Mon passé :
Lundi, en milieu d’après-midi, je vais faire quelques courses, il me manque quelques produits, nous avons découvert une trace de moisissure.
Je me gare devant le portail le temps de descendre les affaires, pour les mettre dans l’entrée, une fois fait, je vais pour mettre la voiture sur le petit parking.
Je rentre avec le sourire, car aujourd’hui Arnaud va faire ses frites, cassoulet, bière.
Je prends mes clés pour ouvrir la porte lorsque j’entends.
Dimitri : mon amour (sourire).
Lorsque j’entends sa voix, mon cœur s’emballe, je n’en reviens pas, je me retourne.
Moi : qu’est-ce que tu fais là ?
Dimitri : je suis là pour toi et te ramenais au pays.
Moi : me ramener au pays, non mais sérieux Dimitri, tu te crois ou là, tu crois que sait toi qui décide pour moi ? Alors mon petit, je te le dis, je suis une femme libre, je n’ai ni dieu, ni maître, donc tu as fait toute cette route pour rien.
Dimitri : tu as fini ?
À ce moment-là, je vois ses deux frères qui arrivent.
Moi : qu’est-ce qui foute là les deux idiots ?
Dimitri : d’une manière ou d’une autre, tu vas rentrer au pays Kristen.
Son frère arrive vers moi, pour me prendre par le bras, je lui donne un coup de genoux dans les couilles.
Dimitri : idiote, aller, on l’emmène.
À cet instant-là, tout se passa très vite.
Son jeune frère est projeté contre le mur, son visage heurte le mur, il pisse le sang, le plus fort des frères de Dimitri voie son frère qui pleure, il regarde vers Arnaud.
Frère : tu as touché mon frère, tes un homme morts.
Arnaud (sourire) : hmmm, oui, mon gros, vient. (il lui fait signe de la main de venir.)
Il court dans sa direction, je suis incapable de bouger, je n’en reviens pas de ce qu’il se passe, Arnaud, passe la main dans son dos pour en sortir une matraque télescopique, il donne un coup dans de genoux puis dans les côtes du frère, il tombe à terre, Arnaud, il donne un coup-de-poing, il tombe KO à terre.
Arnaud : rentre Kristen, je m’en occupe. (sourire)
Sa voix me fait revenir, je tourne la clé et rentrer.
Sauf que je n’ai pas été assez rapide, Dimitri, me pousse à l’intérieur, je tombe sur le sol.
Dimitri : c’est lui qui te baise, ce fils de pute, je vais le tué, tu es ma femme.
Moi : je ne suis la femme de personne.
Dimitri : je vais te frapper, tu vas comprendre que tu es à moi.
La porte s’ouvre.
Arnaud : eh, connard, attaque-toi à une personne qui peux répondre.
Il regarde Arnaud.
Moi : attention Arnaud.
Arnaud : ne t’inquiète pas.
Dimitri : tu la baises.
Arnaud : je vais te donner un seul conseil, alors écoute bien, tu as la possibilité de repartir sur tes deux jambes ou bien, je te balance sur la route.
Dimitri (il rigole) : tu joues au coq.
Arnaud : ok, comme tu veux.
Dimitri : je vais te fermer ta gueule, fils de pute, ou son mes frères ?
Arnaud : à l’extérieur, ils appellent leur mère. (il rigole)
Dimitri : tes morts
Il sort un couteau, il court vers Arnaud.
La une nouvelle fois, tous se passent très vite, Arnaud donne un coup de pied dans le bras, le couteau tombe sur le sol, un second coup de pied lui tape en pleine tête, Dimitri, tombe à terre.
Arnaud se dirige vers le couteau, il le prend puis se dirige vers lui.
Dimitri est à terre, il est sonné, Arnaud l’attrape par les cheveux.
Arnaud : vient ici, fils de pute (Il lui met le couteau sous la gorge) alors maintenant, tu vas t’excuser, ou sinon je te saigne comme un porc, et crois-moi... Personne ne retrouvera ton corps, aller, j’entends rien.
Dimitri (en pleure) : c’est une salope (le couteau lui coupe un peu la peau) je m’excuse.
Arnaud : mieux que ça, dit lui que tes une merde en putréfaction et arrête de pleurer petite merde.
Dimitri (en pleure) : je suis une merde en putréfaction Kristen.
Arnaud : excellent, donc tu as moins de 15 min pour quitter la France, avant que la police n’arrive pour t’arrêter toi et tes frères.
Il le balance sur le trottoir, il manque, t’atterris sur la route, il s’arrête juste devant une voiture, ils partent en courant vers leur voiture.
Il regarde leur voiture partir, puis il rentre en courant vers moi.
Il me prend dans les bras, je pleure comme jamais.
Je n’en reviens pas, de ce qu’il vient de ce passé, je suis sous le choc, nous restons un long moment en bas, à discuter, il me remonte le moral.
Au bout d’un moment, je me calme.
Moi : ils vont aller voir la police...
Arnaud (sourire) : ne t’en fais pas, je n’aurais aucun souci Kristen, et je ne crois pas qu’ils vont ouvrir leurs gueules, aller vient, on rentre, il te faut un bon verre.
À suivre...
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