Quelque temps après... 1/2 :
Cela fait quelques semaines que je suis en France, que j'ai mon nouvel emploi et que je suis avec Giulia, Mathys et Arnaud, je fais mes heures de boulot, enfin, je ne sais pas si on peut appeler cela du boulot, je ne ressens pas cela comme une contrainte, obligation, mais plus un certain plaisir, une excellente ambiance et décontraction.
Mon réveil sonne, comme tous les jours sauf qu’aujourd’hui, nous sommes samedi, repos en principe, sauf qu'aujourd'hui, je vais aller avec Giulia pour faire les magasins.
Je me lève avec le sourire, je prends ma douche très vite et me précipite à l'appartement, j'ouvre la porte, je tombe sur Mathys qui se balade, il me voit, il arrive vers moi, je le prends dans mes bras.
Moi : qu'est-ce que tu fais le petit pirate ?
Giulia entendit ma voix, elle arrive.
Giulia : coucou Kristen, comment vas-tu ? (Elle me fait la bise.)
Moi : bonjour Giulia, je vais bien, je suis contente d'aller faire les magasins.
Giulia : moi aussi, je suis contente de faire une sortie entre filles, on pourra bien parler entre nous, sans la présence d'un homme dans le coin (Elle rigole.), tu t'es faite toute belle aujourd'hui.
Je ne sais pas pourquoi je commence à rougir comme une tomate.
Giulia : ne rougis pas ma belle, ça te va très bien, il te met en valeur, tu es magnifique.
Giulia m'a passé un de ses pulls, il est très moulant, j'ai une poitrine qui ne laisse pas indifférents, les hommes Arnaud entendit que j'étais là, il arriva dans l'entrée et me regarde.
Arnaud : oh oui, tu es très belle (il prend ma main et me fit tourner sur moi-même.), bonjour Kristen. (bise et sourire)
On prend le petit-déjeuner très rapidement, on ne tarde pas trop, on va prendre le train, une fois fini, on regarde l'heure du train, il est temps de partir pour être franc, depuis que je suis arrivée je ne suis pas allé plus loin que la boulangerie du quartier, je ne connais pas le reste de la ville, ça sera une première pour moi, on quitte l'appartement en laissant Arnaud seul avec Mathys
Giulia : ça va aller ?
Arnaud : oh oui, on reste entre hommes tout va bien se passer.
Giulia embrassa Arnaud, je commence à descendre les escaliers quand Giulia me fait signe de
revenir.
Moi : oui ?
Giulia : tu ne fais pas la bise à Arnaud ?
Moi : oh oui désolé, j'ai déjà la tête dans les boutiques.
Arnaud : on m'oublie vite, je vais être tout triste et Mathys, il n’a pas le droit ?
Moi : oh non, je ne voulais pas… Mais si
Giulia me coupa la parole.
Giulia : il veut te taquiner, faut faire attention à lui.
Arnaud : moi oh non jamais (en fermant la porte) mouahahaaa !!!
On quitta l'immeuble, on en avait environ pour 15 minutes de marche pour arriver à la gare en arrivant ...
Giulia : j'espère que ce n'est pas le gros con, oups, je n'ai pas dit d'insulte.
Moi (je rigole) : ah non rien du tout.
Ça me fait bizarre de sortir avec ma patronne, je pense qu'il faudrait que je comprenne et que j'accepte qu'ils ne soient pas des patrons, mais des amies, je me suis attaché à eux, mais pourquoi ?
On arrive à la gare, Giulia me tient la porte.
Moi : merci.
En réponse, j'ai eu un de ses très beaux sourires, je commence à regarder partout, pour voir cette gare, elle est très particulière, je pourrais même dire moche, je ne vais pas passer toute la journée ici, oups elle a avancé, il ne faudrait pas que je la perde on arrive devant la porte.
Giulia : oh non pas lui.
Moi : il a quoi ?
Giulia : il ne connaît pas la politesse, on dirait que de faire son boulot et un problème et dire qu'Arnaud devait des fois passer par lui pour son titre de transport quand il était étudiant.
Moi : oh le pauvre.
Elle avance, je reste un peu en arrière.
Giulia : bonjour monsieur ça sera deux billets aller-retours pour Lille
Le vendeur : bonjour,
Il nous regarde de haut en bas en s'arrêtant sur nos poitrines.
Giulia : ça va vieux cochon ça t'amuse ?
Le vendeur : oui madame.
Moi : il n'a peut-être jamais vu des poitrines de sa vie, il bande peut-être.
Giulia rigole, c'est à ce moment-là que je remarque que j'ai pensé à haute voix, le vendeur était sous le choc, une fois payer.
Giulia : tu as vu sa tête, il a dû se finir dessus.
Nos rires remplissent toute la gare, on regarde la voie pour le train, je ne connais rien, je la suis, on continue à parler du vendeur en allant sur le quai, on ne dirait pas, mais il y a beaucoup de monde.
Je ne sais pas où vont toutes ces personnes, nous sommes obligés de passe dans un tunnel souterrain, on sort en remontant par des escaliers et à ce moment mes yeux se posent sur de belles et longues jambes couleurs mates.
Je ne sais pas pourquoi, mais mon regard ne quitte pas, il reste là, les escaliers sont interminables, ma vision remonte de plus en plus, elle continue sur le vêtement.
Et très vite, je remarque que je suis en train de regarder les jambes de Giulia, ce qu'il faut dire, c’est que sa jupe est très moulante, Giulia à de très belles formes, je ne sais pas ce qu'il me prend, je commence à regarder ses courbes généreuses.
J'entends une voix qui dit : le train pour Lille va entrer en gare attention.
Cette voie me fait revenir à la réalité le train entre en garer.
Giulia : viens avec moi, on va aller à l'arrière du train, on est toujours plus tranquille, le monde arrive moins vite.
Je lui fais confiance, je la suis, elle ouvre la porte et monte à l'étage, elle prend quatre places alors que nous ne sommes que deux.
Giulia : on sera plus tranquille, pour mettre nos affaires pendant le voyage.
Nous discutons de mon arrivée, elle me demande si tout va bien.
Un petit moment de silence puis...
Giulia : je peux te poser une question ?
À suivre.
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