Raon, réveille-toi tes yeux doivent s’ouvrir Raon ou tu ne pourras pas voir ne referme pas ta bouche sinon comment peux-tu manger ? serre-moi la main tu dois comment saurais-tu que je suis là ? Raon parle parle ou je ne saurais où t’entendre à nouveau Raon ouvre les yeux sans cela je ne peux te voir réveille-toi aie pitié tout simplement je t'en supplie

Le temps coule si vite, me voilà déjà au bord du précipice. Ils sont tous tombé. Ils ne ressentent rien. La sensation avait creusé des mondes derrières leurs yeux. Vous tous, vous aviez des mondes. Et vous voilà, les mêmes pantins à la fin de tout. J’arrive. Mais je ne suis pas encore là, et c’est l’attente qui me tue. Que la Fin me tue plus vite.

Il ne faut pas me laisser seule. Je suis bien la seule à souffrir de votre mort.

Ainsi entendit Le Rat en passant.