CHAUD !
Giulia : tu es la Kristen ?
Moi : oui, je suis là, ne t'inquiète par personne ne va pas te déranger.
Giulia : tu peux venir s'il te plaît ?
Moi : heu... Où ... oui, j'arrive.
J'ouvre le rideau.
Giulia : tu peux refermer s'il te plaît ? Merci ma belle.
Giulia est devant le miroir, elle était en nuisette devant moi, je me dit-elle est magnifique.
Moi : tu es belle Giulia. (pourquoi je parle)
Giulia (sourire) : merci ma belle.
Elle se retourne vers moi et elle arrive mon cœur commencé à battre comme jamais, je n'ai jamais été comme ça, elle est devant moi, je voie sa belle poitrine 95 D, je pense, elle vient de me faire la bise, le contact sur ma peau a fait comme un frisson qui me traverse, elle retourne devant le miroir je me dis ce que je fais là, j'allait sortir j'étais dos à elle, quand j'entend.
Giulia : tu peux rester s'il te plaît, j'aimerais avoir ton avis.
Je me retourne mes yeux, son comme attiré par Giulia, je vois sa main qui se dirige vers la bretelle gauche, elle glisse sur son épaule, elle le fait descendre doucement, on dirait que la bretelle de la nuisette est en train de caresse son épaule.
Elle fait la même chose avec la bretelle de droite, je commence à voir sa nuisette descendre sur le dos, je vois sa belle peau, elle est vraiment belle, je remarque très vite qu'elle ne porte pas de soutien-gorge, la nuisette continue sa descente, il arrive à sa chute de reins et il descend jusqu'en bas Giulia est toute nue devant moi, j'ai la vue sur corps, elle est vraiment magnifique je deviens toute rouge je me demande si je ne vais pas tomber dans les pommes, Giulia remarque que j'étais toute rouge.
Giulia : tu vas bien ma belle ?
Moi : oui, j'ai chaud, c'est tout. (mon regard était sur son corps, ses fesses.)
Giulia (avec le sourire) : d'accord ma belle.
Elle prend la nuisette transparente, mais ça ne change rien, j'ai l'image de son corps nu en tête une fois la nuisette passée, elle se retourne vers moi pour me demander mon avis, je la regarde de la tête aux pieds, elle est plus que belle, une vraie déesse.
Dans cette nuisette, sa poitrine est très bien mise en valeur, mes yeux continus de descendre, jusqu'à faire un arrêt sur son entre-jambes, elle n'a aucun poil, rasé, son minou est devant moi, j'ai chaud comme jamais, mais qu'est-ce qui m'arrive ? Elle est belle, à côté d'elle, je suis moche, je ne devrais pas rester à côté d'elle, je fais tache, elle me prend la main.
Giulia : tu es gêné ?
Moi (tête vers le bas) oui ...
Giulia : pourquoi ?
Moi : comme le dit Mercedes, tu es belle à côté de toi, je fais tache.
Elle me prend par la main et me conduit devant le miroir, elle se colle à moi, elle pose ses mains sur mes hanches et sa tête sur mon épaule, je peux sentir son souffle sur mon visage, sa poitrine contre mon dos, je peux sentir ses tétons pointés.
Giulia : regarde comme tu es belle, tu as un corps très sexy, tu dois en faire tourner des têtes.
Moi : oh non pas tant que ça.
Giulia : ne bouge pas, reste-la.
Elle va à la porte et elle prend le sac avec les strings et elle revient vers moi.
Giulia : je vais te prouver que tu es sexy et que tu vas en faire tourner des têtes.
Elle prend une des tenues sexy et elle me le passe.
Giulia : aller porte là...
Je commence à retirer mes chaussures, j'ouvre mon jean, je retire mon pull, je descends mon jean et le retire, je le pose sur la chaise, le pull prend la même direction que les jeans, le t-shirt aussi, je suis en soutien-gorge et culotte, les deux partent aussi sur la chaise, je sais par je fais ça machinalement, je ne sais pas pourquoi, on dirait qu'une personne me contrôle je suis toute nue devant le miroir.
Giulia : tu rigoles, tu es belle, tu as une très belle poitrine, de belles fesses, je ne comprends pas ton homme qui te laisse partir, il est complément con.
Je me retourne sur elle, je me cache la poitrine et mon sexe, je suis gêné comme jamais je ne l’ai été, j'ai honte, j'ai envie de disparaître, je ne bouge plus.
Giulia : tu es tellement belle Kristen.
Elle s'approche de moi en douceur, elle me prend les mains, pour que je l'ai retiré de ma poitrine et de mon sexe, je suis entièrement nue devant elle, Giulia regarde ma poitrine et mon minou, son regard sur moi m'excite elle me fait tourner devant le miroir.
