Impossible
Hulard et Aldarisce marchaient lentement, allègrement, dna la forêt. Une belle forêt, d'ailleur. Un peu montagneuse, toute fois, il n'y avait pas beaucoup de montagnes, selon la vue du village, là bas, tout en descente de cette belle colline.
Et cette forêt n'était pas une forêt à visiter. La forêt enchantée. Et, selon les rumeurs qui chantaient allègrement, sans trop de pression, ici, et partout tout à la fois, il y en avait des trolls. Une forêt infestée de trolls, et même de lutins, de fées, d'ogres, et d'autres choses auxquelles ont n'aurait même pas crù.
Mais pourtant tout cela existait.
Au rhytme auquel Hulard et Aldarisce avançaient, le chemin vers une clairière serait très long. Surtout à cause des champs de roses à traverser. Par chance, Aldarisce savait comment utiliser un grand couteau. Même si elle n'était qu'une enfant, elle savait couper les ronces. Et, des fois, elle ceuillait une fleur ou deux et les passait à son père, qui, lui émù, versait des petites larmes discretes. Il n'était pas comme ce chasseur, au moins, qui n'était qu'un gras chasseur égoïstement protecteur.
Mais là, Hulard se contentait de s'amuser avec sa fille. Courir dans la forêt, jouer à cache-cache (Avec précautions, bien sùr), et tout ce tralala qu'un père ferait pour son enfant.
Et surtout, il essayeit d'oublier les trolls. Ces trolls cachotiers, qui, eux, n'hésitaient pas du tout à sauter sur un enfant pour le déjeuner. Et Aldarisce allait peut-être devenir cet enfant. Un enfant perdu, prit par un troll, tuée, et mangée. Mais ce n'était pas si grave, après tout. Elle savait bien se défendre; Son père était un chevalier, auparavant. Avant de devenir père. Malheureusement, Hulard n'avait jamais trouvé de mère pour Aldarisce. Et il s'en voulait énormément de cela. Il avait essayé. Toute sa vie. Un peu comme mère-grand, au village.
Village-Villageois Villageois-Chasse Chasse-Tuer Tuer-Mort d'Aldarisce
Et ces paroles-là, précisément, le tourmentait, à ce pauvre Hulard, Sa fille allait-elle mourir?? Et son village, la trahir???!! Et là il ne pouvait plus rien faire il avait peur. Il était figé. Une forme grise, énorme, avait bougée derrière les arbres. Les Villageois et Villageoises??!!!!!!
Non. Un loup. Juste un petit loup qui avait bougé dans les branches. Et, étrangement, ça avait aussi fait peur à Aldarisce. Pourtant, elle n'avait peur de rien. De rien du tout, à part de perdre sa seule et unique famille d'une façon atroce, et que se soit elle seule qui survive. Mais ne vous inquietez pas, cela ne va pas arriver dans ce chapitre quoique rempli de petits inconvénient (Qui vont apparaître bientôt). Et là, à ce moment là, Aldarisce avait eu peur. Une peur énormément étrange. Une peur incertaine. Une peur qui était bien différente de toutes les peurs qu'elle avait dù subir dans toute sa vie. Dans toute son enfance, elle n'avait pas encore vraiment eu peur. Enfin, je veux dire, à part qu'elle était née pendant la seule et unique guerre perdue contre les Anglois. À part ça et maintenant, elle n'avait pas vraiment eu aussi peur que ça.
Et ce loup...Elle le reconnaissait. Comme si il faisait partit de sa famille. De son âme. Un sentiment étrange de souvenirs perdus s'était installée dans la pauvre petite tête appeurée, et confuse.
Son père marcha accidentellement sur une branche, en essayant de s'approcher, qui fit fuir l'animal. Et là le loup était partit.
-Loups...Loups d'à crocs qu'était grand, hein?? Hein?? Hulard répéta sa phrase, un peu déformée deux à trois fois, avant qu'Aldarisce remarque sa présence.
-Hein?? Ah, oui, P'Pa. La raisonnance de ses cros n'étaient qu'empirants...Et puis tuer serait d'une simplicitée!!!! Hahaha!!! Sacré Hulard!!!
Et quelques rires se firent entendre.
Mais là ce n'était rien, non??? De rencontrer un loup dans la forêt, étrangement, comme si de rien n'était, et courir à un simple son. Mais peut-être n'était-ce pas ce son-là qui lui avait fait peur, à c'pauvre loup-là. Et oui, c'était Aldarisce, Il avait vù sa magie. Et son côté noir. Son côté Morganne.
Et ce loup connait Morganne. Enfin, dans l'histoire, Morganne n'était pas encore née, mais ce loup avait un don. Je crois que certains et certaines d'entres vous connaissez ce don. Un donc d'habitude donné à un animal, et des fois, un fardeau à porter. Et Aldarisce connaissait ce don. Un don que sa mère avait utilisée, la dernière fois qu'elle avait clignée des yeux. Elle avait vue le futur. Comme ce pauvre loup dôté d'un lourd fardeau des fois incontrôlâble, et difficile à supporter. Un fardeau qu'on pourraient même dire de magie noire, de magie du mauvais côté. Une magie qui serait même indestructible. Allant de corps à corps, d'âmes à âmes.
