Pas peur...

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Une fois rentrée, on tombe nez à nez un agent de sécurité, je n'avais jamais vu un homme aussi grand.

Giulia : bonjour Momo (ils se font la bise.)

Momo : oh Giulia, oh là qu'est-ce que tu es belle, je suis célibataire si tu as envie (il a le sourire.)

Giulia : tu sais qu'il y a un seul que j'aime et d'ailleurs, je suis ici pour lui, Mercedes est là ?

Momo : ta déjà vu une fois Mercedes qu'elle n'était pas là ?

Giulia : ah non, momo je voudrais te présenter une de mes amies.

Momo : ok.

Giulia : non Momo pas une amie comme tu crois.

Momo : ah d'accord (ils rigolent tous les deux.)

Giulia : je te présente Kristen une de mes amies.

Je suis son amie, je ne sais pas quoi dire, je suis sur le cul.

Giulia : Kristen, tu es avec nous, elle doit rêver.

Moi : oui pardon.

Giulia : ah, enfin (elle a encore le grand sourire.), je te présente un de mais très très bon, mais le grand et fort Mohammed. (Momo pour les intimes)

Moi : bonjour monsieur Mohammed.

Momo : vous êtes amie avec Giulia, vous êtes une de mes amies, appelez-moi Momo.

Moi : d'accord Momo.

On discute quelques minutes et on passe le rideau, pour dire, j'avais un peu peur, j'imaginais beaucoup de choses dans ma tête une fois passé toutes mes idées étaient fausses, il avait des nuisettes, des strings, il avait tellement de choses je n'avais jamais vu autant de chose.

Giulia : tu es la Mercedes ?

Rien aucune réponse, on continue d'avance dans le magasin et je remarque des sex-toys, toutes les tailles, ça me gêne de voir ça et je deviens encore rouge.

Giulia : oh la coquine, tu regardes les sex-toys, tu as envie ?

Je ne sais pas quoi lui répondre.

Giulia : lâche-toi, on est entre amies ici.

Moi : je suis un peu choqué de ce que je voie.

Giulia : pourquoi ? Tu n'es jamais rentrée dans une boutique comme celle-ci ?

Moi : si 2 fois, mais elle n'étaient pas comme ça.

Giulia : ils sont beaux et regardent là-bas, ils sont plusieurs gros.

Je n'ose pas regarder, je suis trop gêné, Giulia ne regarde pas les sex-toys, elle regarde les tenues pendant une seconde, je me demande pourquoi elle ne regarde pas.

Mercedes : oh bonjour Giulia, tu es encore plus sexy, laisse-moi te regarder, magnifique (elle me regarde.), vous ne trouvez pas qu'elle ait sexy ?

Momo : oh oui très.

Giulia : merci Momo

Momo : de rien petit ange.

Mercedes : Momo... Momo retourné à la porte, pour qu'il n'y a pas de mineur qui rentre.

D'après Giulia personne ne peut rentrer sans qu'il le laisse passer.

Giulia : Mercedes, je te présente une de mais très bonne amie (d'amie, je passe à très bonne amie.), elle ce prénom Kristen.

Mercedes : bonjour Kristen (elle me fait la bise) bienvenue chez moi.

Moi : merci.

Mercedes : tu peux me tutoyer, je vais me sentir moins vieille.

Giulia : tu n'es pas vieille.

Mercedes : merci, aller pour la peine champagne.

On va au bureau après un verre chacun, Mercedes a dû nous laisse elle avait des chinoises elle devait s'en occuper et leur donner tous les invendus du magasin nous de notre côté, on passe du côté prestige, une partie de la boutique réserve aux amis(e)s de Mercedes.

Il y a encore plus de choses que dans la 1re partie du magasin, je suis moins mal à l'aise de la situation, peut-être que je m'habitue à voir tout ça ou peut-être sait à voir Giulia être aussi détendue.

Je ne te touche rien, je regarde tous les produits.

Giulia : tu n'es pas trop choqué, de ce que tu peux voir.

Moi : un peu moins, je suis moins gêné.

Elle me lance un de ses sourires, elle est trop belle, Mercedes a bien raison, Giulia est mignonne pourquoi je pense de cette manière, je ne suis pas bien ou quoi ?

Giulia : tu peux venir, j'aimerais avoir ton avoir.

Moi : tu veux me avis ?

Giulia : oui (sourire)

Moi : je ne suis pas une experte, je n'ai pas beaucoup de sous-vêtements " sexy "

Giulia : pas de soucis, viens.

Elle me présente plusieurs tenues deux nuisettes une bleues avec de la dentelle, une blanche presque transparente.

Giulia : tu en penses quoi des deux.

Moi : tu veux prendre les deux ?

Giulia : je ne sais pas encore, la transparente, j'aime bien.

Moi : oui, elle est belle, il ne faut pas sortir les poubelles avec cette nuisette.

On rigole tous les deux, elle prend les deux nuisettes dans son panier, elle continue à avancer dans le magasin, elle regarde le porte-jarretelles, un rouge, un blanc, un noir et un presque transparent avec plein de dentelle et encore là elle me demande conseil.

Giulia : tu peux les touches, voir s'ils sont doux.

Moi : oui.

Je me rapproche d'elle, nous sommes à quelques centimètres l'une de l'autre, nous avons nos mains sur la même porte jarretelle, je ne sais pas pourquoi je commence à avoir chaud, je me demande si je ne suis pas malade...

Giulia : il faut bien aussi s'amuser. (sourire)

Je n'ose pas imaginer ... Elle se retourne vers moi.

Giulia : tu n'as presque pas de string ou de nuisette, il faut changer ça maintenant.

Moi : je n'ai pas d'homme dans ma vie, ça ne sert à rien...

Giulia : tu te trompes, ça sert à te sentir bien, à te sentir femme, à te sentir désirable, belle, sexy.

Au fur et à mesure de ses paroles, je suis rouge, j'avais chaud, ses magnifiques yeux étaient dans les miens, plus rien ne compter, le temps était comme arrêter, la vie stopper.

Giulia : il ne faut pas que je te laisse comme ça, ça te dit quelques strings ?

Moi : quoi ?

Giulia : oui string 3 ou 4, aller 4

Moi : mais ...

Giulia : je te la paye, ne t'inquiète pas.

Moi : je ne peux pas te laisser faire ça...

Giulia : tu vas faire quoi ? (sourire)

Moi : rien.

Giulia : allez laisse-moi au moins t'offrir ça.

Moi : tu m'as déjà payé des vêtements.

Giulia : chute, ne discute pas, aller laissez-moi te faire ce cadeau.

Moi : bon d'accord.

Giulia : tu vois ce n'est pas compliquer. (sourire)

Moi : je vais te payer un verre pour peine.

Giulia : d'accord

Elle va vers un des salons (des pièces qui sont plus grandes que des cabines d'essayage) Elle rentre je reste derrière la porte pour surveiller que personne ne la dérange.

Giulia : tu es la Kristen ?

Moi : oui, je suis là, ne t'inquiète par personne ne va pas te déranger.

À suivre.

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