Chapitre 13 (Le plus chanceux) Partie 3
-Tu voudrais y penser? Me demanda-t-il.
-Penser à quoi?
-Pour la pièce. Je ne te forcerai pas. C'est toi qui décideras. Je voudrais seulement que tu y pense, d'accord?
-Ouais, je vais y penser. Mais maintenant, il faudrait plutôt penser à dormir.
Nick se releva légèrement pour pouvoir jeter un œil à mon cadran sur ma table de nuit. Il indiquait 11 heures et demi.
-Bon sang, excuse-moi, je n'avais pas vu l'heure.
M'endormir ce soir-là avait été plus long que je l'aurais pensé, même si c'était la seconde fois où j'avais la chance de passer une nuit en compagnie de Nick. Je n'arrêtais plus de penser à cette pièce de théâtre dont il m'avait parlé. J'étais confuse sur ce sujet même si je lui avais dit que c'était hors de question pour moi de faire ça. Nick avait tout de même semé un doute dans mon esprit, sur mes capacités à jouer dans une pièce. Cette idée n'était pas entièrement rayée dans ma tête. J'allais y penser plus longuement.
Finalement, je me suis endormit dans les alentours d'une heure du matin, dans les bras de mon copain, qui s'était assoupit plus hâtivement que moi. Ce qui voulait dire que j'avais pensé presque une heure et demi à une simple pièce de théâtre, à savoir si je le ferais ou si je ne le ferais pas.
***
J'avais une sérieuse intention de parler au directeur de l'école aujourd'hui. J'avais le besoin de savoir qui était vraiment passé à son bureau pour dénoncer Nick afin qu'il se retrouve sans boulot. C'était quelqu'un qui lui en voulait réellement, c'était authentique.
Ce matin, quand je suis partit pour l'école, Nick m'avait accompagné jusqu'à l'extérieur, par contre, il devait ensuite prendre sa voiture pour pouvoir se rendre au restaurant de son père, puisque celui-ci devait encore s'absenter pour je ne sais quelle raison. Peut-être à cause d'un autre boulot, je n'en savais rien. Nick ne me disais rien et ça tombait bien parce que ça ne m'intéressais pas. Ce n'était pas pour être vipère, mais disons que je n'appréciais pas tellement le père de Nick après tout ce qu'il avait fait subir à sa famille, en particulier à Nick. Son comportement et sa consommation excessive d'alcool durant sa vie n'expliquait pas qu'il souffre à cause de sa femme malade et peut-être mourante cette fois-ci. Bref, j'avais pu prendre un déjeuner tranquille en compagnie de Nick ce matin pendant que mon père s'était occupé de ma sœur, qui était encore incontrôlable aujourd'hui. Je me sentais mal de lui laisser ce trouble parce qu'il avait du boulot tôt et que d'habitude c'était moi qui s'en chargeait. Mais il avait insisté fortement pour que je profite d'un déjeuner avec mon amoureux.
J'étais assez déçu ce matin-là de partir pour le collège en sachant que Nick aurait pu y être aujourd'hui, si Paris n'avait pas été aussi médiocre envers moi et qu'elle n'avait rien raconté au directeur.
J'avais demandé à ma mère si elle était d'accord pour je puisse prendre un café avec Nick ce soir, en revenant de l'école, question de fêter mon anniversaire tous les deux ensembles. Elle avait accepté, heureusement. Or, avant, je devais passer à travers cette journée au collège. Pour ne pas m'aider avec mon ennui de me retrouver à l'école après ce merveilleux voyage à Dyess, j'avais reçu le résultat de mon dernier test de science. Je l'avais échoué avec succès. Je voyais mes notes chuté de plus en plus dangereusement et je ne m'en réjouis pas. J'allais devoir me reprendre sérieusement en main si je ne voulais pas échouer l'année la plus importante de mon secondaire, et j'étais déjà bien partit pour ça. Je me disais constamment de faire des efforts pour réussir et remonter mes notes, néanmoins, je ne le faisais pas encore.
