Les changements 2/5 :

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Samedi, je suis rentrée vers 5 h du matin, je suis partie directement vers mon lit, j'en pouvais plus, j'avais mal aux jambes, une fois arrivée devant ma porte, je regarde vers le haut en me disant, ils doivent dormir.

Je décide de faire de même, en quelques secondes, je m'endors, je ne sens plus mes jambes en me réveillant, je vois qu'il est 10 h 30, je décide de me lever de prendre une douche et d'aller petit déjeuner.

Quand j'arrive la porte est ouverte, je me demande, pourquoi, je rentre doucement au cas où, s'il y a des voleurs, je rentre prudemment, je prends la batte de baseball au cas où j'avance prudemment quand j'entends une voix derrière moi, provenant de la porte d'entrée, je reconnais la voix de Giulia.

Giulia : ne bouge pas ma belle (je ne bouge pas...) qu'est-ce qui te va bien ton jean, il moule ton cul.

En disant ça, elle pose ses mains sur mes fesses

Moi : hummm

Giulia : t'es vraiment sexy.

Moi : tu vas me faire rougir.

Je me retourne sur elle, elle est habillée d'une chemise en jeans, les derniers boutons son ouverts, on peut voir le haut de sa belle poitrine, et elle porte un petit short qui cache à peine ça chatte.

Je ne veux pas dire que ça chatte est voyante, je veux dire que son short est très petit... Le contact de sa main sur mes fesses me déclencha un frisson qui me traverse tout le corps, elle le remarqua.

Giulia : tu aimes le contacter de mes mains sur toi.

Moi : tu as les mains tellement douces et toi, tu aimes me toucher les fesses.

Giulia : oui, j’aime bien et j'ai complétement oublié de te prévenir, mais la sœur d’Arnaud et son mari vont passer manger à 12 h, ils doivent nous parles et moi comme une conne...

Moi : d'accord, je vais, vous laisse en famille.

Elle me regarde bizarre et elle arrive sur moi, elle me retourne et une donne une fesse ce n'était pas une fesse coquine, c'était une pour me faire mal, je l'ai bien senti, à tel point que j'avais les fesses rouges, sa fesse avait traversé mon pantalon.

Giulia : tu arrêtes de dire des bêtises, tu fais partie de notre famille, on te veut avec nous, tu sais bien que tu comptes pour nous, tu es l’une de mes meilleures amies.

Pendant ses paroles, j'étais en train de rougir sur place.

Moi : merci, Giulia, vous compte aussi pour moi, n'en doute jamais.

Giulia : on n'en doute pas, allé vient dans mes bras, je veux un câlin.

On se prend dans les bras, je peux sentir son cœur battre tellement que nous sommes collées, nos poitrines sont collées l'un contre l'autre, je peux sentir le souffle de sa respiration contre mon coup, cela me donna quelques frissons et je remarque assez vite que cela arrive à Giulia, nos corps avaient eu des frissons presque en même temps.

Ce qui nous provoqua des rires entre nous une fois nos rires finis, on se refait un câlin, on reste un petit moment sans bouger, jusqu'au moment où je vois Arnaud arrivées, il s'arrête en plein milieu des escaliers et nous regarde.

Il rentre et ferme la porte.

Arnaud : vous êtes très belle les filles.

Giulia et moi (on le regarde en rougissant.) : merci.

Elle lui fait un bisou sur la bouche, je lui fais la bise, il avait été cherché un pain, car nous avions tous mangé hier soir une fois le petit-déjeuner fini, on fait un peu de rangement, car avec un enfant dans la vie, il y a vite des choses qui ne sont pas rangées.

Arnaud : aie déjà 11 h.

Moi : sérieusement ?

Arnaud : ouep déjà.

Moi : je fais quoi à manger ?

Arnaud : on va faire tous les trois à manger, tous ensembles.

On prend de la viande, on fait une purée (faite maison) en très peu de temps, il était 12 h, nos invités étaient là, ils sont passés une partie de l'après-midi, ils sont venus pour nous annoncer une bonne nouvelle, ils allaient avoir un enfant.

On n'a pas pu s'empêcher d’ouvrir une bouteille de Champagne, pour fêter la merveilleuse nouvelle et pour la future maman, un jus de fruit.

Un peu plus tard en fin d'après-midi, les futurs parents m'ont parlé pour me demander si je connaissais une fille au pair qui serait d'accord pour venir en France.

Nous avons parlé pendant un bon moment, je ne savais pas trop, je leur ai dit que j'allais me renseigner pour voir, ils sont repartis, de notre côté, on parle un peu de cette nouvelle.

Jusqu'au moment de leur départ, j'alle les tenirs informer.

Puis tres vite.

Giulia et moi, nous allons à la cuisine pour préparer le repas de son côté Arnaud et dans le salon, il vient de mettre un peu de musique

Arnaud : vous voulez une bouteille les filles ?

On répond en même temps : pourquoi pas Arnaud

Il descend à la cave pour prendre une bonne bouteille, une fois rentrée, il vient nous rejoindre pour assister à faire le repas, nous avons fait un gros hamburger et des bonnes frites, et tout sa maison bien sûr.

