Du sang sorti de la bouche du jeune homme, assommé il vit l’eau vivoté autour de lui des bulles voler de-ci de-là, il avait du mal à rester conscient, puis dans un tel état il ferma les yeux, tous en coulant et finit part ce perdre dans ses souvenirs d’enfance. Des voix d’enfants arriva à ses oreilles, accompagné de bruits de fête et de danse.

• Loukïan ! Viens danser avec nous ! cria enjoui une jeune fillette de sept ans.

Elle l’a pris part les mains et tous deux partir vers la fête ou un grand feu était au centre du village où il se trouvait.

• Je vous promets de… commença Loukïan avant de ce faire interrompre.

• LOOOOOUUUKÏAN ! hurla un homme d’un son ressemblant très pour très à du growl, une technique de chant utiliser dans le métal afin d’accentuer un grognement lorsque le chanteur fais son show.

Lorsque ce cri pesant et stridant bourdonna dans le crâne de notre jeune héros, il ouvrit avec brutalité ses yeux noisettes aux contours olives, puis, rapidement, il expédia de l’air engouffré dans ses poumons, puis, dans un dernier instant de lucidité il remonta à la surface, son état inconscient l’avait aider à remonter beaucoup plus vite, il lui restait simplement 1m50 de profondeur.

Lorsqu’il fut à l’air libre, il guetta de toute part pour voir ou il se trouvait, puis, il vu Laïla volante dans les airs qui défendait Jasmine qui restait pour l’heure à dormir tel la belle au bois dormant dans sa barque, elle souffrait le martyre et gigoter dans tous les sens. L’esprit arrivait à repousser les attaques de Fain grâce à des rafales de vents qu’elles sortaient de ses mains.

Quant à Fain, fidèle à lui, faisait tous pour récupérer sa chose, son précieux, autrement dit son second de main, Jasmine Steim. Il était entièrement vêtu d’une armure en métal, et tirer contre Laïla, il avait également son bras droit qui ressemblait à un tentacule, il donnait des coups de foutait sur Laïla et avec son autre main, il tirait sur elle. Puis, s’avançait grâce à ses bottes qui ressemblaient à l’avant à des palmes et derrière celui-ci figurait des réacteurs qui filtrai l’eau et l’aidait à se propulser vers l’avant.

Son armure était faite de métal il est vrai, mais étant donné que c’était son propos corps qui crée cette armure, il ne coulait pas car son poids ne changer en rien.

• Vous n’avez point honte ! gronda Laïla en détournant son regard azur vers son Capitaine.