Épître VI : Confessions intimes !
Cher lecteur,
Laisse-moi te conter une révélation aussi troublante qu’éclairante. Imagine-toi un instant, plongé dans les méandres du temps, aux côtés de Caïn. Il se souvint d’un écrit antique, perdu dans les annales de sa descendance : un parchemin où Nasëem théorisait sur l’assainissement de l’âme par une renaissance dans une vierge immaculée.
Mais vois-tu, ce n’était pas simplement un sortilège parmi d’autres, non. Il puisait sa source dans les fondements même de notre réalité, dans les tréfonds insondables de l’univers. Ainsi, lorsque Jésus naquit de Marie, vierge pure et innocente, son âme fut lavée de toute noirceur de sa précédente existence.
De retour à Avalon, Caïn et sa douce Ëlara se rendirent au Palais de Rubis, dont ils occupaient la régence en attendant qu’Ëstrella, leur petite-fille, soit en âge de régner. Pendant ce temps, Aëgir retourna à Atlantide, où il embrassa son fils endormi, avant de rejoindre les bras de sa sculpturale épouse, Nérisse.
Ironique, n’est-ce pas, de voir comment la Créatrice façonne le destin de l’humanité, tissant des fils invisibles qui lient passé, présent et futur ? En conclusion, cher lecteur, rappelle-toi toujours que la vérité est souvent plus étrange que la fiction, et que derrière chaque mythe se cache une parcelle de réalité.
En toute discrétion, Le Scribe de l’Obscur.
Post-scriptum : Si tu cherches quelques confidences supplémentaires sur le mystérieux Chaperon blanc, je te conseille de prêter attention aux murmures des comètes et aux chuchotements des étoiles. Qui sait ce que tu pourrais découvrir dans les secrets insondables de l’univers ? Ou bien tourne simplement la page pour découvrir le chapitre 10. Une option qui demande bien moins d’effort.
Annotations
Versions