Il a mis la table et a mis une bière pour bien accompagner le repas, on regarde la télévision, on répond aux différentes questions de l’émission, tranquillement et on rigole bien.

Le repas fini, nous sommes tous dans le canapé et nous regardons la télévision tranquillement, ce soir, je n'ai pas envie de sortir au club, j'ai envie d'être tranquille avec eux, à regarder un programme.

On n'arrête pas de zapper, car on ne trouve pas de programme qui nous intéresse, on tombe tous d'accord pour M6 et on regarde NCIS Los Angeles, je pense qu'avec Giulia, nous avons choisi ce programme pour faire plaisir à Arnaud, on est pas " folle " de ce programme j'ai du mal avec ce programme, car j'ai du mal à comprendre le sens de l'histoire, il m'a fallu un bout de temps avant de comprendre, certain peuvent dire que je ne comprends pas parce que je suis blonde, faux, je suis châtain, voilà la différence !!!!

La fatigue de la nuit d'avant et de la journée commence à se faire ressentir, je commence à m'endormir doucement, les yeux sont lourds et je m'endors, j’ouvre les yeux (avec ma tête sur l'épaule à Arnaud) par un bruit d'explosion, ce qui me fait sursauter immédiatement.

Arnaud : tu as eu peur ?

Moi : non, le bruit ma réveillé, ils ne peuvent pas se faire exploser ailleurs.

Les deux rigoles

Je repose ma tête contre son épaule.

Arnaud : attend (il passe son bras derrière ma tête et colle contre son torse) tu seras mieux, tu ne trouves pas ?

Moi : oui, je pense, merci Arnaud.

Giulia : le film fini dans combien, de temps ?

Arnaud : il y a encore 30 minutes, je pense.

Giulia : tu rigoles tout ça, ok, j'ai compris.

En disant ça, elle vient poser sa tête sur le petit ventre d’Arnaud.

Giulia : voilà, je serai mieux pour regarder le film, ne respire pas trop fort.

Arnaud : oui, ben si tu n'es pas contente, tu prends un cousin (une petite fesse)

Giulia : fais comme chez-toi.

Arnaud : tu penses que je fais quoi ?

On rigole tous, dans la joie et la bonne humeur.

On regarde tous les trois le film sans un mot, nous sommes confortablement allongées, on profite du film lorsque je vois Giulia mettre sa main sur la cuisse d’Arnaud, pendant que j'ai toujours la tête sur son épaule, je regarde le film et des fois, je regarde la main de Giulia.

Giulia : le film est bien, ne vous trouve pas ?

On répond tous les deux : oui très bien.

Giulia remonte un peu, elle place sa tête sur le cœur à Arnaud, sa main est retournée sur la cuisse d’Arnaud, elle commence à caresser la cuisse de plus en plus, je ne regarde plus le film, je regarde la main.

Arnaud, lui ne quitte pas le film du regard, il ne s'occupe même pas de ce qu’elle est en train de faire elle monte de plus en plus, je ne quitte pas sa main du regard, cela dure pendant un petit moment, sa main remonte plus haut puis redescend, c'est à ce moment-là, que je vois une bosse apparaître sur le jeans d’Arnaud.

Les caresses de Giulia sont plus douces, plus sensuelles, elle continue de faire ses caresses, j'observe sa main qui s'approche de la bosse rapidement, je vois cette bosse grossir et devenir importante au fur et à mesure des caresses, je vois une queue apparaître après quelques minutes, Arnaud bande sa queue a l'air grosse et longue, mes yeux ne quittent pas du regard cette chose.

À cet instant, je repense aux paroles de Giulia l'autre jour quand j'ai écouté à leur porte, Giulia n'a pas menti, Arnaud à une grosse queue.

J’ai du mal à contrôler mon corps, je ne lâche toujours pas du regard cette forme, elle doit mesurer dans les 20 cm ou plus ... je ne saurais pas dire combien en largeur, ce que je sais, je n’en ai jamais vu d’aussi grosse, longue et large.

Je commence à avoir les seins qui pointent, le bas-ventre en feu, tout mon corps commence à avoir chaud, la tête de Giulia qui tourne en direction de la queue, elle remonte la main pour venir se pose dessus.

Elle l'a caressé, là sous mes yeux, cela ne la dérange pas, on aurait dit qu'elle était en train de le branler doucement à travers le jeans... Giulia remonte pour aller embrasser Arnaud sur les lèvres, elle commença à descendre doucement, jusqu'à son cou, la main était toujours active sur la verge.

Je n'osais pas bouger, je ne pouvais plus respirer, mon corps était à l'arrêt... Jusqu'au moment dans le film ou il y a des coups de feu qui se produise, en entendant cela, j'arrive à reprendre le contrôle de mon corps, tout fonctionne, je décide de prendre la fuite et de partir pour laisser les deux.

Je me lève d'un coup pour leur dire.

Moi : bonne soirée, ne fais pas trop de bruit, bisous.

