Du bois
Lorsque je me réveille, je suis presque totalement découvert. J’ai eu tellement chaud durant la nuit. Mais j’ai un autre problème, mon sexe est dur comme du bois, j’ai terriblement envie. . N’ayant qu’un boxer comme seul vêtement, mon sexe est bien visible, il sort même légèrement de l'élastique.
Le problème, c’est Jean, il est encore là et endormi. J’hésite un bon moment, finalement je me dit que tant pis, il m’a déjà vu nu et en érection donc rien a faire au pire. Je commence a caresser mon sexe, rapidement je baisse mon boxer et j’en viens à me mastuber.
J’en oublie la présence de Jean, dans mon esprit je me remémore les quelques moments érotiques que j’ai vécu. Le moment qui a le plus d’effet sur mon anatomie est la pipe de Philippe, je l’ai particulièrement appréciée. Pourquoi, je l’ignore, et j’avoue que je m’en fou un peu sur l’instant.
Je me revois le sexe dans sa bouche, et me remémore les sensations ressenties lorsque j'étais à l’intérieur. Ummmm quel instant délicieux, je me lèche les babines rien que d’y repenser.
Alors que je suis entrain de me tortiller de plaisir, Jean se réveille. Évidemment, il se rend vite compte de la situation, il est un peu surpris de me voir totalement nu et le sexe bandé comme un âne.
- Jean : Hé bien mon cochon !
- Moi cessant ma masturbation : Désolé j'avais trop envie.
- Jean : T’en fais pas, ça m’arrive souvent. Te gène pas pour moi je sais ce que c’est.
- Moi gêné, commençant à cacher mon sexe : Maintenant que tu es réveillé ça me gêne un peu.
- Jean : Et moi te voir ainsi m’a donné envie. Tu veux que je le fasse aussi ?
- Moi : Oui j’avoue que ça me gênerait moins.
- Jean enlevant son slip : Pas de souci !
Jean est pas autant excité que moi, mais son sexe est déjà bien dressé. On se regarde l’un l’autre, voyant mon frère déjà excité, je dévoile a nouveau mon sexe qui n’a pas perdu de sa fougue. Je regarde la verge de Jean un court instant avant de la saisir.
- Jean surpris : Qu'est ce que tu fou !
- Moi coquin : Devine !
- Jean: Mais on est frère !
- Moi coquin : Je sais, mais qu'es ça fait ?
- Jean: Ouai tu as raison on s’en fou !
- Moi content : Grave !
Je me jette sur Jean il se laisse faire sans résister, sans attendre davantage, je prend son sexe en bouche. Jean est surpris mais se laisse faire, son sexe a un goût très différent de celui d’Alan il est plus sec et moins salé.
Il m’est étrange d'essayer de comparer le goût de son sexe mais surtout d’essayer de vouloir trouver comment décrire ce goût.Jean bande de plus en plus fort, pourtant je ne fais rien de particulier. Jean fait en sorte que j’arrête, je ne comprend pas trop pourquoi il fait ça, il semblait si proche de la jouissance….
- Moi libérant son sexe : Pourquoi tu arrêtes ?
- Jean : Parce que j’ai bien envie de te rendre la pareil.
- Moi : C’est à dire ?
- Jean : Je veux te sucer en même temps que tu me suce.
- Moi : Ah ba si tu veux, mais tu pense que ça va le faire ?
- Jean : Mais oui je le fais souvent avec Alan.
- Moi : Ok.
Je ne sais pas trop comment sa technique fonctionne. Je lui montre alors mon sexe en me mettant me retournant sur le côté. Jean s’installe tête bêche et prend mon sexe en bouche sans prévenir. Je lâche un petit bruit, subtile mélange de plaisir et de surprise.
Juste après avoir réalisé la situation, j’imite mon frère et prend à nouveau son sexe en bouche. C’est un poil compliqué vu la légère différence de taille entre nous deux mais nous finissons par trouver une position.
L’excitation est double, me sentir sucé et donner du plaisir a un autre c’est très agréable finalement. J’ai même totalement oublié qu’il s'agit de mon frère. Jean semble également de plus en plus excité. Il est en train d’essayer de sortir mon gland de mon prépuce, sentant son action je l’imite à mon tour. Nous nous rendons coup pour coup, et jouissons quasiment en même temps dans la bouche de l’autre, j’avale sans réfléchir.
- Jean recrachant : Beurk, il est pas bon le tien !
- Moi riant : Excuse moi ! C’est pas ma faute.
- Jean : C’est surement parce que t’es grand, mais qu'est-ce que c’est rance !
- Moi riant : Surement oui…
- Jean : C’était cool, je sais pas toi mais ça m’a un peu gêné de le faire avec toi.
- Moi : Je l’ai oublié mais oui c’est vrai. Je pense pas qu’on le refera.
- Jean : On peut éviter d’en parler a d’autre aussi ?
- Moi souriant : Mais oui, ça restera entre nous.
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