Slow

Une minute de lecture

Ni trop tôt, ni trop tard,
Mais ce premier regard,
M'échappait d’un désert,
Le cœur sous la poussière,
Sous les cendres d’un passé,
Que seule ta bouche pouvait souffler...

Maintenant,
Tous les murs sont tombés,
Et les doutes ne peuvent plus peser,
Je me laisse aller,
Je me laisse aller...

Je suis bien et je m’en fous,
Que le monde brûle autour de nous,
Si dans tes bras je ne me reconnais pas,
C’est parce que je n’ai plus peur des combats...

Je suis bien et je m’en fous,
Que le monde brûle autour de nous,
Si dans tes yeux je ne me reconnais pas,
C’est parce que je n’ai plus peur d’être moi...

Ni trop tôt, ni trop tard,
Mais ce premier soir,
M’enlaçait de l’univers,
La confiance à découvert,
Sur les traces d’un avenir,
Que seul ton cœur pouvait ouvrir...

Maintenant,
Tous les barreaux ont cédé,
Mes doutes ne peuvent plus peser,
Je me laisse aller,
Je me laisse aller...

Je suis bien et je m’en fous,
Que le monde brûle autour de nous,
Si dans tes bras je ne me reconnais pas,
C’est parce que je n’ai pas peur des combats...

Je suis bien et je m’en fous,
Que le monde brûle autour de nous,
Si dans tes yeux je ne me reconnais pas,
C’est parce que je n’ai plus peur d’être moi...

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