La Jeunesse
La jeunesse a traversée
Élancée
Très vite, fut-elle pressée
Etriquée
Sa silhouette était toute ensoleillée
Aussi je prends un papier
Piètre
Et je commence à émailler
Paraitre
De traits une lettre
J’use de bons mots
Encensoir
Eclairant l’idéaux
Espoir
De la proposition de revoir
J’argumente sa beauté
Chargée
Que mes yeux ont suggérés
Influencés
Tandis que ses cheveux virevoltaient
La fraîcheur du visage
Dévoilé
Empli le cœur plein d’ouvrages
Inégalés
Et laisse l’âme s’emballer
Le noir du manteau est sombre
Lueur
Et cache des talons au menton l'ombre
Pâleur
Déliant l'esprit rêveur
Aussi chancelle-t-elle
Alignée
Au plat martèle
Tempéré
De ces bottines soignées
Je sens passer l'heure
Toujours
Entre chaque battement de cœur
Lourd
De la réussite concours
Elle porte cette joie
Miroir
Je vante cette inébranlable foi
Notoire
Même si elle l'ignore, elle a l'espoir
Elle marche à l'avant
Spectacle
A la ferme intention, l'esprit puissant
Renâcle
Qu'importe l'obstacle
Du moins c'est ainsi
Crucial
Qu'elle m'apparait, qu'elle vit
Géniale
Cette Jeunesse idéale
Je ne sais, pourtant
Là
A qui donner cette lettre avenant
Poids
Car Elle ne repassera pas
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