Tous tes gestes sont aussi précieux que le pain

Tes larges hanches aux creux de mes mains

Je respire tes mèches et insuffle le bonheur en toute puissance

Qui me fait rappeler ma chance.

Tes gestes m’emprisonnent

Et ce sont les corbeaux qui chantonnent

Nous avons cueilli la rêverie ensemble

Mais pourquoi ne pas grandir ?

Quand je t’ai vu j’ai su qu’aucune lettre n’était claire et qu’aucun ciel n’était plus brillant que ton âme.

Le ciel t’as trouvé et a arraché ta douleur

Pourquoi devrais-je donner la lettre ? Pour donner la fin ?

Quand tu es là, la couleur devient chaude

Pourtant je ne ressentais pas la douleur brûlante des vagues

Cette lettre m’empêche de respirer

Les rêveries sont tirées par le ciel

Tu exprimes ta douleur à travers une toile

Aucun rêve n’est profond

Aucun rêve n’est douloureux

Cette lettre m’empêche de respirer

Acatalepsie, le temps radieux