, bien sùr, après quelques minutes, quelques heures, quelques heures qui avaient semblées comme deux ou trois deccenies, il a commencé, alors alors, à paniquer.
À bouger. Ne plus rien contrôler.
Il hurla, cria, contourna tout ses souvenirs tous prits, mais encore comme on le disait dans ce temps-là: Tous vers le grand Bloumf.
-Je suis là, Hulard. Je le serait toujours...
La mort. La mort le hantait, déjà.
Une ombre, avec sa faux, se tenait juste tout droit devant lui. Mais bon. Il devenait dingue, après tout...Il regarda, comme si de rien n'était. De toute façon, il ne pouvait même plus agir. Même plus bouger. Son corps bougeait tout seul, tout pour lui. Mais il voulait partir, BON SANG!!! Il voulait tellement quitter ce monde!!! Et la mort, là, lui parlait???!!!
-Tu viendra me suivre. Ou sinon...
Elle prit un ton sarcastique.
-Le corps de ta fille sera à moi.
Elle repensa, un peu, et elle regarda alors autour d'elle.
-Michtolkartddd Mikorlatthgjj Ikimikaï...
Elle répetait ces paroles en boucles. Tout en regardant le corps d'Hulard, racrapotté sur ses vêtements de Tweed (Classique en ces temps-là, proche dans les vallées d'Angleterre.) à moitiés déchirés.
--Michtolkartddd Mikorlatthgjj Ikimikaï...-Michtolkartddd Mikorlatthgjj Ikimikaï...-Michtolkartddd Mikorlatthgjj Ikimikaï!!!
Du noir. Et puis, tout. Du feu, de l'eau, des nuages, des étoiles...tout dansaient autour de lui. Il pleurait, criait, faisait de son pire...
Rien. Ça continuait...
-AAAH!!!! NOOOOON!!!!
C'était peut être parce qu'il avait peur, qu'il criait, comme ça, tout droit, comme un fou, tenu dans les airs comme une crevette quise fait prendre à la pêche?? Non. C'était à cause qu'il voyait sa fille se faire torturer. Une vision, bien sùr, mais un avertissement, surtout. Sûrement de la mort car elle avait donc dit qu'elle allait peut-être bien tuer sa petite fille adorée.
Le choix était très dùr: Mourir et laisser sa fille avoir mal au coeur toute sa vie, OU soit sa fille meurt et LUI il a du mal au coeur toute sa vie.
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