Giulia : tu as un beau corps Kristen.
Elle se colle à moi, je sens sa poitrine se coller à moi, ses tétons sont durs, je ne sais pas si elle avait froid où elle le fait d'être collé à moi de cette manière ne devait pas la laisse insensible, elle met sa tête sur mon épaule, elle me regarde dans le miroir.
Tout son corps et collé au mieux je ne bouge plus, je ne respire plus, ses mains passent devant moi, elle les place devant mon visage, elles sont à moins d’un centimètre de mon corps, je peux sentir son parfum, une odeur qui m'envoûte, elle descend sur mon cou toujours sans me toucher.
Elle arrive sur ma poitrine, ma respiration s'accélère elle ne s’arrête pas de descendre vers mon ventre puis mon sexe elle remonte pour s'arrêter au niveau de mon ventre.
Giulia (elle me parle dans mon oreille.) : tu es sexy, ta poitrine est merveilleuse, elle a l’air douce et fermer, ton minou est splendide, tes fesses sont d’une beauté, magnifique.
Elle me dépose un bisou tendre et doux sur la joue.
Giulia (elle soupire.) : il est temps d'aller, on a le train à prendre pour rentrer.
Moi oh déjà..
Giulia : oui ...
Mes vêtements sont sur la droite, les siens sons sur la gauche, je commence à remettre mes vêtements, je tourne la tête, je vois Giulia toute nue et son sexe qui mouillait, après je me trompe peut-être ou certainement, je me trompe.
Nous sommes toutes les deux habillées, on va à la caisse, Giulia paye les sous-vêtements, on fait la bise en Mercedes et nous prenons la route pour la gare, on a tout juste le temps de passer au mcdo pour prendre un petit quelque chose à manger, le mcdo est dans la gare à Lille.
Je paye et on rentre, le retour se passe très bien, on rigole, on s'amuse bien, en arrivant, nous avons un peu de peur que deux hommes, nous ont suivies, nous sommes rentrées dans un magasin.
Le chemin jusqu'à la gare puis le retour, bien, jusqu'au moment ou nous sommes arrivées, la deux mecs, on commence à nous sifflets et a nous suivre.
Nous avons vite marché pour rentrer, une fois que nous avons vu la grosse porte nous sommes rentré, on referme, plus rien à craindre.
On monte les escaliers, arrivée à mon appartement.
Giulia : tu viens prendre un verre en haut ?
Moi : oui d'accord, pas trop longtemps.
Giulia : d'accord, laisse-t-on tes sacs-là, où sinon Arnaud va te taquiner dessus.
Moi : oui, tu as raison.
Je prends un petit foulard, j'ai un peu froid à la gorge, on monte Giulia embrasse Arnaud et je retrouve mon petit homme Mathys.
Giulia : chacun son homme (sourire)
Moi : exactement.
Arnaud : comment sait passer la journée les filles ?
Giulia et moi : très bien.
On se regarde et on rigole.
Giulia : on a eu juste un peu peur.
Arnaud : ah bon.
Giulia : deux hommes nous ont suivies.
Arnaud : ici ?
Giulia et moi : oui
Arnaud : je vais aller voir dans le quartier.
Giulia : non, laisse tomber.
Arnaud : non, personne ne te fait peur.
Arnaud prend une petite veste et descend, on va sur le balcon, on le voit rentré dans une rue 10 minutes après une voiture de la police arrivent dans le quartier et prend la direction.
La porte s'ouvre, on court dans l'entrée Giulia cour dans ses bras et l'embrasse, l'instant qui suit elle lui mettre une grande gifle, il lui arrête la main avant qu’elle ne touche son visage, elle le réembrasse.
Giulia : tu ne recommences plus jamais ça, on serait devenu quoi s'il t'était arrivé quelque chose ?
Arnaud : aller bébé, vient là.
Je prend Mathys dans les bras et partie dans le salon devant la télévision 10 minutes après ils reviennent à deux.
Arnaud : les deux, on était contrôlé par Anthony (Un de leurs amis)
L'heure du repas arriva, on s'installe, on mange, on parle de la journée, aucune allusion sur ce qu'il sait passer au magasin, au cours du repas j'ai chaud, je retire mon foulard et le pose sur une chaise, repas fini, on s'installe dans les canapés Giulia coucha Mathys, il s'endort très vite.
Après les films, je laisse Giulia et Arnaud, je rentre chez moi, je suis fatigué, je rentre chez moi, je ne pense qu'à aller dormir.
Moi : rho merde, je suis conne, j'ai oublié mon foulard, je décide de remonter pour le reprendre.
À suivre.
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