Arrête de pleurer, je viens te sauver ! Part 16
Il l’a regardé à son tour en la fixant de ses grands yeux, son menton restait légèrement en retrait, ce qui créa une couche de gras qui ne m’était en aucun cas le personnage en valeur, puis, pour couronner ce sublime tableau, il inspirait fortement part la bouche et expirer part le nez, des mini étincelles sortaient de ses narines.
- Me laissait seule à la porter de ce maudit monstre sans le moindre état d’âme ! ce plaignit Laïla.
Sous les aveux de son amie, Loukïan cessa sa grimacerie des plus laide et se mit à rire de tous cœur, la rancœur qu’il éprouvait à l’égard de Fain s’estompa peu à peu, puis dans un dernier souffle il cria :
- Excuse-moi, j’étais entrain de faire trempette, ne pouvait-il que renvoyer de son fameux ton humoristique.
Laïla, souffla et ferma les yeux, lorsqu’elle voulu répondre à son ami, il avait déjà rejoint les flots, ce qui l’énerva :
- BARONNET ! PHILISTIN ! PORCEAU ! FIFRELIN ! Vous n’avez point honte de vous éclipsez en pleine conversation ! Chiabrena ! hurla fougueusement Laïla, qui épris d’une telle colère laissa son pouvoir s’envenimer.
Sous les eaux, Loukïan cherchait, la trousse de soin qu’il avait récemment laissé tomber. Il regardait de toute part, pour trouver cet objet qui sauverait sans nul doute la vie de Jasmine, puis il l’a vu, bloquer contre deux bouts de bois du navire, il s’avança en direction de la trousse, et fut soudainement prit de sifflement aux oreilles.
- Oh bon sang Laïla arrête de crier ! Je ne comprends pas la moitié de ce que tu dis ! ne pouvait-il que penser en ce bouchant les oreilles.
Arrivé vers la trousse il l’a prit avec fermeté et remonta à la surface, il déposa discrètement l’objet dans la barque, tellement du reste que seule sa main droite était perceptible en dehors de l’eau. Par la suite, il partit en direction de Fain, il apparut on n’a rien de temps en face de ce maudit personnage, puis, il plaqua de toute ses forces sa main contre le visage de son ennemi et finit part sortir :
- T’as moins de 2 secondes pour déguerpir d’ici, si tu ne veux pas tâter de mes flammes ! menaça Loukïan d’un ton grave, fulminer et guère accueillant.
- JA… JAMAIS ! hurla de tous ses triples de Colonel.
Laïla épuisée, ce laissa tombée avec grâce et délicatesse sur la barque.
- Laïla fait attention au…
Il n’eut pas le temps de terminé sa phrase que la jeune Jasmine se retrouva propulsée dans les airs, et s’engouffra dans l’eau.
- Contre-poids, souffla-t-il en serrant les dents.
Face à ce malheur accident Fain on profita pour se libérer, il créa autour de son visage des piques de ferrailles qui pénétra dans la paume de la main de Loukïan, rapidement, celui-ci retira sa main afin de ne pas se faire blesser encore plus :
- AÏE ! Ça fait un mal de chien ! hurla Loukïan qui se tenu la main droite qui restait à saigner.
La douleur l’avait tellement surpris, qu’il perdit son ennemi du regard :
- Hey ! Dorogoy spastiel (Cher sauveur), Vous auriez point la mémoire qui vous faites joue des tours mon cher ami ? bruita Laïla du mieux qu’elle put, alors qu’elle restait allongée dans la barquette.
Le pouvoir qu’elle avait dû utiliser, l’avait fait perdre énormément d’énergie, c’était certes un des pouvoirs des quatre éléments, mais étant un être d’air à la base, cela était directement ancré dans ses gênes. C’était la raison principale qui faisait que tout le monde craignait les esprits. Ils avaient une connaissance de ce pouvoir inné. Malgré ça, Laïla étant un esprit qui utiliser très rarement son pouvoir, elle n’en voyait pas l’utilité, se battre n’avait jamais été l’une de ses principales façons de vivre, elle avait horreur de la bagarre ce n’était pas digne d’une femme de son rang, c’était avant tous une enfant de riches personnes, malgré qu’elle eût perdu toute ses souvenirs hors-mi son prénom qu’elle avait retrouvé via un bracelet en argent qu’elle portait à son poignet gauche.
- Quoi ! Qu’est-ce que t’essayer de baragouiner encore ? hurla fou de rage Loukïan qui saigner de la main.
Il vu la main de Laïla sortir de la barquette et montrer un endroit, lorsqu’il analysa la direction que montré cet index, il fut surpris de voir Fain agripper Jasmine entre son bras.
- Oh mais sérieux t’es vraiment nunuche de te faire avoir comme ça, Jasm ! râla je dompteur de flamme à bout de nerfs.
La pauvre femme était à bout de forces, elle avait du mal à nager avec ses pieds, ses mouvements n’étaient pas fluides, sa respiration était presque imperceptible, sa vue était flou, le poison qu’avait injecter Fain dans son corps faisait cruellement effet et dans quelque instant, elle allait sans aucun doute mourir.
- Bar… barre toi ! ordonna à bout de souffle Jasmine à Loukïan.
- Tiens, tiens voyez-vous ça les rôles s’échangent ! ce mit à rire Fain.
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