Je n'ai pas le temps de sortir de la pièce que Giulia est devant moi, elle me prend les mains et elle me regarde la sensation de ses mains me rende toute chose, tout sensible, j'ai encore une fois plus le contrôle, je deviens toute rouge, on aurait dit une tomate bien mure.

Elle est là devant moi, elle ne dit rien, elle me regarde, je pensais qu'elle voulait me faire la bise pour me dire bonne nuit, non cela ne sait pas passé de cette manière.

À la place, elle est arrivée juste devant mon visage, je pouvais sentir sa respiration contre mon visage, j'étais bloqué, une statue, je ne pouvais plus bouger son regard est doux, sensible, tendre, ses mains sont toujours dans les miennes, elle se rapproche encore, pour finir par dépose ses lèvres sur les miens.

J’ai le souffle coupé, je n’en reviens pas, ses lèvres sont tellement douces, tendres, mon corps tremble, il a chaud, cela créait en moi une vague de frisson qui me parcourt tout le corps.

Lorsque j'ouvre les yeux, Giulia me fait son plus beau sourire, je suis incapable de dire quoi que ce soit, elle revient m'embraser, je peux sentir sa langue qui essaie d'ouvrir mes lèvres et d’entrée.

Au début, j'essaie de résister, mais ma résistance ne dure pas longtemps, je suis trop faible, je m’abandonne aux lèvres expertes de Giulia, je suis sous le charme, je me laisse aller, lorsque j’ouvre la bouche et que sa langue touche la mienne, un contact ce produit entre nous.

Je me rends compte que je suis en train d'embrasser une femme, je suis un peu choqué, cela ne dure qu'un instant, notre baiser est doux, tendre, on aurait dit que nos bouches sont en train d'apprendre à se connaître en toute sensualité.

Nos langues ont décidé de ce lancé dans une folle dance, nos lèvres ne veulent pas ce décollé, je dois forcer pour me retirer, car je devais respirer et re prendre mon souffle.

Lorsqu’elles se séparent, on se regarde dans les yeux, j'ai l'impression de rentrer en elle, nous ne lâchons pas, on se tient toujours les mains, elle me caresse la paume de main.

Elle passe sa langue sur les lèvres en me regardant, j'ai l'impression qu'on a plus besoin de parler, nos yeux parlés par eux même, je peux lire dans ses yeux qu'elle a envie qu'on s'embrasse encore et qu’elle a envie de moi.

Je me rapprochais d'elle, doucement, nos yeux sont toujours l'un dans l'autre jusqu'au moment où je sens un souffle chaud dans mon cou, qui me traverse tout le corps, à ce moment-là, que Giulia membrasse.

Arnaud : tu es tellement sexy Kristen.

Je n'ose pas répondre ou dire quoi que ce soit, il se colle à moi, sa queue se colle contre mes fesses, je suis perdu comme jamais, une femme sexy m'embrasse comme jamais, un homme hyper attirant est derrière moi.

Une petite voix dans ma tête me dit, tu fais quoi ? Tu ne dois pas, ils sont, t'es amis, tu ne peux pas faire ça, tu ne peux pas coucher avec eux

Tout mon corps me fait comprendre qu'il a besoin de plaisir, qu’il a besoin qu’on s’occupe de lui Pendant les secondes où j'étais dans mes pensées Giulia m'embrasse et Arnaud embrasse mon cou

Il remonte jusqu'à mon oreille et il me mordiller ma tête, tombe en arrière, Giulia m'embrasse dans le cou, leurs bisous sont de plus en plus sensuel et érotique Je sens sa bite qui est totalement collée à moi, Giulia passe ses mains dans mon dos et me caresse, Arnaud passe ses mains devant ma respiration s'accélère, je garde le contrôle du mieux que je peux, j'ai mon string de mouiller comme jamais, mes seins pointent à me faire mal, mais je résiste je me dis que je dois partir jusqu'au moment.

Arnaud : tu nous excites Kristen... Passe la nuit avec nous.

Au moment où il me dit " avec nous, "il bouge du bassin ce qui augmente la sensation de son sexe, il prend ma main et la pose sur le sein de Giulia.

Moi (à voix douce) : eh merde.

J'embrasse Giulia à pleine bouche, je lui pince les seins.

Giulia : hmmm.

Je me retourne et j'embrasse Arnaud, je ne me pose pas de question, je force la bouche pour que ma langue puisse rentrer dedans et danse avec sa langue.

Giulia : colle-toi à lui.

Me dit-elle à l'oreille, avant de me mordiller, en me collant, je sens la queue d’Arnaud, je mouille,

Ma chatte est trempée, je caresse le torse d’Arnaud, elle se colle à moi et m'embrasse le cou une fois rentré dans la bouche d’Arnaud, nos langues dansent de la même manière que je me suis dit, il embrasse bien, même très bien et pour le reste... Je pense que je vais le savoir bientôt... Je tourne la tête pour embrasser Giulia, de son côté Arnaud embrasse mon cou Giulia me retourne et elle me prend la main.

Je n'ai plus aucune volonté, plus aucune résistance.

Nous prenons la direction de la chambre à 3.

[La porte se referme derrière Arnaud]

A suivre...

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