Chapitre 19 - Mickaël
Putain que c’est bon !!! Je redresse sa cuisse et m’enfonce plus loin. Elle gémit, je râle à son oreille à quel point j’adore sa petite chatte. J’ai envie de la gouter alors je descends le long de son corps parfait. Elle se retourne et m’offre son cul à renifler. Je pose ma langue sur sa rondelle qui se resserre et se relâche.
- Je vais t’enculer ma belle.
Je prépare ma queue et la pose contre son entrée. Je sais que quand on ne connait pas son partenaire c’est compliqué de se détendre alors je l’apprivoise en multipliant les baisers et les caresses. Et puis l’ouverture se fait, doucement je m’enfonce en elle. Putain quelle est chaude !!! Elle a bloquée sa respiration, attendant que je termine de m’enfoncer en elle mais c’est un gouffre sans fond. Je ne cesse de m’enfoncer, ma queue n’est pas si grande. Je visite ses entrailles et ça me rend fou. Je la baise, alors qu’elle gémit comme une folle.
- Ouinnnnnnnn
Pourquoi elle pleure maintenant !!! Je veux jouir moi !!!! Je vais plus vite, faut que je la finisse et que je me soulage, tanpis Miny attendra un peu. Oh oui voilà !!! J’y suis !!! Je me vide !!! Enfin !!! Quand j’ouvre les yeux, le soleil éclaire la pièce de vie, je mate sous la couette et j’ai du sperme plein les cuisses. Me revoilà à mes 13 ans. Génial.
T’es bon pour la douche.
- Bien dormi ? Me demande Julie qui vient d’apparaître au dessus de moi.
- Bof et toi ?
- Bof aussi, j’aurais un truc à te demander Mick’.
- Laisse-moi aller pisser et à la douche ste plait.
- Bien sur.
Quand je sors de la salle de bain, je la retrouve assise sur le lit.
- Qu’est ce qui ne va pas Ju’ ?
Elle se lève et va dans la salle de bain, elle ouvre un tiroir et sort une seringue et un flacon.
- C’est quoi ça Julie ?
- Mon contraceptif Mick’, avec l’allaitement j’ai que cette option là et…
Elle se frotte le front.
- J’ai horreur des aiguilles, j’y arrive pas alors peut être que tu pourrais…
Elle pince ses lèvres.
- Que tu pourrais le faire. Dit-elle
Je la vois morte de trouille.
- Attend là, t’as la frousse de quelque chose toi ? Dis-je
- Mick’ s’il te plait.
- C’est où qu’on te fourre ça ? Dis-je en prenant le flacon des mains pour le secouer
- En haut de la fesse. Dit-elle en baissant le haut de son pantalon.
Je prends un morceau de coton et elle soupire, se tenant au lavabo alors que franchement ce n’est pas la mort non plus. Je mets du désinfectant dessus et frotte là où je vais piquer. Elle sursaute ce qui me fait rire. Je prends la seringue et aspire le produit, elle tremble et c’est une vraie torture pour elle. Je repasse le morceau de coton.
- Allez respire ma belle.
Je pince sa peau, elle sursaute et ferme les yeux. J’enfonce l’aiguille et fait disparaître le produit en elle. Je retire la seringue et elle souffle comme si elle accouchait. Je lui masse la zone et enroule mon bras autour de sa taille.
- C’est fini. Ça été, non ? Dis-je en lui collant une bise.
- Merci.
- C’est une injection tous les combien ?
- Tous les mois.
J’éclate de rire.
- T’as pas fini.
- Y a rien de drôle Parker. Dit-elle en remontant son pantalon.
- Pourquoi tu t’infliges ça ?
- Je te l’ai dis, y a que ça de compatible avec l’allaitement avec les stérilets mais ils n’ont pas de place avant plusieurs mois.
- Et c’est si pressé ?
- Oui.
Elle me regarde et je lui souris.
- C’est efficace à partir de quand ? Dis-je
- Immédiatement. Dit-elle
Je lui souris de nouveau. Madame est prévoyante et j’apprécie mais elle va se piquer pour que dalle car je ne la baiserai pas. Je lui pose un baiser sur son épaule et me casse avant de faire une connerie.
