Enfin arriver 1/2 :

5 minutes de lecture

Et voilà après six heures vingt-cinq de route, j'arrive en France.

Je suis à la frontière belge, je me gare sur le côté, je sors mon téléphone, il est temps que je vous parle de mon nouvel emploi, et de mes nouveaux employeurs.

Quand j'étais au pays, je travaille pour des clients et il m'avait engagé en passant par une société de garde d'enfants, un mois et demi avant mon arrivée en France, j'ai rencontré mes nouveaux employeurs, je vais vous présenter, depuis que je bosse, j'ai toujours eu des employeurs d'un certain âge, là ce n'était pas le cas il tous les deux vinht trois ans.

Pour certaines personnes, vingt trois ans, trop jeunes pour être parent, certains couples ne sont pas suffisamment matures pour avoir des enfants.

Pas chez eux, ils sont tout l'inverse des autres, ils sont différents, ils ont vingt trois ans tous les deux, elle est juste un peu plus vieille que lui de quelques mois, mais est ce que quelques mois ça compte ? Je ne pense pas.

Elle ce prénom Giulia, brune, yeux marron, 1m76, 60 kg, à tout casser, elle a de très belles formes où

Lui ce prénom Arnaud, châtain, yeux bleus 1m87, 85 kg, on dirait un joueur de rugby et sans oublier leurs petits champions Mathys, leur bébé, j'ouvre mon téléphone pour appeler Arnaud Je stresse assez, c'est vraiment la 1re fois que je vais lui parler, lors de notre rencontre, il avait un représentant de la société qui était présente avec nous, là, je suis seul pour lui parler....

Arnaud : oui ?

Moi : bonjour, vous êtes Arnaud ?

Je suis conne ou quoi ? Si je l’appel, c’est que sait bien lui... Il va me prendre pour une conne.

Arnaud : vous êtes qui ??

Moi : je suis Kristen, la fille au pair.

Arnaud (la voix plus douce) : oui bonjour Kristen, comment allez-vous ?

Moi : merci, je vais bien la route sait bien passée, mais un peu longue.

Arnaud : vous devez être fatigué par cette longue route.

Moi : oui, un peu, je suis surtout contente d'être arrivée pour commencer mon boulot le plus vite possible et voir Mathys.

J'avais le sourire dans la voix même après toute cette route.

Arnaud : vous êtes où ?

Moi : je suis à la frontière.

Arnaud : rester ou vous êtes, j'arrive, je serai là dans quelques minutes

Moi : je ne bouge pas, je vous attends.

Je retourne dans la voiture pour me reposer quelques minutes avant qu'il n'arrive, je n'ai pas envie qu'il me voit en état de fatiguer avancées 15 minutes sont passées quand je vois une grosse voiture arrivée et faire demi-tour en plein milieu de la route et venir ce gare juste devant moi, mon cœur commence à battre tellement fort.

Je pensais qu'il allait sortir de ma poitrine, on aurait dit que tout le monde pouvait l'entendre, je vois la porte de la voiture s'ouvrir et Arnaud sort, je fais de même pour aller en ça rencontre.

Il arrive avec un grand sourire, première fois que je voie des employeurs qui ont un sourire pour une employée.

Arnaud : bonjour et bienvenu en France (sourire)

Moi : merci bien monsieur.

Arnaud : vous êtes bien chargé dans votre voiture.

Moi : oui, toute ma vie est dedans, j'ai juste quelques meubles qui sont restés là-bas.

Arnaud : allons-y, deux personnes voudrait vous rencontrer.

Moi : je vous suis.

15 minutes, on arrive en ville, on trouve 2 places de parking l'une a coté de l'autre, une fois garer, on prend la direction de l'immeuble.

Un petit immeuble, il est plus petit que l'immeuble où je vivais, quand nous sommes arrivés devant la porte d'entrée de l'immeuble, j'étais sous le choc

Arnaud : vous avez le même temps que moi quand je suis arrivée ici, c'est une porte renforcée, la propriétaire n'a pas envie d'avoir de visiteur.

Nous rentrons, derrière la grosse porte se trouve une belle petite cour avec plein de fleurs, des oiseaux, on entends aucun bruit de l'extérieur, il ouvrit ouvre la seconde porte et nous montons jusqu'au dernier étage.

De marche en marche mon cœur bas de plus en plus fort et pour encore augmenter mon stress, il se retourne, est me sourit.

On arrive devant la porte de l'appartement, il ouvre la porte et on entre Il retire ses chaussures je fais la même chose sans chercher à comprendre, en retirant mes chaussures, je relève la tête et j'aperçois Giulia devant moi, elle aussi me sourit

Arnaud : coucou, pas trop dure avec Mathys ?

Giulia : oui, très bien, il dort là

Arnaud : Kristen ?

Giulia : bonjour (très grand sourire)

Pendant quelques secondes, je suis perdu, je suis un peu surprise de leurs politesses, de leurs sourires, en principe quand j'arrive dans une maison, je suis tout de suite mis au parfum, des règles que je dois suivre, je n'ai même pas un bonjour.

Oups ...

Moi : bonjour madame.

Giulia : appelez-moi par mon prénom. (sourire)

Ils ont fumé quelque chose pour avoir toujours le sourire ?

Moi : bien madame Giulia

Giulia : entrée (toujours son sourire)

J'arrivais dans un très bel appartement, je ne suis pas folle des appartements, mais celui-là avait un, je ne sais quoi de beau et la vue depuis leur balcon était magnifique, je suis resté quelques minutes à regarder la vue qu'il avait depuis leur appartement, il avait la vu sur des remparts, et même au-delà.

Le temps que je regarde la vue, Giulia avait mis la table avec un gâteau au chocolat et des boissons.

Giulia : installer vous (sourire)

Son sourire est beau, je me disais à moi-même, on était tous les 3 autour de la table, on a parlé pendant 45 minutes de ce que j'allais devoir faire, de mes heures, de mon salaire et de mes jours de week-end.

Ils ont présenté le contrat, ils l'avaient signé tous les deux, il ne manquait que ma signature, j'ai pris le temps de lire pour voir s'il n'avait pas des choses cacher, il faut être prudente.

Après avoir signé, on a fait ça avec une bouteille de champagne.

Je me disais et voilà, j'ai des nouveaux employeurs après un petit moment.

Arnaud : bon maintenant que vous êtes avec nous et que vous allez passer beaucoup de temps ici, je pense qu'il serait mieux qu'on se dise tu, vous en penses quoi les filles ?

Giulia : oui bonne idée, j'aurai dû y penser avant toi (elle rigole.)

Elle a un très beau rire.

Moi : je ne sais pas si je peux, vous êtes mes employeurs, ça serait un manque de respect pour vous, je dois rester à ma place...

Arnaud : vous bosser pour nous, on est d'accord ?

A suivre.

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