Multi-bille

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Iris se lève, espiègle, pratiquement nue, et commence à grimper une sorte d’échelle qui mène à une vigie servant à l’arbitrage de certains matchs qui se jouent. Elle lui lance son pull au visage et lui sort un "Tu viens?", qui ne le fait pas traîner ! Non seulement il la suit, ne manquant pas de la regarder vue du dessous gravir les barreaux un à un, mais il la dépasse même, et se retrouve rapidement dans la vigie. Elle finit son ascension et s’arrête au niveau du torse de Pierre, qu’elle embrasse et caresse d’une main libérée. Elle descend indécemment son visage le long du buste chaud de Pierre, ne manquant pas de se frotter contre lui, qui arrive à peine à déglutir tant il est suspendu à ce qu’elle s’apprête à faire. Sa paire de seins appuie contre le sexe en érection de Pierre, ce qui ne fait qu’amplifier le phénomène. Il lui caresse les cheveux et la laisse continuer de se prélasser contre lui. Les seins d’Iris semblent signer son prénom en lettres capitales, par mouvements tantôt de bas en haut, tantôt de droite à gauche, ou rotatifs. Dieu que c’est bon ! Ça pourrait durer des heures s’il n’avait pas autant envie d’elle !

Elle défait le cordon de ceinture de Pierre et descend l’ensemble caleçon et pantalon avant de placer ses mains ouvertes sur les fesses de celui sur qui elle est en train de jeter tout son dévolu. Débute alors une fellation authentique, pas feinte et encore moins forcée.

Iris a le chic de réussir tout ce qu'elle lui fait : un acte pourtant déjà vécu maintes fois par Pierre, mais qui revêt une dimension particulière avec elle, pour une raison qui lui échappe. Il sent cette langue et ces lèvres enfermer sa verge, puis la libérer en douceur en la faisant glisser contre la paroi de la bouche à chaque retrait et entrée, avec parfois une agile main d’Iris venant se rajouter pour participer au plaisir pris et donné. Quelle délectation ! Et sans vulgarité, chapeau bas.

A Pierre d'offrir un acte plus équitable à Iris, qu'il rejoint quelques barreaux d'échelle plus bas après avoir balancé dans le vide le reste de ses vêtements, se plaçant derrière elle. Tous deux agrippent bien les bords de la tour de vigie, leurs jambes en dépassant sur l'échelle. Elle sent son sexe gorgé de désir à travers la dentelle de son boxer et se frotte copieusement à lui, de dos. Elle est en demande, et elle le fait entendre avec un léger gémissement qui accompagne le geste de Pierre qui finit de la déshabiller : elle soupire de plaisir. Il semblerait que le pion s’apprête à prendre la dame dans la tour, comme un fou ! Qu’il en soit ainsi, sans échec possible !

Malheureusement alors que Pierre prend son pied magistralement avec cette levrette verticale, le concierge de l'établissement entre dans le gymnase : Iris et Pierre se figent sur place, toujours perchés l’un derrière l’autre en haut de l’échelle aboutissant à la vigie. Ils prient pour que le concierge ne les voie pas et ne voie pas les vêtements éparpillés au sol en contre bas.

Ouf, il éteint les lumières et repart…

Iris descend, coupée dans son élan, et Pierre la suit, mais ne compte pas en rester là. Une fois en bas, dans le noir total, juste éclairés par le clair de lune passant par les baies vitrées, ils font à peine quelques pas quand Pierre improvise une idée coquine. Il saisit Iris par la taille, qui éclate de rire, et la pousse dans le bac à linge sale, plein de maillots de sport. Elle s’en fiche et adore cette prise d’initiative. Pierre s’allonge à côté d’elle, son genou reposant par-dessus les jambes légèrement écartées d’Iris. Sa main droite passe sur le relief de deux superbes seins qu’il prend enfin le temps de découvrir : leur taille et leur forme sont en plus joliment révélées par le clair de lune, une lumière parfaite et suave. Le minéral Pierre est en train d’embrasser langoureusement cette appétissante poitrine bombée, tout en s’aventurant du bout des doigts dans la flore d’Iris. Elle gémit d’une façon si excitante qu’elle-même ne peut s’empêcher de se mouvoir au rythme des doigts venant donner un plaisir flagrant et profond. Iris courbe son dos, faisant s’étirer son buste et donc sa belle poitrine en même temps.

Elle susurre un « Prends-moi maintenant », qui ne laisse pas Pierre de glace, loin de là.

A ses ordres, il la prend vigoureusement sur le champ, et frontalement. Plus elle gémit, plus il se sent permis de continuer et donner encore plus de tonus à ces mouvements. Iris quant à elle, reçoit un déferlement d’informations corporelles. Son excitation la mène tout droit vers un orgasme sans équivoque, quasi métaphysique, qui encourage Pierre, prêt à "tilter", à finir à son tour son ascension dans une suite de râles très masculins, à coups de bassin dont les vibrations dans le corps d’Iris parviennent à provoquer des répliques de son orgasme à elle, était-ce seulement possible ? A elle la surenchère de jouissance : elle finit d’ailleurs par laisser sortir un éclat de voix qui remplit de façon magique l’espace entier du gymnase, rivalisant avec le cri d’une volleyeuse montée au filet, en plein smash !

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