Cette fois c'était vrai, j'allais le faire.
En quittant mon cour de science, je gardai les yeux fixés sur ma feuille d'examen, là où mon enseignant y avait marqué un énorme D au milieu de la première page. Je poussai un soupir de démoralisation, et en relevant la tête, je repérai une personne que je n'aurais pas voulu voir d'aussi tôt. Paris. Elle était près de mon casier en compagnie de sa bande d'amie, qui m'avait généreusement intimidé à la cafétéria, juste avant que Nick ait mit un terme à sa relation avec elle. Moi ce que j'en pensais, c'était qu'elle savait où se trouvait mon casier et qu'elle avait envie de me blesser encore avec ses paroles.
Je n'avais tant le choix de leur faire face puisque mon casier était là. Je devais obligatoirement prendre mes livres pour mon prochain cours. Je n'avais pas à m'empêcher de me rendre à mon casier rien qu'à cause de ces filles et par peur de me faire encore humilier.
Je repris mon courage à deux mains et je me rendis à ma case, prête à leur faire face.
L'une d'elle bloquait l'accès à mon casier, alors je lui demandai poliment de se retirer.
-Excuse-moi, lui dis-je.
Elles avaient tous détournés leur regard sur moi alors que j'arrivais dans leur direction. Celle à qui je m'étais adressé regarda ses copines, puis elle finit par se pousser, me laissant la voie libre, un sourire mesquin en coin.
Je me sentais fixé et ça me dérangeait énormément. À présent, je savais à quoi m'attendre. Elles allaient se moqués de moi tout ce temps où je serais à mon casier. Si seulement Nick était là pour pouvoir me... Je m'arrêtai en pensant à ça. Il fallait que j'apprenne à me défendre seul. Nick ne sera pas toujours là pour me venir en aide, comme à ce moment où j'étais vulnérable, entourer par ces filles.
Je débarrai mon cadenas puis j'ouvris la porte de mon casier. C'est à cet instant que les méchancetés ont repris de plus bel.
Paris poussa légèrement ses copines pour pouvoir se frayer un chemin vers moi.
-Alors, tout se passe bien avec Nick? Me demanda-t-elle sarcastiquement, en s'adossant contre le casier à côté du mien.
Je ne lui répondis absolument rien, ne voulant pas m'embarquer dans son petit jeu d'humiliation.
-Tu ne devrais pas trop te réjouir. Nick va se débarrasser de toi dans très peu de temps. Je le connais trop bien. Il n'aime pas les moins que rien.
Quelle idiote elle était.
C'était assez difficile d'ignorer ses mauvais commentaires.
-La seule chose dont tu pourrais être fière, c'est que tu es devenue la nouvelle salope de cette école.
Je ne pus me retenir cette fois d'être sur la défensive quand j'eus entendu Paris mentionner cette dernière phrase qui venu véritablement me rendre hors de moi. Je refusais de me laisser traiter ainsi sans rien faire. Je n'étais pas aussi faible qu'elle pouvait le penser.
Je fermai brusquement ma case, sans avoir pris mes manuels pour mon prochain cours et sans remettre mon cadenas pour lui fit face comme je ne l'avais jamais fait auparavant devant mes détracteurs. Ce jeu d'intimidation allait s'arrêter au plus vite avant que je retombe dans le bureau du directeur pour la dénoncer.
-Tu crois vraiment que ça te servira à quelque chose Paris de rire de moi!? Lui dis-je d'un ton assez fort et sévère, ce qui fit tourner la tête de quelques-uns dans le corridor. ça te rend fière?!
-Ne prend pas ça comme ça, je te donne seulement un avertissement. Ta relation avec Nick ne dura pas très longtemps. Alors profite du moment qu'il te reste avec lui.
Je vis du coin de l'œil que quelqu'un venait dans notre direction. C'était le directeur de l'école. Il avait assurément été témoin de quelque chose, et quelle chance qu'il soit là, parce que je crois que Paris se serait retrouvé avec plusieurs points de suture au visage.
