Le récolteur

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Saru essuya souffla, s'ébroua en tentant de chasser les grosses gouttes de sueur qui s'écoulaient au travers ces gros sourcils. La chaleur dans sa cabine don­né un goût de l'enfer qui régné au de­hors. Le lac de lave craché sa manne de cristaux de Lux. Avec prudence les scap­handrier mener a l'aide de pic les blocs flottant vers la rive. Saru avait la tache délicates de refroidir la lave autour du bloc pour qu'on puisse capturer le bloc de cristal dans une gangue de matière en­core visqueuse. ça c'était quand tout ce passé bien, d'autre fois le bloc explosé entre les pattes du mécha, blessant ou tuant son pilote. Il fallait avoir le coeur bien accroché pour travailler aussi bas car il n'y avait pas que des danger phy­siques à travailler dans ce décors dan­tesque : ça et la les bloc ce mettait par­fois a communiquer, rendant fou les mi­neur ou leur faisant faire des actes dé­ment. Saru se souvenait de la fois ou ça lui était arrivé, comme aujourd'hui le bloc qu'il préparait dégager un copieux nuage d'étincelle et de vapeur et il c'est mis a voir au travers, comme si la parois du gouffre c'était ouverte pour laisser la place a un dôme de lave d'où la lave sem­blait hérissé de millier de torse d'­homme se contorsionné dans les flamme. Saru avait hurlé, et c'était ré­veillé deux jours plus tard avec la chute de la fièvre. Ce qui sortie Saru de son introspection c'est que la vapeur autour de son bloc venait d'être chassé d'un seul coup par un courant d'air. Il releva la tête et regarda sans moufter les dé­combres d'une maison couler dans la lave avec une vitesse éclair. Ce n'était pas la première fois qu'il voyait ça et ça faisait plutôt mal de savoir qu'une famille au moins été en train de brûler vive dans les décombres et qu'elle était certaine­ment celle d'un mineur ou d'un ouvrier d'usine. La maison avait déjà disparue quand une carcasse de ballon se planta dans la lave. Saru releva son tuyaux et ce mis a arrosé, non pour sauver un quel­conques survivant mais pour sauver ces collègues. La machinerie du ballon avait déjà  plongé sous la surface et bientôt le coeur allez fondre et exploser mais avec un peu de chance la couche supérieur de la lave serais plus épaisse pour éviter la mort de tous les scaphandriers présent autour de Saru.

Le souffle de l'explosion souleva la plaque solidifier mais ne projeta pas as­sez de lave pour blesser quelqu'un. Saru baissa sa lance à eau, s'en était assez pour aujourd'hui, que ça plaise ou non au chef de chantier. Après tout ce petit bourgeois pouvait essayer de trouver un pilote remplaçant assez dingue pour descendre avec un mécha au fond du gouffre, Saru lui souhaitait bonne chance. Le tunnel vertical qui servait a la remonter des gars était le même qui soufflé de l'air frais au fond. Une vrai tornade de poussière rendez la cage de monter aussi noir qu'un four, de toute fa­çon il n'y avait rien a voir en dehors du mécha durant la monté. Après un bon moment, la saccade donna le signe tant attendue a Saru. Le bras du mécha se leva sans pêne sous l'impulsion des com­mandes de bras, relevant la lourde grille de sortie. Le mécha avança et pris sa place dans le hangar sous le regard des horloger responsable de l'entretient. Saru stoppa le coeur du mécha et commença a se dessangler pour sortir de là. L'air frais s'engouffra d'un coup dans la cabine. Sortir de la cabine était tou­jours difficile pour Saru, une taille plus importante que les autres pilote rendez ces contorsions difficile mais on finis­sais toujours pas s'extraire d'un endroit ou l'on c'est glissé. Le grand gaillard se dressa sur sa machine et en sauta avec adresse. Tout était une question d'habi­tude, toucher le fer du mécha après aussi peux de temps et on se brûlait durement, mieux valait rudoyer quelques peux ces pieds dans un saut de 3 mètres. Saru en­tendit les cloches résonner de toute part dans le gouffre indiquant l'heure des vêpres. Finalement Saru était remonté quelques minutes plutôt que la fin de son service.   Pourtant un petit bon homme vociférant se précipité sur lui pour le ré­primander. Saru sentie l'usure d'année de service à la mine peser trop lourde­ment sur son moral. Son point partie sans prévenir soulevant le freluquet qui avait l'age de son fils dans les air et le laissa inconscient sur a plate-forme. Personne ne fit un geste pour aider ce planqué, placé la par des pots de vins pour ne pas se retrouver au front comme les fils de Saru et des autres ici.

