Les Archives (La partie deux...)
Il ouvrit alors ses yeux. Et ce vieil homme, qui avait une canne si précieusement mystérieuse, était maintenu sur un lit d'hôpitâl, sur une toute petite assiette de verre cassé. Il ne pouvait pas l'enlever, même si ça lui cassait les os des fesses, car ses mains étaient attachés avec son dos, et le tout rataché en un grand noeud sur un des poteaux sur le mur. Il ne pouvait pas bouger du TOUT.
Par chance, il y avait quelqu'un dans la salle. Quelqu'un comme lui. Un prisonnier.
Ils étaient tous deux ici, coincés, presque prêts à tout faire pour sortir d'ici.
Pendant un bon 15 minutes, environ, il n'y eut qu'un grand silence. Des mouches énormes virvoltaient ici et là, assez nourries et assez dodues pour qu'on kes juges comme éléphants.
Il y avait du sang, par terre. Du sang coagullé, encore frais. Et sur les murs, aussi. Ce qui fut surprenant car c'était un hôpitâl.
Enfin, c'est ce qu'on croyaient là.
Jusqu'à ce q'un horrible homme, avec un grand fusil dans ses bras, entra dans la salle.
Il hurla de voir ses deux victimes remplies de sang.
-Qui vous avait ammenné aux Archives??!!
Le vieil homme répondit, fou de peur.
-Qui êtes vous?!!!
-Vous ne voulez pas le savoir.
-Je suis envoyé par l'ennemi.
-QUEL ENNEMI???????!!!!!!!
Le viel homme avala sa salive le plus vite possible pour ne pas que cette brute tire d'impacience.
-Je suis envoyé par les Savirants.
l'autre prisonnière répondit aussi.
-Les savirants???!! Mais je croyait qu'ils avaient étés tous détruits par...
La brute qui se tenait devant tira sur elle. Elle couina, et le sang coula jusqu'au plancher.
Il continua.
-LES SAVIRANTS VONT ÊTRE TOUS TUÉS JE VOUS LE PROMET!!!!!!!
Le viel homme ne put rien faire à part que crier, crier, et encore crier de nouveau.
Mais il n'allait pas se faire passer pour un nul chez ses employés. Il avait un plan. Son couteau, il l'avait toujours dans sa poche de derrière. Il l'avait tout justement à portée de main, et il commença a couper cette corde.
L'ennemmi cria.
-Que faites vous avec cette corde et ce couteau dans votre main??!!
-Je m'échappe.
Il déchira les cordes en deux, prit son flingue qui était sur la table d'hôpital roussie par le sang séché, et il tira sur ce monstre à fusil.
Il ouvrit la porte, et tira sur les deux gardes, ainsi que sur tout le monde qui passait.
Mais c'était un vrai labhyrinte, ici!!! Un couloir à gauche? Non, un garde.
Il tira.
Il allait à gauche, à droite, et tout droit, sans cesse, en tirant sur tout le monde. Et il n'était encore que très bien loin de la sortie.
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