Mes amies.

4 minutes de lecture

Le réveil sonne, je reste au lit encore quelques minutes, j'en profite pour me caresser un peu, mes mains connaissent la route pas cœur mes lèvres vaginales sont ouvertes, on dirait que j'ai vraiment eu un rapport cette nuit, je continue, a, me caresse un peu, ça me fait gémir, je repense à la poitrine de Giulia, ses tétons durs contre moi, son sexe.

Je me pose toujours la question de savoir si elle était mouillée, le bruit de la fessée d'hier revient à ma mémoire, je suis tout excité je mouille de plus en plus tout mon corps commence à rentrer dans un transe complément fou et incontrôlable, mon corps est plus sous contrôle, j'ai plein d'image qui m'arrive en tête Giulia me doigte, sa bouche sur mes seins je ressens comme une force en moi.

Moi : Ouiiii hmmmmm.

Je suis dans un état second, j'étais possédé, mais par quoi ?? Je tourne la tête, je vois l'heure 7 h.

Moi : aller faut que je me bouge en 20 minutes, je suis lavé, prête, je ferme la porte, je monte arriver à la porte, je me demande s'ils sont levés, je mets la clé à la porte, elle n'est pas fermée à double tours Signe que je peux rentrer dans l'appartement, aucun bruit, aucun gémissement.

Arnaud : coucou (sourire et la bise)

J'aime cette manière de dire bonjour.

Moi : coucou.

Je lui rends la bise, je regarde, je ne vois pas Giulia, nous commençons le petit-déjeuner à deux quand j'entends une porte s'ouvrir.

Giulia (les cheveux en bataille, complètement pas réveillée) : coucou vous deux.

Elle embrasse Arnaud et elle me fait la bise, elle s’installe à cote de son homme, nous écoutons le journal d’information, je fais tomber mon couteau à terre. (pas fait volontaire)

Je le ramasse et en regardant sous la table, je vois la main d’Arnaud sur la cuisse de Giulia, elle écarte les jambes, elle ne porte pas de culotte, elle est d’humeur coquine aujourd’hui, j'ai la vision sur son minou.

Je ne dois pas voir ça, je remonte, je suis rouge, ils vont me demander pourquoi je suis rouge une fois sorti de dessous, les deux écoutent le journal, je vois qu'Arnaud a toujours sa main sous la table en buvant mon chocolat, j'entends.

Giulia : hmm

Une seconde pas plus, Arnaud a un sourire aux lèvres, je fais comme si je n'avais rien entendu le reste de la journée se passa très bien, je m'occupe de l'appartement, je ne fais pas que la nounou, je m'occupe de toute l'habitation ménage, etc. …

Après, il faut dire que je suis payé aussi pour faire ça, un bon plus à la fin du mois, j'en suis bien contente pour tout vous dire, je n'ai presque rien à faire, l'appartement est propre.

Le soir arrivé, je vois Arnaud dans son bureau, il est en train d'écrire, je rentre.

Moi : tu voudrais boire quelque chose ?

Arnaud : oui merci (sourire)

Je retourne dans la cuisine et je prends un jus de fruit.

Moi : tiens Arnaud

Arnaud : merci Kristen, je suis vraiment content que tu sois là.

Je m'assois sur l'un de fauteuil pour l'écouter, je commence à rougir.

Moi : merci d'avoir ouvert les portes de chez-vous

Arnaud : non, merci, à toi, j'aime bien d'avoir avec nous.

Je suis rouge comme une tomate.

Arnaud : tu vas bien ?? (Je ne bouge pas, je suis gêné, je baise les yeux et je rougis Arnaud se lève et viens devant moi, il se met à genoux et me regarde.) qu'est-ce qui ne va pas ?

Moi : je suis gênée par ton compliment.

Arnaud : je le pense, j'avais un peu peur au début, avoir une "inconnue" mais en apprenant à te connaître, je t'apprécie de plus en plus.

Moi : merci …

Je suis rouge ....

Arnaud : aller vient me faire un câlin.

Moi : je ne sais pas si je peux.

Il me regarde avec un sourire, je me lève et vais dans ses bras, je me colle à lui, ma poitrine touche son torse, je repense encore à l'autre nuit où j'ai entendu Giulia et Arnaud... Je vois Giulia rentrée dans le bureau, je repousse Arnaud.

Moi : ce n'est pas ce que tu crois, Giulia.

Giulia : ce n'est rien, vas-y retourne dans ses bras, tu étais bien, tu avais les yeux fermés, zen, on est bien dans ses bras !!! (Je ne sais pas quoi répondre.) Tu peux le dire, ne soit pas gêner, tu sais dans la vie, il faut parler, il ne faut pas avoir peur de quoi que ce soit.

Moi : les bras d’Arnaud, son grand.

Giulia : on se sent en sécurité.

Je retourne dans ses bras, en disant cela, Giulia se rapproche de nous, elle nous regarde, les bras d’Arnaud son tout autour de moi, je me sens bien, je ferme les yeux, j'entends son cœur battre, il s'accélère, sûrement la fait d'avoir une autre femme dans ses bras.

Arnaud : elle est bien dans mes bras. (il rigole.)

Je m'écarte de lui, je ne sais pas ce qui m'a prix, Giulia arriva elle prend ma main et on est repartie dans un câlin à 3.

Le reste de la journée et de la semaine se passa très bien.

À suivre...

Annotations

Vous aimez lire Morgan Uchida Officiel ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0