PERDU AILLEURS.
Moins d'une minute de lecture
La confusion me prive de mes facultés.
L'écriture s'en ressent, je vous en assure.
Mais je vais tout de même essayer
De vous exposer mes rêves et blessures.
L'année se termine et les espoirs s'envolent
Dans une folie pure, une brève farandole
Où s'exclament les enfants venus d'ailleurs,
Où pleurent et s'éventrent les cœurs.
Le soleil brûlant frappe ma tête,
Dilate mes idées et les disperse
Dans ce monde si fou qui nous berce,
Et nous sépare peu à peu en fines gouttelettes.
Petites bulles d'eau et d'âme
Qui un jour se condenseront
Et formeront alors une vie sans blâmes,
Faite d'amour et d'autres intenses émotions.
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