045 - Mercredi 16 Décembre
Avec ma nouvelle tenue, j’ai pris du galon mais lui aussi, il est certifié sous-diacre, Ewan, le fils de Brigitte que je croise à nouveau à la Basilique en accompagnant mon fils Antoine à son catéchisme chez les Sœurs de Adé où il se retrouve parmi les charmantes Sœurettes avec qui il joue.
- Ewan, je crois qu’on a fait le tour. Et notre rang exige un peu de retenue.
- Paloma, je repense tous les jours à nos moments à nous. C’est une grande source d’inspiration et une richesse émotionnelle et sentimentale que tu m’as accordées. Ça va m’accompagner pour l’éternité. Merci.
Quelle douce rupture, aussi douce que sa peau. Je le laisse à ses prières et je peux aller voir Brigitte un peu plus tôt. Mais je la surprends avec quelqu’une d’autre. J’interromps même un ébat. Aline me présente :
- Aurélie ? Comme le premier personnage de la B3 ?
- Enchantée Paloma, comme le personnage principal de l’annexe 3 ?
Elle est maigre, elle a l’air fragile avec ses grands yeux bleus et ses cheveux courts. On pourrait presque la prendre pour un garçon. Et dire que c’est elle qui nourrit toute la planète ! Et aussi mes courbes plantureuses.
- En fait, le premier personnage de la B3, ce n’est pas moi, c’est ma mère.
- Ah bon, il faut que je relise tout ça alors.
J’ai bien envie de lui faire une place dans mon annexe, et ailleurs. Elle a l’air charmante. Il me semble qu’elle fait partie de plusieurs harems déjà.
- Alors comme ça, Paloma, vous faites partie du Vatican ?
- Plus ou moins, SSV4, un service... annexe.
- Et de l’OPS avec Brigitte ?
- Plus ou moins, je n’y fait que de l’administration, rien d’occulte.
- Plus ou moins ? C’est drôle.
- Oui je cherche des alternatives à « Pour toujours et à jamais. »
- C’est pas mal.
- C’est bien aussi, dans l’ère du temps, c’est pas mâle.
On continuerait bien à plaisanter mais on se ravise, Aline se sent délaissée. Elle a besoin d’un gros câlin alors Aurélie termine le travail et plonge sa main dans la culotte de Aline. Elle m’invite à faire de même, sur elle, pendant que je sens les doigts de Aline entrer en moi. Une triangulation. On se retrouve chacune à boire de son lait et on se relaie pour lui en faire goûter. Soudain je suis surpris par la bouche de Aurélie qui essaie d’aspirer ma langue dans un long baiser langoureux plein de passion et d’envie. Je crois que je lui plais avec mes formes confortables pour son corps pointu.
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