- Mick’ ?
- Oui ?
- Merci. Dit-elle ne venant poser une bise sur ma joue.
Je ne sais pas pourquoi mais je la prends dans mes bras et la serre fort. Mon rêve me revient et je sens que ça commence à durcir dans mon pantalon. Je pose mes lèvres dans son cou et la serre encore plus fort. Je ne veux pas être un putain de médoc, je ne veux pas la traiter comme une vulgaire poupée gonflable, putain reprends toi. Mais mon corps refuse de m’obéir et je la plaque contre le mur, je l’entends soupirer alors qu’on est juste coller l’un contre l’autre. Mes mains glissent sur ses fesses que je malaxe puis que je caresse alors que mon érection devient problématique. Je sens sa main descendre le long de mon corps et venir toucher la bosse qui déforme mon jean. Putain que c’est bon !!!
- Continue. Dis-je à son oreille.
Je le sens ça monte !
- Encore.
Je l’encourage alors que je ne devrais pas mais je ne veux plus m’arrêter. Oh putain !!! Je râle, le visage toujours dans son cou, je respire son parfum pendant que ça main frotte mon érection. Ça vient !!!
- T’arrête pas !
J’ose plus bouger, je la laisse faire, ça me brule dans tout mon bassin, je dois me vider au plus vite. Elle continue à me masser la bite et s’en est fini pour moi. Alors que je tremble, le foutre dans la queue, mon téléphone se met à sonner et c’est Lisa qui me prive de ma délivrance. Fait chier !
- Tu pourrais venir s’il te plait ? Me dit-elle
- Un problème avec Jennie ? Dis-je en m’éloignant de ma coloc.
- Je préfère qu’on en discute quand tu seras là.
Je regarde Julie qui a entendu que je parlais de Jennie.
- Qu’est ce qui se passe ? Me demande Julie
- Lisa veut me voir. Putain qu’est ce qui se passe encore.
- Tu veux que je t’accompagne ?
- Ouais, j’avoue que ça m’aiderai.
- Je prépare Miny et on décolle.
Une fois la petite dans sa poussette, nous allons rejoindre Lisa au visage fermé. Quand je la suis au bureau, je retrouve Jennie qui porte la connerie sur sa face. Putain qu’est ce qu’elle a encore branlé !
- Je t’ai fais venir car on a un petit problème avec Jennifer. On en a déjà parlé toutes les deux mais je préfère en discuter avec toi.
Je regarde Jennie et elle sait que si elle a merdé ça va chier.
- Balance, elle a fait quoi ?
- Et bien…Jennie s’amuse à se montrer aux garçons dans les douches.
Là je bug. Je regarde Jennie qui mate ses chaussures.
- Comment s’est possible ? Les mecs ne sont pas avec les meufs non ?
- Et bien Jennie va voir les garçons quand ils se douchent et se montrent.
Putain j’hallucine.
- Tu m’expliques ? Dis-je à Jennie
Elle hausse les épaules.
- Pourquoi tu fais ça ?
- Bon après c’est normal aussi qu’elle soit curieuse et y a pas mort d’homme non plus mais ce n’est pas à faire. Dit Lisa
- Jennifer répond.
- Pour qu’il touche. Répond-elle.
Calme-toi.
- Tu veux qu’ils te touchent ? Tu déconnes là ? Dis-moi qu’aucun ne t’a touché ?
Elle hausse les épaules.
- Bon, on ne va pas s’énerver, Jennie sait qu’on ne doit pas faire ça et qu’elle n’a pas le droit d’aller voir les garçons quand ils sont dans leur pole.
- C’est fini, tu n’iras plus au centre, si t’es pas capable de…
Je pince l’arrête de mon nez pour ne pas lui sortir de la merde.
- Bref, on rentre et je ne veux pas te voir de la journée je te préviens.
On se casse et j’ai la honte de savoir que ma gamine ait fait ce genre de chose.
T’allais bien mater sa mère dans les vestiaires.
Je ne me faisais pas tripoter moi ! Putain la digne fille à sa mère !
On rentre dans un silence pesant et Julie ne décroche pas un mot. Jennie va dans sa chambre puis Julie ouvre sa gueule.
