Chapitre 6: Une nuit horrifiante...
Avec le changement du climat mais aussi le changement d’environnement, j’ai eu beaucoup de mal a dormir cette nuit là, et avec le bruit des coups qui résultaient des guerres de gang, j´arrivais moins à dormir. Après multiples tentation, je décidais de me lever et d’aller jeter un coup d’œil à l’extérieur afin e comprendre ce qu´il se passait, en sortant je fus choquée par l’image qui se dressait face à moi. Il y avait des corps qui jonchaient le sol un peu partout, du sang salissait les murs et les cadavres se désintégrer avec le temps, avec cette image d’horreur, je sentis une nausée monter en moi et c’est comme ca que je me retrouvai au milieu d’une ruelle noire à vider le contenu de mon estomac, après ce moment de pure bonheur(noter l’ironie), je me rendis compte qu’avec cette obscurité je n’arriverai pas à regagner la maison, après avoir emprunté plus d’un chemin, je me retrouvais face à un groupe d’hommes tous soules, il y en avait pas un pour récupérer les autres, ils étaient étranges. En passant devant eux je me sentis gêner et encore plus lorsque je sentis leur yeux me dévorer du regard.
-Eh la miss!! T’as besoin d’aide?? Demanda l’un d’eux
-Nous, on a envie d’un peu de compagnie, tu viens??!
- On sait que t’attend que ça!! Rajouta le deuxième.
J’essayais au maximum de ne pas leur prêter trop attention et de continuer mon chemin, mais c’était sans compter sur ce gros débile qui me tira le bras, en fin de compte, en essayant de me débattre je me retrouvais au sol dans une position d’infériorité. A ce moment, j’étais très apeurée, déjà de un il n’y avait personne qui pourrait m’aider mais en plus je me sentais mal pour ma tante, elle, elle n’a rien demandé et maintenant elle aura mon cadavre sur la conscience!!
Un toucher, un mot, une voie, et les trois hommes qui étaient devant déguerpirent plus vite que l’éclair, me laissant seule face à mon magnifique chef, la source de mon tourment.
-T’as exactement deux minutes pour m’expliquer ce que tu fous là, avant que je ne m’énerve vraiment. Me dit-il tout en me fusillant du regard.
-Euh..... je....! Non en fait rien du tout, ou ça ne te regarde pas du moins! Finis-je par répondre malgré mon bégaiement au début.
-Alors là, tu ne trouves mieux à dire ni à faire que de te promener dans une favelas mais le pire en nuit, alors que des guerres éclatent, des règlements de compte et encore; ça ce n’est rien à côté de ce que tu allais vivre avec ces trois ivrognes pleins de testostérones. M’expliqua-t-il avec un ton super froid qu’il me donna des frissons de terreur plein le corps.
-Je..... Ça ne te regarde pas !! Qui te dit que je n’étais pas consentent? Hein, alors ?? Demandais-je en essayant de ne pas détourner le regard et aussi d’avoir un peu plus d’assurance face à lui.
-Dans ce cas tu ne verras aucun inconvénients si moi aussi je souhaite en bénéficier!! Finit-il par dire.
Et sur ces belles paroles, je me retrouvais sur ces épaules comme un sac patates alors qu’il traversait la favela pour aller je ne sais où.
-Lâches moi espèce de brute, tu n’as pas le droit de me faire ça, c’est du kidnapping et c’est interdit par la loi!! Lui dis-je tout en lui frappant le dos.
Avant même que je n’ai eu le temps de comprendre la situation, je reçus une de ses claques sur le cul qui je suis sure me fera garder une trace bien rougeâtre sur mon cul aussi blanc que neige.
-Non mais t’es un malade!! Qui t’as donné le droit de toucher à min cul!! M’exclamais-je horrifié.
-Si tu ne veux pas que je recommence t’as intérêt à te tenir tranquille jusqu’à ce qu’on arrive! Claire!! S’exclama-t-il dangereusement. Et surtout, une dernière chose, Tait toi!
Après ce petit avertissement on finissait le trajet jusqu’à je ne sais où.
Annotations
Versions