Ah!!!!!! Voilà voilà voilà...Me revoilà, plein d'idées pour mon histoire. Et là, je sait enfin comment le nommer, mon chapitre!!!!! YOUPIIII!!!!

Euh...Bon. Continuons.

De l'eau. Plein d'eau. Et de la brume, aussi. Une eau boueuse, poudreuse, et aussi sombre. Pas seulement sombre. Brune, aussi. Si brune, que, même si l'eau était ensorcellée, on ne pourraient même plus voir dedans. Et le pire dans tout ça, c'était le monstre. Le monstre des eaux. Le monstre dont tout le monde a oublié le nom. On l'appelle Le-Monstre-Dont-Tout-Le-Monde-A-Oublié-Le-Nom. Un monstre qui, selon son énormitée, dévore les gens comme des poires. Un monstre si grand qu'on n'auraient même plus envie d'y parler après quelques minutes. Et, puisque personne ne le voit, il fait vraiment peur. Il peut vous engloutir si vous vous approchez de l'eau. Si bien que personne ne le remarque. Et là, les voilàs. Tous perdus dans ces eaux.

Une queue approche vers eux. Des dents, des crocs. Les mains gelées d'Aldarisce essayaient de bouger, gigoter, mais...rien. Juste de la brume, et deux mains qui essayent de s'enfuir. C'était tout cela qu'elle voyait. Et là que le monstre l'avait prise, elle avait justement commencée à crier. Ah!!! Enfin, elle se réveille!!!!!! Le monstre.

Elle se souvenait. Se souvenait de tout. Du monstre, de ce pêcheur, qui venait, avec le village, en courant, avec leurs chevaux, et elle, tomber à terre. Du sable. De la terre. Un sentiment mouillé. Elle était évanouïe mais elle avait tout entendue. Les voix, Hulard qui marchait, le son des chaînes qui se contrevarsaient entres-elles...Tout cela, elle l'avait entendue.

Et elle avait entendue son père pleurer Pleurer. Et encore pleurer. Elle était triste, même évanouïe. Et même là, en train de mourir, elle ne pouvait rien faire. En fait, elle ne VOULAIT rien faire. À part rester là, sans bouger, toute gelée, elle ne voulait même pas sauver son père. Et même si, pour elle, ça lui semblait comme un choix un peu égoïste, elle n'avait plus vraiment le choix. Elle ne voulait plus voir la face en sang et en pleurs de son père mourrant. C'était même un bon choix. Un choix qui ne lui coûterait pas vraiment la vie.

Mais, là, elle avait entendue les pleurs. Des pleurs, elle, elle les reconnaissait tous. C'était un peu comme un don, pour elle. Elle reconnaissait les gens juste à cause de leurs pleurs. Leurs pleurs qu'elle voulait à tout prix reconnaître, parmis tous ses sons marins. Et puis là, elle reconnit: La voix de son père. Tout proche.

Son père qui lui tenait la main.

-Aldarisce...Ma fille...

Aldarisce commenca a pleurer. Comment il pouvait même parler sous l'eau? Elle ne pouvait même pas découvrir le mystère. Et, étrangement, elle pouvait, elle aussi, respirer. Très bien, même. Et peut-être parler, aussi?? OUI!!!!

-Ne me lâches pas, papa...Je t'aime...On va s'en sortir.

Mais la queue du monstre ne voulait pas des paroles de cette pauvre petite fille.

Tiens, les monstres se mettent à détester les sorcières, aussi...

La queue fenda en deux la main du père d'Aldarisce, et qui fit apparaître un filet dansant rouge dans l'eau beige.

Ou peut-être que ce n'était pas de l'eau...

Mais bon, personne ne le savait, même pas le monstre, en fait, mais ils était en dehors de l'eau. Dans la grande brume, tellement humide que ça donnait l'impression d'y être, dans l'eau. Ou juste même pas dans l'eau...Dans une substance visqueuse, comme une sorte de peau de poisson. La seule personne (Enfin, si l'on peut appeller ça une personne) qui ne sentait pas cette substance visqueuse, c'était lui. LUI. Le monstre, BON SANG!!!!!!!! Et Aldarisce qui avait complètement oubliée, à cause de ces hurlements, et des pleurs de son père...

Et là, ce monstre quelquepart...Qui bougeottait sa queue visqueuse...D'une même visquositée, étrangement, que celle qu'elle avait sentit en dessous d'elle. Comme si elle était assise sur une  queue de monstre...Étrangement, ça lui fit vraiment peur. Elle était SUR le monstre!!!!! Et oui!!!!

Sur la queue visqueuse qui bougeottait partout, elle était!!! Ou non, attendez...Pas SUR la queue...Sur LES queues...Il y en avait plusieurs...Des centaines...Des milliards, Même!!!!

Et elle, allongée, se débattant, comme une sauvage, et avec son père, coincé entre quelques de ces queues tentaculaires, saignant, pas de main droite, ni même d'oeil (Eh oui, il y en avait perdu un oeil!!!!!!), et elle, elle, cette sorcière courageuse, sachant ni même si survivre ou mourir n'était une solution...

C'était une belle situation sans fin, même horrible...Mais...Attendez...Elle était magique, non??? Et pourquoi ne pas juste l'utiliser, sa magie??!!! Non. Cette brume...C'était un peu comme un bouclier. Un bouclier à sorcières...Un bouclier Anti-Magies!!!!!!

Et non mais zut!!!!

Qu'allait t'elle faire??!!

Autre que bouger ses bras, frapper sur les tentacules monstrueuses, et se défendre de ce monstre qui n'avait ni forme, ni apparence, elle ne pouvait rien faire.

Bouger. Se défendre. Avoir peur. Les trois choses possible qu'elle ne pouvait avoir l'air de faire.

C'était un peu comme une partie d'échecs. Bouger, perdre un pion, prochain joueur, elle, le monstre, elle, et puis le monstre, et puis, à un moment, quelqu'un devait gagner, sinon, c'est partie Nulle.

Impossible. Le monstre la prends. L'étrangle. La tension lui monte partout dans son corps. Impossible de s'en sortir, même avec tout les mouvements. Et, pour faire bonne mesure, le monstre lui étrangla ausi ses bras, presques sortits de leurs coquilles tellement le mouvent était monnaie courante, dans ces eaux.

C'était presque la fin. Elle ne pouvait rien faire.

Étranglée, titubant des bras, elle voulait à tout prix dire un dernier mot à son père. Elle essaya de toutes ses forces, presque en manque d'air total.

-Je...Je t'aime...grlll...papa...glr.....

Une flèche. Une autre. Manqué. Des flèches venaient de partout. Et, à un moment, une flèche heurta...