Chapitre 44. Soirée fish & chips

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Ils se décidèrent pour un Pub et le célèbre fish & chips qu’ils dégustèrent avec une pinte de cidre.

— Mais que c’était bon… Je suis repue !

— Moi aussi, on reprend un cidre pour faire passer ?

— Oh oui, ça nous aidera je crois.

— Ok, je vais les chercher au comptoir, je reviens.

Il se leva et déposa un baiser sur les lèvres de Rachel avant de partir passer commande au bar et prendre ses consommations.

Une fois de retour, il tendit une pinte à Rachel et se rassit auprès d’elle. Elle passa ses bras autour de Louis,

— Viens ici mon cher mari, viens dans mes bras.

Il posa sa tête sur sa poitrine et commença à la caresser, Rachel réagit en lui disant,

— Arrête, pas ici… Si tu continues, j’aurais du mal à résister à tes avances.

— Ah oui, tu auras du mal ?

Elle gigota contre lui, tout en lui prenant la tête entre ses mains,

— Oui, j’aurais du mal et j’aurais envie de prendre les choses en mains.

— Ah, oui, comme ça…

Il avait un sourire jusqu’aux oreilles. Elle haussa un sourcil,

— Mais ici, cela se solderait par un délit d’attentat à la pudeur…

— Oui, c’est vrai, ils sont tatillons à ce niveau-là en Angleterre.

Elle se décolla de lui, prit sa pinte de cidre et commença à la boire en regardant Louis dans les yeux et en jouant avec ses lèvres et sa langue. Louis la regarda, des étoiles dans les yeux.

— Tu sais que tu peux être une sacrée allumeuse quand tu veux, toi !

— Ah oui ?

— Oh oui…

Il but son cidre en continuant à la regarder tout en lui caressant la cuisse et l’intérieur de la cuisse, Rachel apprécia et se colla contre lui pour l’inciter à continuer.

Une fois le cidre terminé, Louis lui dit,

— Viens, on s’arrache !

Elle le suivi et prit la main qu’il lui tendit. Ils filèrent vers l’auberge de jeunesse.

Une fois sur place, ils eurent quelques difficultés à ouvrir toutes les portes avec leur carte magnétique, ils étaient hilares en arrivant dans leur chambre.

— Oh, quelle tranche de rire, Louis !

Elle passa ses bras autour du cou de Louis qui commença à la déshabiller.

— Mmmh attends, je crois que mes reins ont filtré le cidre… J’ai la vessie pleine.

— Non… Un petit truc rapide… Et il parait que c’est bien aussi avec la vessie pleine.

— Ok, mais si je te fais pipi dessus, tu l’auras bien cherché !

Ils éclatèrent de rire puis il la conduisit vers le lit superposé et s’installa sur le lit du bas, l’attirant sur lui. Elle l’enjamba et le chevaucha tout en s’étendant sur lui pour ne pas cogner sa tête.

— Oh, non, changeons de position, je me mets sur le dos.

Il passa entre ses jambes et s’allongea aussi sur elle pour ne pas se cogner.

— Alors Mme Leblanc, comme ça, vous chauffez votre époux dans les Pubs ?

— Oui, et j’aime ça… Parce qu’après, il me le rend bien !

Il rigola et plongea pour lui embrasser le cou, elle s’abandonna à lui et à ses caresses. Il la fit jouir puis jouit à son tour. Ils se retrouvèrent allongés côte à côte dans le petit lit une place.

— Tu ne devais pas faire pipi, Rachel ?

— Oui, je dois toujours, mais je n’ai pas envie de te quitter.

— Même si je fais ça ?

Il appuya doucement sur son bas ventre.

— Ah, c’est pas du jeu Louis ! Rah ! Passe-moi la carte magnétique que je file à la toilette !

— Je te suis, de toute façon, je dois y aller aussi.

Ils s’engouffrèrent dans les sanitaires qui heureusement se trouvaient juste en face de leur chambre.

Une fois de retour en chambre Rachel conclut,

— C’est vraiment le seul gros point négatif, les sanitaires à l’extérieur… Et dire que dans les chambres familiales, les sanitaires sont dans la chambre.

— Oui, tes parents en profitent.

— Et nous, profitons d’être à deux, rien qu’à deux, avant la visite de demain.

— Viens près de moi, mon épouse.

Il la serra contre lui, ils retombèrent sur le lit inférieur des lits superposés et profitèrent de ce moment d’intimité sans devoir tendre l’oreille pour les enfants.

Une fois repus de sensualité, ils restèrent dans le petit lit, serrés l’un contre l’autre. Cela fit sourire Louis.

— J’adore ce petit lit… J’ai l’impression d’être un ado en voyage avec sa copine.

— Sauf qu’on n’a plus vingt ans… Je ne sais pas si cela aurait collé entre nous lorsque j’avais vingt ans… Je préférais les grands bruns ténébreux.

— Ah oui ? Maintenant que tu es passée dans les deux fois vingt, les roux moyens te conviennent ?

— Ils font plus que me convenir…

Elle l’embrassa goulument.

— Et moi, j’aimais bien les grandes brunes, à forte poitrine et avec un beau cul.

Elle écarquilla les yeux,

— Ah oui… Je suis loin du compte alors.

— Non, t’as un beau cul, une belle poitrine … il y a juste que t’es blonde, mais j’ai appris à aimer.

Rachel lui chatouilla le ventre.

— Je rigole ! J’aime tes cheveux… Ils sont doux, j’aime m’y frotter le nez…

— Tant mieux, parce que je n’ai pas envie de me teindre les cheveux, tu vois…

— Je ne te demanderais jamais ça, Rachel… Je t’aime comme tu es, parce que tu es celle qui me rend heureux.

Elle sourit puis repris,

— Et l’ado qui est dans ce lit, il dit quoi ?

— Il se dit qu’il a de la chance d’avoir une nana dans son lit… Et que d’être serré contre elle dans ce petit lit, c’est bandant.

— Oui, ça je le sens… Mmh je sens aussi que la nana du lit va s’occuper de l’ado plein d’hormones qui se trouve à côté d’elle.

Elle prit le dessus sur Louis qui se laissa faire avec grand plaisir.

Rachel le lâcha pantelant après l’avoir fait jouir.

— Ah… Purée, Rachel, j’aurais voulu te connaitre plus tôt…

Il se redressa et lui glissa,

— J’espère que nous aurons encore beaucoup d’anniversaire de mariage à fêter.

— Mais, je l’espère aussi, Louis.

Elle se colla à lui et l’incita à s’allonger à côté d’elle. En lui caressant la joue, elle lui dit,

— Et si on essayait de dormir ? Demain sera probablement une rude journée.

— C’est vrai, on ferait bien de dormir… Viens.

Il l’enlaça et ils se laissèrent glisser dans le sommeil.

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