-Mesdemoiselles, s'adressa-t-il à nous.
Paris et ses copines détournèrent leur regard sur lui.
-Je pourrais comprendre ce qui se passe?
-Rien, lui répondit Paris. On ne faisait que discuter.
Ce que je la détestais.
Elle me regarda une dernière fois avec un sourire sarcastique aux lèvres puis elle quitta mon casier avec ses copines, sous le regard du directeur.
Je me tournai vite vers mon casier et je ré-ouvrit ma porte, tentant de ne pas me laisser anéantir par les menaces de Paris. Je ne voulais pas montrer que j'étais faible.
-Je peux faire quelque chose pour t'aider? Me demanda gentiment le directeur, sachant que j'avais sans doute été victime d'intimidation de la part de ces filles.
-Non, ça va aller. Merci, lui répondis-je, sans le regarder.
-Qu'est-ce que ces filles t'ont dit? J'ai bien vu que quelque chose n'allait pas.
Je pris du temps avant de répondre, n'ayant pas envie d'en parler maintenant, même si je savais que c'était important que j'en parle.
Je me retournai vers lui.
-Vous connaissez Paris? Lui demandais-je, sans répondre à sa question précédente.
-... Disons que j'ai souvent eu affaire avec cette étudiante pour des conflits avec d'autres élèves de cette école.
Pourquoi ça ne me surprenait pas? Avec cette attitude qu'elle avait, de croire qu'elle était en position d'autorité sur tout le monde, je ne serais pas surprise d'apprendre de même qu'elle avait foutu le trouble dans une classe ou à d'autre enseignant.
-Si tu le souhaite, nous pourrions en parler plus intimement dans mon bureau?
-J'ai une question.
-Oui, je t'écoute.
-Il y a un professeur... en fait, je devrais dire un remplaçant, qui s'est fait renvoyer la semaine dernière, Nick.
-Oui. Tu devrais être l'une de ses étudiantes?
Je lui expliquai sans lui faire mention du lien que j'avais avec lui.
-Non, c'est mon voisin. Je suis proche de lui et il m'a fait mention de son renvoie de l'école et il ignorait qui avait pu le dénoncer.
Ce que je voulais, c'était de faire parler le directeur. Je voulais savoir précisément qui avait pu le dénoncer, si c'était vraiment Paris ou si c'était quelqu'un d'autre.
-C'est un jeune garçon qui est débarquer dans mon bureau, soit en secondaire 1 ou 2.
-Ah oui?
J'étais épaté. Alors dans ce cas, l'une des personnes qui avait été témoin de la scène dans la cafétéria avait compris ce qui se passait. Mais peut-être aussi que Paris avait demandé à quelqu'un qu'elle connaissait de le faire à sa place pour éviter que ça retombe sur son dos.
Je ne répondis rien à sa révélation et je restai même un peu choqué. Je me trouvais insignifiante en voulant croire que c'était Paris et personne d'autre responsable de cette dénonciation, comme si je désirais que ce soit uniquement de sa faute à elle. En outre, en même temps, elle méritait plausiblement cette méchanceté de ma part après ce qu'elle m'avait dit.
-Tu semble surprise.
-Euh... oui, je le suis.
-Pourquoi?
-J'aurais cru que c'était elle, Paris, responsable de cette dénonciation.
-Tu parle de cette fille qui était là, à ton casier?
-Ouais.
-Quel était son lien avec ce remplaçant?
-Elle était la raison pour laquelle il s'est fait renvoyer de son poste.
Je n'avais pas besoin de lui en expliquer plus. Il avait compris que Paris était sa copine.
-Et pourquoi croire qu'elle était responsable de son renvoie. Si elle est sa copine, elle aurait plutôt tenté de...
-Vous permettez que je vous dise la vérité? Le coupais-je.
