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A trop relire les recueils aimants d'électrum étain aux feulages des lynx ibériques, à trop tourner les pousses des chélidoines immortelles entre les doigts pourpres des digitales, à trop s’entailler la veine sur les arêtes des chances insaisies. A pousser les jamais dans les orties le long des radeaux à galènes, les échos qui ricochent sur les montagnes cimiesques aux simagrées siamoises. A défleurir les lieux dits de non dits en lieux communs, et les villages sans visage qu’on abandonne à l’exode et à la rue d’airelle des rales d’oratoire en syllabes sybillines. Sur la glèbe huppée des glaises de chimère en étals chamoyants, étendre les états d’âme éthyliques des élitinerrantes et des délires d’élytres aux tonneaux desquels et d’esquive de chiens en jeux de quilles tirebouchonnées. Acclamer à cœur et à cris les concerts des luttes traversières et dégriser les ardoises sans menu aux pastels d’aragon des rallumeurs d’étoiles. Et les défilés philomèles inscrit dans l’outremer des almanachs éphémères des émerillons enchanteurs. Faire et défaire dans les champs du possible des dolmens où tu serais reine sur le trône de verre des hivers, à la lande des pierres d’aluns à l’autre dont on émusque les peaux à l’écume esseulée des poitrines pantelantes. Bâtir des édifices aux murs sans oreilles où t’offrir les prémices des promesses idoines gravées à l’ivoire des cariatides, et verdir les jalousies dans les vallées des vénustés ingénues. Déclocher les beffrois dans les bains chauds des thermes contralto et des saunates amatoires, se fondre en buées dans l’étreinte à vapeur des chemins pilifères. Troquer les champs Elysées pour des champs d’alisiers où poser ses valises, loin des paradis fiasco aux paradoxes peroxydés, s’aimer en paréo même sous les mimosas mosaïques. Des chansons de gestes sur des barrières de corail des ours et des frissons enmurmurés à l’or des silences sellés des farandoles cavalières. Sillonner les routes fondrières et s’effondrer à deux mains dans les filaments et mousses tillés sur le volet des stores vénitiens et des vétilles dévêtues. Héler tes élans apostrophes à l’appeau cerf-volant des caresses opossum, et haler à la tiare des rivières des pays caravelles aux mâts de cocagne et aux voiles brigantines. Pigmenter d’esperluette les espoirs orpiments et l’étoffe des éloges assorties aux artistes, nouées au front des roses des sables qu’on s’offre au temps des safrans. Voler des cerises aux céryles cérulés, érigés de trajectoires dans le coma des mortels qui jacassent à la cour des roitelets en cols verts, la plume en frange devant les yeux éclos. Courser les matins qui palpitent aux tambours fanfarons, noyés dans les flots des Amours transsibériennes. Se poursuivre en justesse, à presque s’échapper belle entre les mains courantes des marées chaussées, s’affolant aux flibustiers diaphanes des corsages entrouverts dans les hamacs aubépines. Les boléros madrilènes ou qui accrochent les fleurs d’étoupe aux robes ignescentes, dans le crincrin des cheveux crinoline et les sésames qu’on glisse au chas zinzolin des coulisses et des nuques brasero. S’endormir au tapis bénéolent des renouées de Cordoue qui se mêlent et se confondent en rêves bicéphales.

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