Ce loup avait vù aussi, le futur de cet enfant. Et le futur de ses enfants, et de ses enfants de deux générations. Il avait vu La vie de Morganne. Juste en un flash, mais très concrèt. Très détaillé. Et toutes les raisons que le mal aurait pù prendre cette sorcière.
Donc, pendant tout le voyage vers la clairière, au millieu de la forêt, Aldarisce avait réfléchie au loup. Et entre elle et Hulard, c'était plutôt calme. Pas trop de conversations, ni de rires, comme au début de l'aventure.
Eh!!!!! Mais on n'as pas mit beaucoup de problèmes dans ce chapitre, me diriez vous, haletants, regardant les pages, vides d'aventures et avares de réalitées!!!! Et bien, nous allons en mettre, des aventures, Ne patientez pas trop longtemps, quand même.
Bref, nous en étions environ à vingts minutes de marche constante dans la forêt. Pas encore une trace des troupes de cet ingrat de chasseur-pêcheur. Aucunes traces de rien, d'ailleur. À part des vieilles traces de pas des gens qui faisaient des randonnées, dans la boue, récemment, rien. Rien du tout, à par ça. Et donc, les deux avaient passés le champ de roses, coupés les ronces, traversés la belle forêt de je ne sait qu'els arbres, après avoir joués à cache-cache dans la vallée de vieux boulots, et après avoir rencontré ce mysterieux loup, ils étaient rendus dans les vallées. Les vallées, oui, il y en avait des belles, des vallées. Toutes comme des grands champs, du blés, un vieux moulin ou deux, et des petites forêts, toutes vertes sur des collines beiges.
C'était une aventure magnifique à vivre en famille. Ah! Si Mère-Grand était là, pensaient les deux. Elle avait toujours adorés les prés, et les vallées. Mais surtout, surtout les forêts de boulots. Ces beaux arbres blancs et noirs, et un peu roses, tous plantés droits comme des lignes complètements droites. Et Mère-Grand aurait bien adorée. Bien adorée cette grande aventure, et quitter leur village, en trouver un autre, et jamais plus pratiquer de la magie de nouveau. Mais il n'y avait plus de retours en arrière. Plus rien à faire du tout. Mère-grand allait rester au village. Car si le groupe revenait, pour trouver Mère-grand, il y avait des chances de se faire tuer pas les gens du village, ou même qu'elle ne soit plus là. Et là, retourner là bas, risquer encore sa vie, et tout et tout, ça n'en vallait pas vraiment la peine, vous comprenez? Mais si Aldarisce et Hulard pouvaient, ça aurait été une de leurs autres aventures.
Mais là, camper la nuit, et trouver une clairière, pas très simple. Une forêt de fouillée: Pas de clairières. Les champs, peut-être?? C'était une idée discutable.
_'pa, les champs, c'est bien??
-Le village découvriria trop simplement.
-Caché, alors???
-Non, ne me dit pas que...Ta magie...
-Oui???
-C'est décidé.
Et là on partaient dans une grande aventure sans fin, qui allait sûrement mal finir. Créer une boule avec assez d'énergie pour se cacher de tout ce qui pourrait venir ici?? Et la garder pendant aussi longtemps que possible? Presque impossible, mais là déjà le travail avait commencé. Et tout ça, avant la nuit. Pour enfin dormir un peu.
Des planches de bois par çi, des haches par là, du cuir par ici, d'autres planche d'ici-là, du bois, des trucs partout, du travail suintant toute la journée, et puis là, la magie. Aldarisce devait créer une boule d'énergie, pour protéger leur petite maison de survie.
-Prête?
-Prête.
Elle se baissa, essaya, tourna sa magie dans sa tête, ses idées, son énergie, et là la protections commencait, se détruisait, et, peu à peu, l'énergie devenait plus petite. De plus en plus petite. Et, au bout d'un moment, Aldarisce tomba par terre. Tout ça pour rien. Hulard se jeta sur elle, en pleurant.
Non, non, non, non et NON!!!! Ça ne va pas arriver. Elle n'est pas morte, non? Personne ne le sait encore.
Hulard la tenait dans ses bras. Il en avait, du remord. Un grand. Un remord qui grandissait sans cesse. Une envie de se faire du mal. Accepter son idée!!! Et elle, qui ne sait même plus contrôler son énergie!!! Et là la voilà évanouïe, par terre, vidée, drainée de son énergie. Juste pour stresser le plus, il y avait le village qui arrivait. Les gens, sur des chevaux, avec leurs arcs et flèches, torches et feux.
Hulard devait mentir. Il savait bien qu'Aldarisce était encore vivante, mais il devait mentir. Et si les gens découvraient qu'il mentait, ils l'auraient tué aussi.
-Elle est morte, répéta Hulard quelques fois, en mentant purement.
-Brûlons-là, alors!!!!
Et Hulard, lui, ne savait plus quoi faire.
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