Introduction
(Musique d'ambiance)
https://youtu.be/FLgBJP0A2pI
Cher Journal, je me présente, Marlène Scott, 29 ans journaliste de renommée. Je t’écris ses quelques lignes afin de garder une trace de mes exploits. Nous sommes le dimanche 31 août 1980 et je m’apprête à entrer par effraction dans les archives de la ville, afin de trouver un nouveau sujet palpitant pour mon futur article. Et c’est là, lorsque je suis me suis infiltrée, que je suis tombée sur cette étrange carte et ce vieux parchemin poussiéreux datant du sixième siècle. Cette carte indiquait l’emplacement d’un endroit très particulier, située au centre de la Terre, enfoui sous les flots, l’îlot fut englouti part les font marins il y a de cela fort longtemps.
Face à cette découverte, j’étais dans l’incapacité de canaliser mon énergie, j’ai failli me faire repérer part un garde d’ailleurs. Alors, j’ai volé le parchemin et la carte puis je suis repassée part la petite fenêtre de la galerie d’histoire, qui était située en hauteur, grâce à la commode sur le côté gauche, je me suis hissée à l’air libre. J’avais enfin mon futur article, qui n’allait pas être palpitant et rempli de rebond. La pleine lune était à son apogée, ce que j’avais découvert était incroyable, alors que je courrai le long des ruelles d’Édimbourg, je repensai à ce que détenais dans mes poches. Toutes étaient bleutées dû à la lune qui miroitait sur l’eau, j’avais trouvé un scoop qui allait me faire rapporter le gros lot.
L’îlot était dans l’ancien temps était une forteresse rectangulaire qui flottait au centre de l’océan, elle renfermait, les briguant et les malfrats les plus dangereux au monde. Ce simple bloc de terre était fait en andésites, une roche qui était principalement volcanique, non loin d’être douce, elle était granuleuse et garni d’imperfection, elle demeurait sombre. Sa forme était semblable à une tour avec des piques sur le toit de la forteresse, elle avait deux fenêtres à l’avant ou était disposée deux canons qui s’abattaient sur ce qui n’était pas les bienvenus, d’ailleurs ses deux fentes ressemblaient étrangement à des yeux, c’est pourquoi on disait de ce lieu qu’il était vivant !
De ce fait, cette prison laissa s’étendre une bien cruelle légende autour de ses parois infranchissables :
Toute être ayant pénétré un jour dans cette forteresse ne ressortirait jamais de cet endroit.
En vie du moins. D’ailleurs, certains s’aimaient même à dire que les âmes elles-mêmes étaient condamnées et ne quitteraient jamais l’île. Que cela soit le prisonnier, et même les gardes. De quoi en donnée des sueurs froides, pas vrai mon cher journal ? Le seul fait de rédiger ses quelques mots me provoque la chair de poule.
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