Je finalise enfin le retrait de cette culotte avec mes jambes et mes pieds lors d’un mouvement de la demoiselle, je l’aide à basculer sur le côté et profite quelques instants pour relooker son joli petit cul que je caresse également quelques secondes.

Je retourne vite vers son buisson, j’ai très envie de lui faire du bien. Je suis de plus en plus excité malgré le fait qu’elle ne m’a toujours pas touché, je sais que dans quelque instants mon sexe aura bientôt remplacé ma main.

- Moi : Ça va ?

- Émeline : Oui et toi ?

- Moi : Bah oui mais j’ai de plus en plus envie de te faire l’amour.

- Émeline rougissant : Moi aussi.

Je ne suis pas mécontent de l’entendre et je suis tout prêt pour ça d’ailleurs. Il ne reste que quelques formalités, il faut que je mette un préservatif et qu’elle soit disposée à le faire pour de vrai maintenant.

Je m'éloigne d’elle afin de prendre le nécessaire, elle semble un peu surprise de mon éloignement soudain mais je la rassure et lui explique mes intentions. Je me lève du lit et après avoir trouvé mes affaires je récupère ce qu’il faut à l’intérieur.

Elle me regarde alors que je m'attelle à mettre la capote, un peu curieuse de la choses, je ne sais pas si c'est de la curiosité pour mon engin, ce que je mets dessus ou juste une légère appréhension sur ce qui vient juste après.

Je suis prêt quoique un peu moins excité que parfois, de par le manque d’attention de ma camarade. Elle est allongée sur le lit elle tente de dissimuler ses seins ainsi que son entrejambe.

- Moi rassurant : Ne te cache pas!

- Émeline, décroisant légèrement les jambes : Désolée je suis pas trop à l’aise avec mon corps ; alors nue, imagine….

- Moi surpris : Ah bon mais pourquoi? t’es très mignonne, t’as une belle poitrine, t’as pas de rondeurs, tu as de jolies fesses ….

- Émeline rougissant : Merci, mais je sais pas trop …. c’est comme ça.

J’en reviens pas! J’y comprend rien aux filles : elles ont de petits seins, elles le vivent mal ; elle en ont de taille tout à fait correcte, pareil! Je commence véritablement à me demander s'il leur arrive de ne pas complexer sans raison.