Le sanctuaire des enfers Part 10
Attention à toutes les personnes sensibles ! Ce chapitre comporte des scènes choquantes pouvant choquer ou dégouter le plus sensible.
Démona courait à vive allure dans une épaisse forêt, où elle se prit toutes sortes de branches et de feuilles dans le visage. Elle était déterminée à atteindre la fin de cette pénible sylve. La jeune femme, traversa ensuite une longue rivière à la nage, puis, arrivé à la fin de cette brasse en nageant à contre-sens du courant, elle s’arrêta, reprit son souffle et courut, déterminé a arrivé ou la fusillade avait eu lieu.
Arrivée à destination, elle fit face à deux hommes grands et baraqués, munis sur leurs crânes de cornes acérées, remplies de sang qui dégoulinait encore par milliers. Ses deux hommes, vêtus d’une tenue de vikings, n’étaient autres que des démons, qui prirent un malin plaisir à torturer et à tuer des chiots et des chatons, en leur arrachant la tête, les pattes, les yeux. Le lieu ou la démone était, restait recouverte par des milliards de cadavres de bébés d’animaux, des corps entassé, ainsi que des têtes, un tableau horrible qui faisait face à la jeune femme de 15 ans, qui restait colérique face à ses deux hommes, qui renvoyaient les corps de ses bêtes un peu partout dans cette petite île, le sang, la désolation ainsi que l’odeur abominable y figurer.
Les deux démons, renvoyés des têtes à travers un portail qui les ramenait tout droit dans les entrailles des enfers. Écœurée et à bout de souffle, la démone hurla :
- Laissez ses pauvres animaux tranquilles ! Bandes d’enfoirée ! menaça Démona.
- Mais… il nous faut de l’argent ! expliqua calmement le plus baraqué des deux hommes.
- Vous savez bien que mon père refuse catégoriquement ce type de barbarie sur ses pauvres bêtes ! De plus, il vous a formellement interdit de venir sur la partie des humains, dégagé !
- Mais poupée... mais qui es-tu pour nous donner des ordres ?
- Certes, elle a du sang royal, mais elle est aussi à moitié humaine, c’est une honte pour nous, démons. enrichi le deuxième homme en parlant avec le nez, tel un ivrogne, d’une voix aigüe.
- Ah ! Vraiment ? se défendit la démone en sautant, déployant ses ailes d’une noirceur à couper le souffle aux reflets bordeaux, elle resta dans les airs.
Elle les regarda tour à tour, en contre-plongé, puis elle hurla, alors que l’air autour d’elle tournoyait et fabriquait une tresse avec ses cheveux :
- Vous allez le regretter ! Comment osez-vous, bande de trous du cul, massacrer ces pauvres bêtes alors qu’ils ne vous ont rien fait ! Sale pourriture de merde ! Allez pourrie en enfer. hurla la jeune femme en montrant le foutoir de ses démons. Zeku lié mé ... Démona ! regardant toujours en contrebas , ses yeux devinrent blancs avant de virer au rouge sang au dernier mot.
Tout en contorsionnant ses mains telle une envouteuse, elle finit par mettre sa main droite devant elle et la pointer en direction de ses démons.
- Désolé bande d’enfoirée ! Mais... fallait pas… me chercher, sortit-elle en fermant sa main peu à peu, descendant petit à petit des airs.
Le sol terreux rempli de sang et de poussière commença à trembler. À peine son pied effleura le sol, des mains jaillirent de la terre et pris en une fraction de seconde les pieds des deux hommes. Ils se font ensevelir jusqu’à leur tête, avant de se faire griffer le visage par ses mains.
Elle se posa, et s’accroupit pour poser sa main gauche sur le sol, une lueur violette sortie de sa main. La jeune femme sortie une épée d’énergie du sol, fixant les deux hommes de son regard meurtrier, elle se rua sur eux comme une joueuse de criquet.
- Tu vas mourir ! hurla-t-elle de sa fidèle voix démoniaque.
Mais, arrivée vers le plus barbu, celui-ci l'arrêta en lui disant :
- Tu oublies quelque chose beauté ! Tes cheveux... tes cheveux nous appartiennent ! expliqua-t-il, qui se mit à claquer des doigts dans le sol.
Démona s’arrêta net dans sa course, elle se mit à trembler de tout son corps. Son épée d’énergie se brisa. Des mains ignobles, vertes et recouvertes d’asticots qui bouffer leur chair de l’intérieur, venues agripper les chevilles de la démone. Elle se fit engouffrer petit à petit à son tour dans le sol. Malgré toute la force qu’elle m’était pour se débattre, elle ne réussit pas. Bloquée dans le sol, elle ne pouvait faire le moindre mouvement.
Les deux démons se libéreraient et déposeraient les carcasses d’animaux encore gigotants et moitié morts sur les cheveux de la démone, ainsi que sur ses frêles épaules. Le plus baraqué finit par déposer un gros morceau sur le visage de la Nephilim (enfant démon issu d’un démon et d’un humain) afin de l’humilier.
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