Le décors de fonderie de l'usine défilé devant les yeux de Saru alors qu'une autre cage de remonté l'emmenait lui avec d'autre ouvrier vers les premiers village d'habitation, certain parmi les plus jeunes à la fonderie ou de la mines dormais déjà appuyer contre la parois de la cage. Les plus vieux prenaient vite une habitude, celle de profiter du spectacle qu'offrait le Kremlin, la demeure du plus sure allier du petit peuple, celui dont le règne avait amener la peur dans le coeur de tous les ennemie de la Russie et dans celui de sa noblesse corrompue rendant justice au humble sujet. Les vêpres était déjà finis depuis longtemps quand la cage s'arrêta enfin. La place devant eux croulé déjà de monde faisant craquer les planches de bois sous le poids de la popu­lace. Rien d'anormale a la sortie de l'é­glise, chacun rentrez chez lui ou ce diri­ger vers l'auberge afin de trouver quelques amusement. C'est sur ce second choix que Saru arrêta son choix. Sa femme morte en couche des année plus tôt, son fis au front, sa maison n'était qu'une charge dont il espérerait pouvoir se débarrassait le jour ou son fis revien­drait et prendrait femme. En attendant Saru préférer commencer ces soirées par allez vider quelques bières et prendre un repas chaud avec son ticket de denrée de la journée. La bâtisse en pentes qui te­nais lieu d'auberge avait pour Saru tou­jours été là. Les toits était fait de bric et de broc, ajouter au fil des années pour rendre le toit plus solide aux chutes de pierre et a la pluie. Saru pénétra par la large porte dont la forme l'obliger tou­jours a se pencher pour ne pas se cogner a la poutre. A l'intérieur la bonne humeur régner toujours, les tables discu­ter bruyamment de nouvelles venue d'on ne sais ou, des filles venue des frontières ou des territoire ennemie distrayaient les mineur contre une misère de salaire dans l'espoir d'en séduire un. Plus d'une avait perdu cette espoir en vendant leur vertus et continuer leur commerce cou­pable avec la complicité des tenanciers. Saru s'attabla et attendit sa gamelle. Le bruit mat au dessus de lui n'éveilla pas l'attention du vieux mineur, pas plus que la poussière blanche qui descendit du plafond. Le liquide visqueux qui lui tom­ba dans le coup par contre fit l'effet d'une décharge électrique. Il s'écarta d'un bon renversant son bans et envoyant valser ces voisins en arrière. Saru porta sa main sur son coup et regarda avec dégoût le liquide rouge qui les couvrait. Le sang avait déjà arrêté de couler mais tous le monde regardé le plafond avec suspi­cions. Des cries venaient déjà de l'exté­rieur, des cries de rage et de colères. Le petit peuple russe ce soulevaient toujours ainsi. Tous le monde sortie sur la place ou une foule en colère se pressé déjà face à eux. Saru se tordis le cou en sortant pour voir ce qui se passer. Un corps ba­vard barré le toit, une belle jeune femme avait était jeter dans l'abîme après avoir été assassiné de nombreux coup de cou­teaux. Le foule criait déjà vengeance pour cette femme.

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