LUI : Mais les pâtes de ta suprathermique rancœur t'étoufferont avant que les oiseaux pluridimensionnels de ta lubrique pomme de conscience dévoyée ne se retrouve sur l'arbre à rebours de tes cristaux écarlates.

ELLE : Parti en rongeant les boules de pétanque, hallucinée et grognante, je ne vais pas abandonner mes bananes et fruits de sale Hadès !

LUI : Nom de dieu dupliqué à l'encre pourpre de ta folie fracassante de fromage fondu sur la vitre de mes péchés engrossés par ma surprise noirâtre !!! Hadès à dés pour jouer la vie des mortels maures morts au tel !

ELLE : Et bave la raquette sur le pont du bateau sans ailes, ma carcasse aux épinards.

LUI : Te revoilà, petite escalope de poétesse estropiée aux rimes anicroches où on s'accroche aux roches proches de choses moches qui ne se cachent même pas en leurs poches .

ELLE : S'entiche des croches et double-croches, croche des griffes et du nez, sorcières à balai déplumé.

LUI : Gerbe-moi tes miasmes avec plus de panaché haché, qu'il soient plus mordants de morts aux dents édentées !

ELLE : Crassou le dino oublié dans les sphères obsédantes de l'inanité ragondine.

LUI : Inanité inanimée de Lina nuitée ne te sera d'aucun secours rosé sur l'absence du nain Telligence car le cas sans sous du Dino dine dans l'eau.

ELLE : Grave rotation de ta caboche submersible, gaffe que te mette un chapeau en béton sur les orteils dans l'oseille ruisselante et ramassée de ce matin.

LUI : Tu perds la tête dégonflable au wagon de nos folies insipides mais nécessaires, et pourtant tu ne sais pas que je suis déjà là à t'attendre dans un demain qui est déjà hier tant que la lune froussarde ne te regarde pas dans tes yeux obsolètes !

ELLE : Solette, je le suis dans ce monde envers et contre toute raison, la vie se glisse comme un soulier sur une marche maquillée de savon, le parfum rampe avec les serpents dans la cabane septentrionale des orques oubliés.

LUI : De ces serpents, j'hume le parfum de serpe de l'an en cette équivoque cabane de cas de bananes atrophiées au sept centuple de tritons traités avec tri de thons pour les orques affamés.

ELLE : Bonne nappe, et panse pleine pense mieux que vie d'œufs aux fragiles "coq-il-yeux".

LUI : Le coq d'Yseult la blonde l'aide à boire portion de potion aphrodisiaque pour un Tristan triste sire distant de dix ans médisants.

MAZARIA et DJEDGE - Lundi 8 Mai 2023