Une journée compliqué
Arrivé dans le bureau, je referme la porte à une vitesse folle, je me plaque le dos contre celle-ci et glissa jusqu'au sol, le directeur, Steven Coleman court vers moi et me prend les épaules.
– Monsieur, est-ce que tout va bien ? Me dis-il en me secouant énergiquement, il me regarde dans les yeux, puis recule de quelques pas.
– Qui est-vous vous me rappelez quelqu'un. Je me redresse doucement et le conseilla de s’asseoir sur sa grande chaise rouge, et moi sur l'un de nos vieux fauteuil de nos bureaux, qui avaient été ramener dans les bureaux comme celui de Steven.
– Si je vous dis qui je suis vous ne croiriez pas, mais je prend tout de même le risque. Voilà... je suis l'une de vos licencier, Arleen Carpenter.
De longue minutes silencieuse se créa, puis le directeur émit un petit rire d'incompréhension.
– Attendez, vous voulez dire que vous êtes Arleen Carpenter ? Cette personne est une jeune femme tout d'abord, qui est en plus en retard. Dit-t-il en fronçant les sourcils regardant sa montre en argent pur.
Cet homme qui respirai la fortune par millier, avait des chaussures en cuire étincelante, si propre que l'on pouvait presque apercevoir son reflet. Habillé avec son costard bleu marine toujours un petit mouchoir dans sa poche avant, avec sa cravate de la même couleur. Ses cheveux légèrement tiré vers l'arrière, ses sourcils foncés et ses yeux bleus pétillant lui donnait l'air sérieux et ouvert, une barbe assez développée correspondait à son titre de directeur. Les traits de son visages sont fins mais déjà sur ses pommettes et son front apparaissent quelques rides qu'il essaye malgré lui de caché par du fond teint. Il avait une morphologie assez bedonnante et se plaisait ainsi, ce qui fut à son plus grand plaisir accepter dans l'entreprise qui contenait plus d'une majorité des corps d'apollons et de déesses puisque ma boîte consiste à vendre de la lingerie, du cosmétique mais également des vêtements de couturiers et couturières amateurs, en bref une société imposante dans le business et multifonction de bonne qualités.
Je lui explique ce qui m'étais arrivé plutôt dans la journée et se rendit à l'évidence que c'était bel et bien moi Arleen Carpenter grâce aux mots que j'emploie, des expression et des geste que seule moi.. enfin mon ancienne moi utilisait de tout Boston.
– Je compati beaucoup, mais tu sais pourquoi on t'as fait cela ? et qui, pourquoi ? Je sais que rien ne va changé à ta façon de travailler mais le problème c'est que tu étais attendu la semaine prochaine avec trois mannequin à faire des shooting photo et pouvoir les aidées à faire le plus grand défiler des État Unis, elles vont trouver cela bizarre que ce soit un homme au lieu d'une femme qui est gagner le premier prix l'année dernière au défilé.
Je soupire de désespoir, décidément tout ce qu'il comptait pour lui, c'est que je sois en capacité de faire du bon travail et lui donner des résultat plus que satisfaisant.
– Écoutez, si cela ne vous dérange trop vous pouvez me licencier et prendre Ashley pour me remplacer, elle fait un excellent travail, nous avons souvent fait des projets ensemble, et c'est grâce à elle que j'ai pu monté si haut. On s'était promis l'un l'autre de ne jamais le dire à qui que se soit mais c'était mon dernier espoir pour que je reste dans le même milieu et au même grade.
– Non je ne vais pas te virer, je leurs dirai juste que la Arleen Carpenter à été invité à un salon en France et qu'elle doit y rester plus d'un mois, durant ce délais, essaye rester le même dans ta qualité de travail, et... Tu as un nom ? Puisque maintenant tu est un homme.
– J'ai choisis de m'appeler Tyler Browm, c'est pas génial mais c'est le seul nom qui m’aie venu à l’esprit. je regarde Steven qui arque un sourcils surpris que je choisisse un nom si courant, mais fut tout de même convenu.
– Le problème est réglé désormais M.Tyler. Je te propose tout de même de piocher dans les réserves de vêtements, on dirai que tu viens de revenir de vacances, tu peux en prendre autant que tu veux, bon tu ne vide pas tout le stock mais prend en suffisamment pour que tu sois à jour autant que quand tu étais une femme... je n'aurai jamais cru dire cette phrase un jour ça fait bizarre.
Sur ces mots il me sert la main et m'ouvre la porte de son bureau lumineux, où touts les murs et sol étaient blanc comme neige.
Très peu de choses décorai la pièce mais y ajoutait suffisamment de charme ; En entrant dans le bureau, la place ne manquai pas, la porte était collé au mur de gauche, à l’extrémité du mur on pouvait y percevoir un petit palmier. Devant, un bureau où tronait un grand ordinateur, en face un siège de velours rouge, à son opposée était posée deux chaises blanche à l’intérieur noir, je me suis toujours dis que l’extérieur était blanc comme si c'était une coque protégeant son contenu. Derrières les chaise blanche-noir se trouvait une immense baie vitré opaque que l’extérieur qui faisait toute la longueur du mur.
Je quitte son bureau, un sourire aux lèvres je me dirige comme convenu aux stocks des anciennes collection. J'arrive vers les machines de confection quand je sens tous les regards posée sur moi. j’essaye de marcher tranquillement malgré la gène qui s'est développer en moi.
Me concentrant à marcher dignement, en regardant mes pieds, je percute violemment un jeune homme que je n'avais jamais vu auparavant, un visage lisse comme une peau de bébé, les cheveux blond comme de l'or, son corps maigre. Il perdit les feuilles volantes qui avait dans ses mains, toute se retrouvèrent par terre.
– Pardon, je ne vous ai pas vu. Dit-il timidement en se dépêchant de ramasser ses documents.
– Ce n'est pas grave, j'étais aussi distrait je vais t'aider à ramasser. Dis-je calmement. Je me baissa et pris les feuilles éparpiller autours de moi, je vis avec un regard rapide les documents, ou plutôt les croquis qui y est magnifiquement dessiné.
– A qui sont ces dessins ? Il releva la tête étonné de ma question et me répondit que c'était lui qui les avait dessinés, ce que j'ai eu du mal à croire, ils sont tellement parfait, tous les traits étaient réfléchit, des vêtements originaux, très spécifique avec des morphologie du corps qui correspondait bien à l'habit en question.
– Je suis curieux, depuis quand tu es ici, certain professionnel de cette entreprise ont moins de talent que toi, bien qu'ils dessinent bien tu es bien plus haut qu'eux. Le garçon rougit intimidé des compliment qu'il reçut gratuitement.
– Merci Monsieur, je suis ici depuis seulement quelques semaines, je suis en stage, j'adore dessiner, alors j'ai essayer de trouver un travail ou un stage là dedans.
– Je suis sur que tu as de l'avenir dans ce domaine, et peut être que tu travaillera au sein de la boîte, des styliste ne nous en avons jamais assez, tu sais. Si tu es capable de nous donner un travail orignal travailler tu as des chances, et à ce que je vois sur ces feuilles tu es bien partit. Je lui rendit ses pages et mis une main rassurante sur son épaule quelques seconde et continua mon chemin.
Enfin arrivé à ma destination final, je remplis plus de trois sacs de costard, chaussure, sous-vêtements, tee-shirts, et tout ce dons j'ai besoin et repartis vers l’accueil, eu encore des regard interrogateur sur moi, attendu le tram une trentaines de minutes et fus enfin rentré dans mon foyer enfin seul, la journée toucha à sa fin, et le week-end arriva.
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