- Mick’, je ne t’ai pas tout dis sur le rendez-vous avec le médecin.
- Quoi ?
- Si sa minette était un peu inflammée, c’est parce qu’elle la frotte beaucoup, la médecin dit que c’est normal la masturbation mais qu’il ne faut pas que ça devienne une obsession non plus.
- Tu…tu viens de parler de masturbation là ?
- Oui, c’est normal, ils découvrent leur corps Mick’.
- Et pourquoi tu ne m’as rien dis !
- T’es…t’es si protecteur et Jennie flippait que tu te fâches et m’a supplié de ne rien te dire alors j’ai préféré ne rien dire mais là avec ce qu’il s’est passé au centre…
Putain je vois rouge là.
- Alors toi aussi tu mens ?
- Je ne t’ai pas menti Mick’, je n’ai juste pas mentionné quelques éléments.
Je ricane d’un air mauvais
- Alors qu’on se mette bien d’accord, plus jamais tu me caches quelque chose ! J’ai assez de Marielle qui m’a mytonné pendant des mois !
- Je suis désolée.
- Vous êtes vraiment toutes les mêmes.
- Tu sais c’est compliqué de te parler Parker ! Tu sur-réagis et…
- Je sur-réagis ? Ma gamine se tripote à se déglinguer la chatte, elle se fait tripoter volontairement dans les douches et je sur-réagis ?
- Ok, ce n’était pas à faire mais elle se découvre Mick’.
- A 8 piges tu te tripotais toi ?
- Je m’en rappelle plus Mick’ mais…
- T’allias te faire doigter dans les douches avec des mecs ?
- Elle se fait pas doigter Mick’, elle…
- Peu importe, elle ne se respecte pas et ça, ce n’est pas acceptable.
- Je ne dis pas que ça l’est mais juste que si tu te fâchais un peu moins, on te parlerait un peu plus. Que ça soit Jennie ou même Marielle.
- Parle pas d’elle !
- Tu ne te demandes même pas ce qu’il l’a poussé à faire ça.
- Si et j’ai la réponse, Marielle est une grosse salope qui ne tient pas sa chatte et je ferais en sorte pour que Jennie ne prenne pas le même chemin.
Putain je déteste m’énerver contre Julie mais là elle dépasse les bornes.
- Et donc pour ça, tu la punis dans sa chambre.
- Ouais et si ça ne te plait pas, bah c’est la même. Dis-je pour clôturer la discussion.
Les tensions se font bien sentir et je préfère ne pas parler sauf quand Jennie vient à table.
- Tu prends ton assiette et tu retournes dans ta chambre. Dis-je
- Mick’…
- Toi, tu ne t’en mêles pas. Dis-je à Julie
- Sachant que c’est moi qui fais le ménage dans sa chambre, je crois que j’ai mon mot à dire.
- Elle sait manger proprement.
- Tu fais le con
- Je t’emmerde.
Jennie descend avec son assiette vide quand elle vient nous dire au revoir.
- Bonne nuit papa. Dit-elle en venant pour me poser un baiser.
- Je ne veux pas de ton bonne nuit, vas te coucher.
Elle est au bord des larmes mais là je m’en tape.
- Pardon papa.
- Tu me déçois tellement.
- Papa…
- Va au lit.
Julie me regarde alors que Jennie va en pleurant se coucher mais elle ne me dit rien et tant mieux. J’interdis le centre pendant 1 semaine, le temps de me calmer puis je lui mets bien les points sur les I.
- Qu’on soit bien d’accord, tu merdes, tu fais une croix sur le centre.
- Oui papa. Je peux avoir un bisou ?
- Ouais mais ne me déçois plus.
- Promis. Dit-elle en m’enveloppant de ses petits bras.
Elle sèche ses larmes et me regarde avec ses beaux yeux.
- T’es plus fâché alors ? Me demande-t-elle
- Non.
- Je pourrais remanger avec vous ?
- Oui bien sur, allez file.
Quand je me redresse Julie me regarde en me fusillant du regard. Elle m’a cassé les couilles toute la semaine mais mon éducation est comme ça. Je ne permettrais pas que ma fille devienne comme sa mère.
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