La face cachée du monde Part 6
Durant ce lapse de temps, Laïla restait sur le rivage, paniquée, elle ne pouvait allée sauver ses compagnons dû à sa peur. Elle demeurait tellement dans un état d’anxiété, que pour l’alerter, son cerveau l’a fit halluciné. Elle vu alors les vagues en face d’elle se soulever, s’assemblait et former un crochet de pirate en eau, sans pour autant avoir la prothèse raccrocher au poignet. Le haut ou avait normalement la pointe était beaucoup plus large et n’était en aucun cas dangereuse, rien hors-mi le fait qu’elle soit un être encore à ce jour jamais rencontrer, laisser supposer qu’elle allait lui faire du mal.
Cette curieuse créature nageotta dans les airs à l’encontre de Laïla. Bien sûr, son corps restait toujours raccrocher à l’eau. Elle finit par s’arrêter à quelques centimètres de l’esprit. Celle-ci bien trop sous le choc ne put que soulever la tête avec lenteur et frayeur afin de contempler la bête qui mesurer facilement trente fois sa taille. Entièrement paralysé par cette abomination, elle ne bougea pas.
— Étudiant la situation… Le meilleur moyen de ne point se faire avoir par ce dangereux criminel serait de… dans un premier lieu de ne pas fixer son sombre regard, si mes yeux venaient ne serait-ce qu’à rentrer dans son champ de vision, il pourrait croire que je voudrais le mettre au défi… mais si je contemple mon horizon, il comprendra que je suis inférieur à lui et donc… cela laissera paraître avec un peu de chance que je ne vaux pas la peine d’être combattu. Dans un second temps, il faudra également que je régule mon souffle ainsi que de ne pas faire de mouvement trop hâtive cela renvoyer alors son regard sur moi… commença à penser Laïla qui regarder en face d’elle et commençait à élaborer sa stratégie.
La vague se mit en face de son regard azur, et tourna sa tête dans tous les sens afin de capter l’attention de Laïla qui ne le fixa toujours pas.
— Mangé ! Mangé, je vais te manger ! Mangé, mangé ! Si délicate et croustillante, je vais te manger dans l’océan. Mangé, mangé, je vais te manger ! Mangé, mangé, tu seras mon goûter ! Je vais te faire plonger dans les abysses, tellement que tu imploras mon sublisses, chanta la vague qui dansait en face d’elle, tout en lui crachant des gouttelettes d’eau sur le visage.
Sous les aveux de ce monstre, elle resta quelque instant figé, laissant sa technique se faire, elle fixa alors l’océan derrière le corps bleuté de son prédateur. Elle perdu pourtant son sang-froid, ce qui n’était pas dans la nature de la jeune esprit, qui restait d’une humeur glacial et ne se laisser jamais dominer part ses émotions :
— Ahhhhhhhhhhhhh ! hurla d’effroi Laïla qui n’arrivait pas à se défaire de ses images terrifiantes.
— Mais voyant Laïla je ne vais pas te faire de mal ! Je vais juste te plonger aux fin fonds des abysses ! Pour que tu agonises !
Face à la réponse de la vague, Laïla recula de trois pas, à ce stade, elle ne se rendrait toujours pas compte qu’elle était en pleine crise de folie, elle demeurait contre un arbre, derrière elle demeurait une dense forêt.
Pourtant, en dépit de son stade avancé, la jeune femme prit une profonde inspiration tout en fermant les yeux. Elle entendit le vent souffler sur les feuilles des arbres derrière elle, elle capta et senti les vibrations de pas, qui se rapprocher, c’étaient des pas légers et inaudibles d’un passant, une foulée qui demeurait si imperceptible quand aurait dit celle d’un assassin. Ils frôlaient à peine le sol, lorsqu’ils posaient pied à terre, ses appuis demeuraient si doux et gracieux que cela ressemblait à celle d’une danseuse de ballerine.
Laïla finit par soufflé calmement à de nombreuses reprises, afin de calmer ses palpitations cardiaques. Lorsque son cœur, qui battait à vive allure revenu à un battement régulier, elle ouvrit ses yeux azur et fixa d’un sombre regard la créature en face d’elle. Son hallucination peu commode il faut l’avouer, s’estompa petit à petit et fini par disparaître, laissant alors ce crée devant elle, un paysage calme et agréable.
Elle finit par s’asseoir avec grâce contre l’arbre derrière elle, elle contempla alors l’horizon et les vagues qui frapper sur le rivage avec douceur :
— Cela est profondément handicapant, il faut l’avouer ! Ils vont périr si je ne trouve pas un moyen de combattre cette peur ! Je ne voudrais pas que cela arrive, il faut dire que mon cher Loukïan m’a beaucoup soutenu, cela serait dommage qu’il ne trépasse par ma faute ! Encore cette sordide femme qui l’accompagne si elle venait à perdre l’âme cela m’arrangerait… D’ailleurs en parlant de cette mégère cela me fait penser que ce qu’elle a effectué été étranges, elle est toute de même parvenu à me voir alors que je demeurais invisible ! Et pourquoi cette île lui faisait-elle aussi peur ? Cela m’intrigue on aurait dit qu’elle avait connu l’horreur sur ses terres ! Avais-je le même regard avant de mourir ? Je me le demande fort bien…
Tandis que la résonnance des chaussures sur le sol se rapprochaient de la jeune femme, elle se leva avec délicatesse, dépoussiéra d’un geste noble le peu de sable et de terre qui avait sali sa robe fuchsia et partie en marchant vers l’océan. Ce bleu pur, qui reflétait sa véritable peur. Le sable sous ses pieds nus étaient chauds et agréable, le coucher du soleil se faisait peu à peu ressentir. Son regard se posa sur l’horizon là ou une boule de feu semblait faire corps avec l’océan, tandis que ses pieds étaient trempés par celle-ci glaciale.
Pourtant dans ce paisible paysage de début de soirée, elle tomba lourdement au sol, trempant le bas de sa robe et ses mains, elle se mit aussitôt à paniquer lorsqu’elles entendus les oiseaux de mauvaises augures furies avec rapidité la personne qui demeurait dans les bois. Elle senti la noircisseur de l’âme de cette être englobé la plage et la possédé, tandis que ses pas restaient loin d’elle, une pression si grande enveloppa son corps qu’elle ne parvenait à bouger tétanisé et paralysé par cette personne, qui demeurait non loin.
— Qu’elle est donc que cette âme maléfique ? Celle du diable ? Cela est si pesant ! S’il parvenait à me voir ! Aurait-il la possibilité de reprendre ma vie ? Voudrait-il effectuer des recherches sur mon être ? Cela me glace le sang ! Vais-je mourir ?
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