Idée 13 : Violence, insultes, et dodo
"C'est à celui qui domine sur les esprits par la force de la vérité, non à ceux qui font les esclaves par la violence, que nous devons notre respect", Voltaire.
Une récréation urbaine...Une boucherie...Un terrain de massacre.
Qu'importe le nom que vous lui donnerez, la violence ne résoudra qu'une partie de vos conflits par la peur, ce qui, bien sûr, est déconseillé aux gens.
Quand on voit une justice incomplète qui préfère vous mettre des amendes à 1000 euros plutôt que de vous imposer la prison dès que vous agressez quelqu'un, il y a de quoi se poser des questions parfois. Si tant de gens comme Voltaire se sont battus contre cette forme incomplète de justice et de violence, ce n'est pas pour que 1300 ans plus tard, nous soyons encore à nous battre pour savoir "qui a quoi" et "qui a qui".
Alors, cessez immédiatement la violence, qui pour moi serait à mettre dans un graphique comme la principale cause majeure d'une dépression mondiale et d'un monde qui bat de l'aile. Soit vous vivez, soit vous mourrez, mais l'on ne peut pas en choisir deux. Hier un homme de quinze ans fut dézingué par des narcotrafiquants, un policier fut tué lors de manifestations, d'autres furent abattus lors d'une fusillade de braquage de banque. Demain, ce sera notre monde.
Bien sûr, je ne parle pas d'une principale cause de mortalité mondiale (maladies cardio-vasculaires, accidents naturels, et autres conditions fatales à la vie remplissent déjà suffisament le cotat, non), mais d'une principale cause de folie, qui déjà, depuis tant d'année, pollue notre monde. Ne lis surtout pas ce que je viens d'écrire en bas, et si tu tentes de le déchiffrer, tu t'embêteras à lire et relire ce que je ne fais qu'écrire depuis une dizaine d'idée déjà !
(Te voilà encore là ! Sale vaurien, je vais t'apprendre les bonnes manières !)
Cela te dit quelque chose ?
(Et aliov erocne àl ! elas neiuav, ej siav erdnerppa sel sennob serèiam !)
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