One shot 01: How I met my girlfriend
Alors que tout le monde dansait au rythme de la musique, mes cris de douleur retentissaient dans les toilettes du Macumba, une bonne de nuit parisienne. Pour preuve, je me faisais actuellement sodomiser par une femme que j’avais rencontrée sur internet quelques heures auparavant. Comment en suis-je arrivé là ? Pour comprendre mon histoire, nous devons remonter quelques jours plus tôt.
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Mon nom est Kelly et il y a encore quelques jours, j’étais un étudiant tout à fait normal. Mesurant 1m75, ayant des cheveux blonds, et portant des lunettes de vue, ma vie était des plus ordinaires. Cependant, je cachais un secret, un secret qui, une fois découvert, avait été à l’origine d’une période assez stressante dans ma vie. À l’université, je sortais avec une fille très charmante prénommée Sarah. Entre elle et moi, tout allait pour le mieux. Après nos cours, nous nous rencontrions et parlions de tout et de rien. Quand nous avions du temps libre, nous pratiquions certaines activités telles qu’aller au cinéma ou faire des sorties avec nos amis.
Tout changea le jour où Sarah m’invita soudainement chez elle. Étant libre ce jour-là, j’avais décidé de répondre présent à son invitation. J’étais encore loin de me douter que ce serait le jour de ma déchéance. Lorsque j’étais arrivé chez ma petite-amie, cette dernière m’accueillit comme à son habitude avec une boisson fraiche. Je lui avais alors demandé pourquoi elle m’avait invité, ce à quoi elle avait répondu qu’elle voulait passer du temps avec moi. Je n’avais trouvé aucune objection à cela et avait même apprécié son geste.
Nous nous étions donc installés dans son canapé afin de regarder une de nos séries préférées. Au bout de quelques minutes seulement, la tension entre elle et moi avait commencé à monter. N’en pouvant plus, Sarah s’était mise à me donner de nombreux baisers dans le cou avant de dévier progressivement vers ma bouche. Soudainement, après seulement deux minutes, ma petite-amie m’avait dit qu’elle en avait envie. J’avais alors décidé de l’arrêter, ce qui bien évidemment ne l’avait pas plu.
Sarah s’était brusquement levée du canapé. À son expression, j’avais compris qu’elle était à la fois frustrée et en colère. Je m’étais à mon tour redressé, mais au moment où j’avais voulu parler, elle m’avait immédiatement interrompu.
- Kelly, est-ce que tu vois quelqu’un d’autre ? m’avait-elle alors demandé.
- Non ! Mais bien sûr que non, lui avais-je répondu.
- Alors, pourquoi tu refuses de me toucher ? Ça fait des mois que nous sommes ensemble et nous n’avons jamais baisé ! Ça te sert à quoi d’avoir un tel matos si tu ne comptes pas t’en servir !
- C’est…c’est beaucoup plus compliqué que ça.
- Compliqué en quoi ! Il te suffit juste de le sortir de ton pantalon et de l’enfoncer en moi. Qui y a-t-il de si compliqué que ça ?!
J’étais resté silencieux devant ses propos, ne trouvant pas la force de lui dire la vérité.
- T’es impuissant, c’est ça ? m’avait-elle questionné juste après.
- Q…quoi ?! N…non ! Je ne suis pas impuissant, lui avais-je dit, surpris par ses dires.
Elle avait surement dû en avoir marre de mes réponses, car Sarah s’était littéralement jetée sur moi afin de voir ce qui n’allait pas chez moi. J’avais alors fini dans le canapé, me défendant du mieux que je pouvais contre ma petite-amie. Malheureusement, elle était parvenue à avoir raison de moi et à découvrir ce que je lui avais caché. En effet, dès qu’elle avait ouvert mon pantalon, ses yeux s’étaient remplis d’un mélange d’étonnement, de désillusion, de déception, et de colère. Elle avait fini par découvrir pourquoi je ne l’avais jamais touchée durant la période durant laquelle nous avons été ensemble.
- S…Sarah, je peux tout t’expliquer ! m’étais-je exclamé à ce moment.
- Tu te fous de moi ?! Un concombre ! Pendant des mois tu m’as fait croire que tu avais une grosse bite alors que ce n’était qu’un foutu concombre ! Sors de chez moi !
- Sarah ! avais-je essayé de me justifier.
- Je t’ai dit de sortir de chez moi ! Et emporte ta chose avec toi ! avait-elle rétorqué en pointant du doigt le concombre qui s’était retrouvé parterre.
Sans dire le moindre mot, je l’avais ramassé et avais pris la direction de la sortie. Je m’étais dit qu’elle et moi parlerions beaucoup mieux quand elle se serait calmée. J’étais encore très loin de me douter que la pire période de ma vie serait sur le point de commencer.
Quelques heures plus tard, j’avais essayé de l’appeler. Cependant, Sarah avait refusé de répondre à chacune de mes tentatives. Je lui avais donc laissé un message sur sa boite vocale lui demandant de me contacter afin qu’on discute de ce qui s’était passé. Je m’étais donc couché cette nuit en pensant que j’aurais pu arranger les choses entre elle et moi.
