Sous ma direction, la demoiselle se laisse peloter sans se débattre. La situation n’est pas désagréable, bien au contraire.Mon corps entier a presque oublié la jouissance d’il y a à peine quelques minutes et je bande de nouveau.

L’attitude d’Amandine me fait penser qu’elle est très excitée, je poursuis donc son déshabillage et le maillot de bain une pièce est bientôt plus proche d’un simple slip qu’autre chose.

Je ne m'arrête pas en si bon chemin et, aidé d’Amandine, le maillot de bain ne cache bientôt plus rien d’elle. Je le balance alors sur le côté. Malgré l’eau, l’entrevoir ainsi nue à ma merci m’excite de plus en plus.

Une fois encore, je comprends ce qu’Amandine a ressenti précédemment et j’apprécie la différence de tenue. Du bout de mes doigts, désormais placés entre ses cuisses, je m’attèle à lui procurer du plaisir ou au moins augmenter encore son excitation et ses envies.

Après quelques minutes, je peux vraiment constater que son visage trahit son envie grandissante. Je m'agenouille alors devant elle et baisse mon maillot libérant le monstre qui ne tenait plus en place.

Il reste là en haut des cuisses et, petit à petit en marchant à genoux, mon sexe se rapproche du sien. Nous voilà très vite à nouveau unis dans l’amour et le plaisir. Cette fois c’est moi qui “mène la danse”.

J’ondule des hanches, en s'agrippant aux bords du jacuzzi et ainsi éviter de glisser. Cette position n’est pas la plus confortable pour moi mais j’apprécie malgré tout. Amandine et moi prenons un malin plaisir et profitons de l’instant.

Au bout d’un moment, fatigué de la position je saisis les cuisses de la demoiselle et la guide lentement dans une position ou cette fois elle est allongée sur le bord du jacuzzi et moi debout à l'intérieur. Mon maillot descends davantage au cours de l'opération dévoilant mes fesses mais qu’importe.

Elle m’invite à “me lâcher” et demande un peu plus. Elle sait pertinemment les risques encourus mais elle semble n’attendre que ça. Je n’écoute pas mes appréhensions et comme demandé j’accélère mes mouvements et, de bien entendu, il ne me faut plus très longtemps pour jouir à nouveau.

- Amandine : T’es motivé, dis-moi.

- Moi : Bah écoute oui.

- Amandine : Tu préfères être aux commandes peut-être?

- Moi : Je me posais un peu la question mais franchement non : j’aime les deux et toi?

- Amandine : Bah j’aime bien quand tu diriges mais j’ai rien contre inverser les rôles.

- Moi : Ce qui est sûr, c’est que tu préfères quand je suis moins habillé que toi.

- Amandine : Oui j’aime bien mais l’inverse n’est pas désagréable non plus.

On est sur la même longueur d’onde, c’est vrai qu’on aime échanger les rôles et les situations. C’est probablement aussi pour cela que je l’aime et que j’apprécie autant lui faire l’amour.

Nous nous rhabillons et quittons la pièce pour à nouveau rejoindre Océane toujours dans l’eau. Elle a bien conscience de ce qu’on vient de faire et tente d’en savoir plus : c’est amusant, je reconnais un peu Jean en elle.