Chapitre 21

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Aldarisce marchait. Elle marchait, sans crainte de même mourir. Elle était, de toute façon, préparée à sa mort. Et, aussi, si elle mourrait, elle aurait fin pù re-voir son papa bien aimé. Il lui était bien aisé de vivre avec son père que de continuer à vivre sans lui. Mais...Pourquoi n'allait t'il pas, juste tout simplement, se tuer? Non. Elle le savait, elle avait un espoir. Et toutes les autrres sorcières comme elle la soutenaient. Enfin...Les âmes de toutes celles qui ont étées tuées d'une façon si horrible qu'on en aurait vomit juste en la regardant mourir. Les sorcières, elles, ne subissaient pas seulement la mort simplement très douloureuse, mais vite, à la guillotinne, ou même plus simplement: À la pandaison. Les sorcières, selon le peuple, méritaient bien plus horrible et bien plus cruelle: Pas seulement la pandaison, ou même juste tout simplement la guillotine: Elles étaient attachées à un piquet, du foin aux pieds, et des habits en cordes (De boûts de foins et de blés, bien sùr...), et puis, là, quelqu'un la brûlaient. Leurs mains, juste avant ça, étaient coupées par des lames infestées d'un poison mortel. Et donc, pendant que la sorcière brûlait, ne pouvant plus utiliser la magie, elle commencaient alors à se désintégrer, trèeees lentement. En plus, àprès ça, le poison, ça leur infestaient dans toutes les parties du corps. Ça leurs brûlaient d'une façon si horrible et elles se désintègraient vivantes, hurlant et se tortillant, devant une foule leurs jettant des fruits pourris et des crottes de animaux des champs, prés, et fermes. Après ça, leurs corps étaient écrasés, mis en poudre, et ensuite enterrées sous des terres si stérilles et si empoisonnées que rien ne pouvait alors y revivre. Pour le reste, aussi dit, les familles de ces sorcières, magiques ou non, étaient pendues, pour ne pas répendre les nouvelles (Car, en fait, ça se faisait sous terre, ces tortures et ces crimes pour tuer des sorcières, pendant que l'Armée surveillait les maisons des familles pour ne pas sortir.). Ce n'était que les prêtres et les personnes religieuses qui tuaient les sorcières. Pour en revenir à nos moutons, Aldarisce ne voulait point du tout finir comme ça. Ou même pire, surtout, surtout pas du tout dut tout, se faire arracher la peau vivante, comme son arrière grand-mère. Mais...une chose qu'elle ne comprenait point du tout. Sa mère, elle, selon Hulard, était une sorcière. Pourtant, même dans ce château, elle utilisait sa magie. Et pourquoi ou même comment tout le monde qui y pénnêtrait ne la tuaient pas, même si elle révellait sa magie? Ce que HUlard ne lui avait pas encore dit, c'était que tout le monde qui entraient dans ce château étaient ensorcellées pour ne tuer personne. Et donc, même, avec sa magie, elle était respectée. Et si Aldarisce y revenait, là, bas en France, au lieu de rester dans ces grosses montagnes de je ne sait où? Et si elle y retrouvait ce peuple, et y devenait sa nouvelle reine?! Après tout, elle était la fille d'une grande reine. Pourquoi pas y revenir? Ok. D'accord. Mais là, elle devait y aller. Elle devait re-devenir cette reine dont elle avait tant voulue devenir, après la mort de sa mère, et, y n'y a pas si longtemps, de sa mère? ll n'y avait rien à faire. Elle devait justement escalader cette montagne de neige, et de roches appiques, et aller continuer sa grande route, vers le grand vide inconnu, pour au moins, trouver une vielle maison ou, là, une vielle personne acceuillant pourra remplacer son père ou sa mère.

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