ça ne servait à rien de lui cacher ma relation avec Nick puisqu'il savait tout. Je n'avais plus de raison de le cacher.
-Bien sûr.
-Je crois que cette fille aurait pu avoir une bonne raison d'aller se plaindre à vous.
-Et... pourquoi ça? Me demanda-t-il, incertain de comprendre.
-Parce que ce jour-là où vous avez renvoyé Nick, il a rompu avec cette fille à cause de moi. Il voulait être avec moi, mais à ce moment-là, je ne voulais pas et je ne pouvais pas.
Je pense que le directeur ne s'attendait pas du tout à ce qu'une étudiante de 17 ans lui raconte tout ça aujourd'hui. Disons que ce n'était pas le genre de situation qui pouvait arriver chaque jour dans chaque école.
-Alors la situation était plus grave que je le pensais, rajouta le directeur, suite à lui avoir mentionné mon lien avec Nick.
Plus grave? Parce qu'il y avait eu quelque chose de grave dans cette situation?
-Je ne comprends pas. Qui a-t-il de grave?
-Mademoiselle, si je peux me permettre, quel âge as-tu?
-17 ans, bientôt 18.
-Donc tu es toujours mineure.
Je comprenais mieux. Nick avait été en couple avec deux jeunes filles mineures alors que lui, il avait presque 30 ans. Mais honnêtement, si Paris et moi avions été en couple avec Nick, parce que contrairement à ce que le directeur pouvait croire de ça, c'était que Paris et moi n'avions pas été prise dans une relation malsaine, prisonnière d'un homme en position d'autorité. Dans ce cas, qui avait-il de grave dans tout ça?
-Je ne voudrais pas trop entrer dans les détails, mais cette fille et moi étions très consentantes dans cette relation.
-Peut-être, mais aucune école ne peux accepter ce genre de chose dans son établissement. C'est pareil à...
Avant que le directeur ait pu continuer, la cloche qui sonna pour annoncer la fin de la pause et le début du prochain cours venu le couper.
-Ce genre de discussion aurait normalement dû se faire dans mon bureau, dit-il, sans terminer sa phrase d'avant. Mais peu importe, nous pourrions toujours en discuter plus longuement sur l'heure du dîner.
Qui avait-il d'autre à dire à ce sujet? J'avais dit ce que j'avais à dire, point finale.
-Je n'ai plus rien à dire là-dessus, lui dis-je en me retournant vers ma case pour pouvoir prendre mon matériel de mathématique.
-Très bien. Mais... sache que je n'ai pas renvoyé ce jeune homme avec le sourire. Nick était à sa place ici. Les étudiants sont déçus. Ils avaient développés un lien très spécial avec lui que je n'avais encore jamais vu avec d'autre enseignant. Ce que je peux dire là-dessus, c'est qu'il a fait du bon boulot, mis à part son comportement qu'il a eu en entrant dans ce genre de situation avec deux jeune élèves.
Je me retournai vers lui, or, je vis qu'il était déjà de dos à moi et qu'il avait repris son chemin dans le couloir. Au passage, il intercepta une bagarre qui était sur le point d'éclater entre deux jeunes étudiants.
J'étais touché de savoir que Nick avait été apprécié par les étudiants. Je ne l'avais jamais vu au travail, toutefois, j'imaginais qu'il devait être un excellent enseignant. Mais tout ça, c'était finit pour lui.
Peut-être que le directeur m'avait trouvé légèrement sauvage avec lui, néanmoins, peut-être aussi que j'en faisais trop. Je savais pertinemment que ce n'était pas une partie de plaisir de renvoyer des enseignants de son établissement scolaire. Cependant, je n'avais jamais insinué à cet homme que ça avait été un grand plaisir à mettre l'un de ses enseignants à la porte.
