Un début cauchemardesque

5 minutes de lecture

  Encore endormis, bien emmitouflé dans mes draps, j'entends mon réveil sonné. Un gémissement plaintif venant de ma voix se fait entendre. J’éteins mon réveil, me lève, traînant des pieds jusqu'à la cuisine pour me préparer mon petit déjeuné habituel.

Je laisse le café couler, les tranches de pains griller, sortit du Nutella du placard et alla au toilette. Encore la vision trouble, endormis à moitié, mon esprit sur le mode off, je ressens qu'il y a quelque choses de changé en moi, et me dis que cela doit être juste à cause du réveil beaucoup trop tôt. marchant le lentement dans mon salon, j'observe la ville par delà la baie vitré de mon appartement. Le ciel encore noir, seul les lumières des voitures illuminait l’horizon, ce qui donnait l'impression du néant avec quelques lumières apportant la vie.

– Arf... Beaucoup trop philosophique pour ce matin là. Me dis-je à moi-même.

Il est 5h45, nous sommes le 14 octobre, j'habite dans la skyline de Boston, ville de l’État du Massachusetts. Je m'appelle Arleen. C'est lors de cette journée que tout à commencé, je suis là propre narratrice de mon aventure ? Oui, donc moi - celle qui est dans ce paragraphe - est là moi du futur, je vais vous raconter mon histoire d'un changement que j'ai du subir, qui au font, en y repensant était extrêmement intéressant et drôle à vivre, vous allez voir de quoi il s'agit, mais mon petit doigt me dit que vous le savez déjà.

  Les minutes passent, mon pain tartiner trempe toujours dans mon café, je suis en train de me rendormir lamentablement sur mon petit-déjeuné. C'est seulement lorsque je sens que je n'ai plus ma tartine dans la main, que mon café est en train de couler sur la table, et de me brûler la jambe que je réveille en sursaut. Je fonce vers l’évier pour prendre l'éponge et essuyer la table.

 – Et merde, comment une journée peut-elle plus mal commencé ?

Sur ces mots, je fini d’essuyer tout la pagaille que j'ai crée, et constate que mes mains sont plus musclé, mes veines et os ressortent, mes doigts fins, et mes grands ongles avaient disparu, remplacés par des doigts légèrement plus courts, des ongles raccourcis. Je m'ébahis à l'idée que ces mains peuvent posséder tellement de force. Mais une crainte pris mon âme et fait accélérer mon cœur. Je me précipite vers la salle de bain a une vitesse folle.

– Non, non, non, non... Pas ça, Pas ça... Pourquoi à moi !? Je me regarde dans le miroir et répéte au moins une vingtaines de fois ces mots.

Les cheveux bruns, coiffés magnifiquement bien en volume vers le côté gauche, coupé légèrement sur les côtés, des sourcils assez prononcés, la seule choses de mon visage que j'ai gardé se sont j'ai gardé mon regard perçant et mes yeux marrons foncés en amandes. Des lèvres bien dessinées, une légère barbe, ma peau n'est ni blanche, ni excessivement bronzé, juste une teinte normal. J'enlève mon tee-shirt pour admiré mon corps d’athlète, surprise de voir sous ce vêtement un corps si bien sculpté, ses abdominaux voyant, des pectoraux ressortant.

Je soupire et enleva le reste de vêtements et me mis sous la douche, réfléchissant à comment m'habiller, comment aller au travail avec tant de changement, ce n'est pas comme si j'aurai eu une petite modification, j'ai carrément changé de sexe pour un temps indéterminé !

Une fois ma douche terminé, je m'enveloppe dans une serviette, et alla dans ma chambre.

– Logan a dû sûrement oublier ou déposer des affaires ici. Du moins je l'espère...

Finalement je trouve tout de même un tee-shirt pas très sexy, ni élégant pour cette journée misérable mais cela fera l'affaire avec un jean qui me plaisait bien autrefois, quand je le voyais sur Logan.

Je pris une veste qu'il avait laissé chez moi et partit. Comment annoncé que je suis désormais un homme à l’accueil de ma boîte ? "Hey, salut Ashley, je me suis transformé en homme". Mais quel crétin je ferai, - si je suis désormais un homme autant orthographier au masculin - mais en plus ! Quel nom j'ai maintenant, je vais m'appeler Arleen alors que je suis plus... moi. Dans quel merdier je suis, d'abord le café, ensuite ma transformation et maintenant le monde extérieur.

Après une trentaine de minutes de tram, j'arrive à mon entreprise, je passe les portes et voilà tout les regards posés sur moi, je marche avec élégance vers l’accueil, je suis confronté désormais à la première étape de mon cauchemar à l'extérieur de chez moi.

– Bonjour Monsieur que puis-je pour vous ? Me dis Ashley, toujours de bonne humeur, j'adore cette fille qu'il fasse gris, qu'il pleuve, qu'il neige, sur son visage tout allait magnifiquement bien, son teint rosée, ses yeux bleus reflétait la sérénité, ses lèvres pulpeuse recouvert d'un rouge à lèvres rouge, ses trait fin lui fait ressemblé à une mannequin dans les pubs de parfums.

D'un coup je ressens une sensation étrange, est-ce parce que je l'admire trop et que mes hormones se réveil sous l'envi de l’embrasser.

– Monsieur ? Vous allez bien ? Elle me tire de ma rêverie en claquant des doigt devant mes yeux me retirant de mes pensée obscènes.

– Pardon, excuse-moi... heu je veux dire excusez-moi, je souhaite discuter avec le patron de la boîte.

Mais quel débile je fais, j'ai envie de m'enterrer six pieds sous terre. Ashley a un léger sourire en coin mais je n'en comprend pas la raison, je l'ignore bêtement, de peur d'avoir une fois de plus une honte me montant aux joues et rougissant comme un coq.

– Avez-vous un rendez-vous avec lui ? Je lui répond de la tête négativement, j'ai tellement envie à la fois de l'embrasser, et de lui dire qui je suis. Cette sensation est vraiment étrange, sachant qu'avant ma transformation elle était ma meilleur amie. Je lui enverrai peux être un message pour lui dire mais j'ai bien peur que ça ne servira à rien.

– Vous ne pouvez discuter avec lui si vous n'avez pas de rendez-vous, si vous voulez je peux vous en prendre un, dans attendez... Elle scrute son ordinateur à la recherche d'une date disponible qui visiblement n'était avant une paire de semaines.

– NON ! Écoutez c'est très important j'ai vraiment besoin de lui parlé, c'est un cas d'urgence ! Lui dis-je en haussant fortement le ton, ce qui provoque un silence dans tout la salle, les personnes à l’intérieur du bâtiment se sont arrêtés de discuter ou de faire quelques chose pour me regarder, et après quelques secondes que je cru interminable, ils reprennent leurs activités.

– Bon très bien... je vais l'appeler pour voir s'il est disponible maintenant, mais sachez que je fais sa uniquement pour vous et que si vous voulez le refaire je ne céderai pas à votre voix. Dis-elle avec colère. Contrarier, elle prend le téléphone du bureau et appelle le directeur qui n'est, quand réalité seulement à côté de l’accueil, qui a donc entendu ma voix résonner dans son bureau, génial il va m'engueuler parce que j'ai haussé le ton.

– ll vous attend dans son bureau... Je ne prend même pas le temps d'écouter la fin de sa phrase, je la remercie et accéléré le pas vers la salle.

Annotations

Vous aimez lire Ayato Yamada ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0