AD FINEM.
Une minute de lecture
Les douceurs de la vie ne sont que futiles.
Les malheurs dans la vie, nous sont utiles
Pour apprendre qu’en elle, il ne faut plus croire,
Pour comprendre qu’il n’y a pas d’espoir.
La mort ne me fait plus peur ;
Je puis l’écrire pour le crier à voix haute.
Si la vie n’est faite que de malheurs,
Je me retirerai avec panache, la tête haute.
Pour continuer à vivre, il nous faut un but,
Une musique à jouer au violon ou au luth,
Une musique dont chaque son serait nouveau.
Mais elle s’arrête à la première fausse note,
C' est pourquoi, on a besoin d’un musicien sans défaut,
C’est pourquoi, de temps en temps, je débloque !
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