Bref, je suis resté assez perdu dans mes pensées pendant le reste de la journée. Je me sentais surtout mal à l'idée que le directeur croit que je le voyais comme une mauvaise personne parce qu'il avait renvoyé mon amant. Mais en plus de ça, rien de tout ça n'avait été la faute de cet homme. La seule personne responsable, c'était celle qui avait dénoncé Nick. Seulement, d'un autre côté, Nick aurait dû rester un peu plus discret là-dessus, cette journée où il avait laissé Paris devant tout le monde à la cafétéria.
Vers la fin de la journée, je me suis installé à une table à l'extérieur pour pouvoir attendre Nick là. Après cette journée qui m'avait semblé infini, tout ce que je voulais à présent c'était de voir Nick. Voir un visage réconfortant ne me ferait pas de mal.
5 minutes après être sortie, je vis sa fameuse voiture grise se pointer devant l'école. Je me levai du banc, prit mon sac que j'avais laissé par terre dans l'herbe et je me dirigeai vers sa voiture qui n'était pas encore arrêté. Une fois immobile, j'ouvris la portière du côté passager puis je montai à bord du véhicule.
-Salut, lui dis-je en entrant.
À présent, je me sentais libéré.
Je m'approchai de Nick pour pouvoir l'embrasser, (ça aussi ça me manquait après cette longue journée), et je m'occupai ensuite de mettre ma ceinture.
-Alors, pas trop dur cette journée? Me demanda-t-il, alors qu'il quitta la propriété de l'école.
-Pff, je l'es trouver longue et pénible, si ça peut te donner une idée de la façon dont je me sentais en sachant que tu ne remettrais plus jamais les pieds dans cette école.
-ça va finir par passer.
Devais-je lui parler de ce qui s'était passé avec Paris aujourd'hui, la méchanceté gratuite qu'elle m'avait précieusement réservé? Personnellement, je n'avais pas le désir d'entrer dans ce sujet négatif. Nous allions dans une café Nick et moi pour célébrer mon anniversaire, seuls, tous les deux ensembles. Je n'avais pas envie de parler de cette fille. Je ne voulais pas gâcher ce moment positif.
En parlant de café, j'en avais choisi un qui m'était plus familier. Our place cafe, c'était dans ce café que j'allais avec ma mère lorsque nous avions l'occasion de s'y rendre. Je ne sais même pas si elle s'était déjà rendue dans un autre café de la ville, mais en tout cas, si c'était le cas, elle n'y était pas aller avec moi. Je n'avais le souvenir que de ce café. Ma mère avait ses endroits favoris et elle ne l'es quittait jamais.
Durant notre route vers le café, j'avais finalement décidé d'entrer dans le sujet du renvoie de Nick du collège. Je pense qu'il était important qu'il sache qui avait réellement été le dénoncer au directeur de l'établissement.
-Nick, tu voudrais savoir qui est vraiment débarqué chez le directeur pour pouvoir te dénoncer? Lui demandais-je, en brisant le silence qui durait depuis plusieurs minutes.
Il tourna la tête quelques secondes vers moi, sans rien dire, comme s'il ne s'attendait pas à ce que je revienne aussi brusquement sur ce sujet.
-J'ai pu parler au directeur de l'école et il m'a dévoilé qui était le responsable de ça.
J'avais une puissante envie de dire à Nick que c'était Paris. Une envie colossale que ce soit sur son dos à elle. Je la détestant tellement, et pourtant, c'était uniquement de ma faute si Paris agissait aussi injustement avec moi. Je lui avais, dans un sens, voler son amour.
Je ne pouvais pas faire ça. Ce n'était pas moi d'être aussi mesquine envers quelqu'un. Je ne voulais pas non plus mentir à Nick. Le meilleur c'était de toujours dire la vérité, non? Je n'étais pas aussi mauvaise que ça dans la vie, même si je savais que Paris le méritait plus que tout au monde.
Une chose que ma mère m'avait appris et qu'elle m'avait souvent répété: « peu importe ce qui arrive dans la vie, soyons bon avec les gens, parce que c'est un magnifique héritage à laisser derrière nous ».
Je devrais plutôt suivre ce conseil à la place de faire le mauvais choix.
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