Je suis sur un cheval, il court comme un fou dans une longue et grande plage, il fait beau et chaud, je remarque que je suis toute nue sur le cheval, les cheveux dans le vent, lorsque le cheval s'arrête doucement et tourne la tête, il me regarde dans les yeux.

Le cheval : alors tu te sens bien ?

Moi : de quoi ? Tu parles ?

Le cheval : aller, il est l'heure.

Moi : l'heure ?

Le cheval : aller ouvre les yeux.

Et là, je comprends que je ne suis pas sur un cheval, mais sur un canapé et que je me suis endormis, avec ma tête de poser sur l'épaule d’Arnaud, et qu’il était le cheval.

Je commence à rigoler, quand les deux me regardent comme si que j'avais un problème.

Giulia : tout va bien ?

Moi : oui, tout va bien, j'ai juste fait un beau rêve.

Giulia : vas-y fait le partager ton rêve. (sourire)

Moi : j'étais sur un cheval qui était sur une plage. (Je n'ai même pas eu le temps de finir de raconter mon histoire)

Giulia : ah, tu te fessais baisé par un cheval, t'es vraiment en manque (elle rigole comme une folle.)

Moi : oui, il me baise comme une folle.

Giulia : cochonne.

Moi : non mais sérieusement, tu me prends pour qui ? Oui, je suis en manque de sexe, mais pas au point de pensée à me faire prendre pas un animal.

On se regarde tous les 3 et nous rigolons tous ensemble de bon cœur ouais je change, Il y a un petit moment, j'ai fait une bêtise, j'avais raconté à un ami, qui ne les plus maintenant je lui avait dit que j'avais écouté les deux pendant qu'ils couchaient ensemble et cette pseudo-amie leurs à tout dit suite à cela les 2, on voulut me parler, cette conversation avaient duré, j'avais même peur qu'il me demande de partir, me faire viré.

Depuis ce moment, nous nous parlons plus ouvertement et plus simplement, il y a encore moins de distance entre nous nous parlons ouvertement, voilà vous savez tous.

Depuis ce moment, je suis plus proche et plus familier avec eux, le soir en regardant la télévision, je pose ma tête sur l'épaule d’Arnaud, Giulia pose sa tête sur son ventre, des fois, je ne peux pas m'empêcher de rigoler en voyant sa tête monter et descendre par rapport à la respiration d’Arnaud.

Comme tous les vendredi (ou presque) je vais au club pour passer une nuit entière à danse et m'amuser.

Arnaud : il est l'heure que tu ailles, tu vas être en retard.

Moi : oh oui, il est plus que temps que je prenne la route.

Les deux se lèvent pour venir me faire la bise et un câlin, car oui, depuis un moment, nous nous fessons des câlins, en tout bien tout honneur.

Je prends la route et une fois arrivée tout le monde est présent, nous passons une nuit très bien et bonne, je ne savais pas ce qu'il allait ce passée demain …

À suivre…