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Le lendemain matin, la journée n’avait pas tout à fait démarré comme d’habitude. Je n’avais reçu aucun message chaleureux de la part de Sarah, ce qui voulait dire qu’elle était toujours en colère contre moi. J’étais donc sorti de mon lit avec la ferme intention de régler ce petit différent avec elle. J’avais donc préparé toute ma journée comme il se devait et étais sorti de chez moi pour me rendre à mon cours.
Arrivé dans mon amphithéâtre, quelque chose avait attiré immédiatement mon attention. En effet, certains élèves de ma classe avaient les yeux rivés vers moi. Une idée concernant l’origine de ce comportement m’était alors venue en tête, cependant, j’avais refusé d’y croire, me disant à ce moment que cela n’était pas possible. Je m’étais donc assis sur mon siège, attendant patiemment l’arrivée de notre professeur.
Quelques dizaines de minutes plus tard, tandis que notre enseignant était en pleine phase d’explications, mes oreilles avaient capté les murmures de certains de mes camarades. Ceux-ci étaient en train de parler de moi, plus précisément d’une partie de mon corps. J’avais alors compris que Sarah avait dû être la cause de la circulation de cette information.
J’étais anéanti et honteux. J’avais du mal à croire que ma petite-amie était la responsable. Ne pouvant plus supporter les silencieuses moqueries de mes camarades, j’avais décidé de prendre toutes mes affaires et de sortir de la salle de classe. Tandis que je montais les marches d’escalier me conduisant à la porte, j’avais clairement pu sentir leur regard posé sur moi.
Tandis que je marchais sans véritable but dans les couloirs de l’université, j’étais tombé sur Sarah entourée de ses amies. Je m’étais donc dirigé vers elle afin d’obtenir des explications concernant ce qui était en train de se passer.
- Sarah, est-ce qu’on peut parler en privé s’il te plait ? lui avais-je dit après avoir tapoté son épaule.
- Je n’ai rien à te dire, m’avait-elle répondu.
- S’il te plait, Sarah ! Il faut absolument que l’on parle.
- Je n’ai rien à dire à quelqu’un comme toi. Retourne dans ton coin jouer avec ton concombre et ta minuscule bite, avait-elle dit en mettant l’accent sur le mot minuscule.
À la réaction de ses amies, j’avais compris qu’elle était effectivement à l’origine de la rumeur qui circulait sur moi dans l’université. Était-ce une punition divine ? À cet instant, je l’avais clairement pensé.
- Au fait, je ne sais pas si ça a été clair pour toi, mais toi et moi, c’est fini. Ne cherche plus jamais à me contacter, avait-elle rajouté avant de s’en aller.
À cause de ce petit échange qu’on avait eu et des personnes qui avaient été présentes, la rumeur sur moi s’était répandue comme une trainée de poudre. Étant désormais la risée de tout le monde, j’avais décidé de rentrer chez moi en courant et d’y rester en espérant que les choses s’améliorent.
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Après les évènements qui étaient survenus avec Sarah, j’avais passé les trois jours suivants cloitré chez moi. Je savais qu’un tel comportement avait des conséquences néfastes sur mon cursus scolaire, mais j’étais dans l’incapacité de faire face au monde extérieur. Que ce soit dans la vie réelle ou sur les réseaux sociaux, tout le monde s’était moqué et continuait de se moquer de moi. À cause de tout ça, j’avais pensé à me suicider. À quoi cela aurait servi de rester dans un monde où les gens me dénigraient ouvertement ?
À cause de cette phase dépressive que j’avais traversée, j’avais commencé à m’isoler de plus en plus. J’avais notamment trouvé refuge dans un jeu en ligne. Je n’avais pas particulièrement aimé le jeu en lui-même, mais il m’avait permis d’oublier le monde réel pour un temps. De plus, même quand je n’y jouais pas, je passais la majeure partie de mes journées à naviguer sans véritable but sur internet.
Un jour, alors que je m’étais une fois de plus adonné à mes vagabondages numériques, j’étais tombé sur un site de rencontre. Au début, je m’étais dit que cela ne valait pas la peine que je m’y inscrive, que même si je trouvais une fille, cela finirait comme avec Sarah. Cependant, j’avais tout de même décidé de le faire. J’avais donc entré mes informations, mais avais mis un faux prénom, créant ainsi un nouveau profil. Il n’avait fallu qu’une heure avant que je reçoive mon tout premier message d’une certaine Kara.
Au départ, j’avais été méfiant. Il fallait dire qu’avec tout ce qui m’était arrivé durant cette période, j’avais pensé que derrière le compte de Kara se cachait une personne de l’université et que cette dernière avait pour objectif de m’enfoncer encore plus. Cependant, après deux jours à discuter avec elle, je m’étais rendu compte qu’il s’agissait en réalité de quelqu’un de bien et d’attentionné qui n’avait jamais entendu parler de Kelly, ce qui avait été un véritable soulagement pour moi.
Les jours suivants avaient été un véritable bonheur pour moi. En effet, avec Kara qui avait fait son entrée dans ma vie, mes journées s’étaient considérablement embellies. Elle m’avait aidé à oublier les moqueries du monde extérieur. À un certain moment, je m’étais retrouvé dans l’incapacité de me passer d’elle. Mes réveils étaient marqués par de chaleureux messages de sa part et quand je partais me coucher, je finissais avec mon téléphone dans la main, m’étant endormi durant notre appel quotidien. De plus, j’avais appris que nous avions beaucoup de points communs tels que des gouts musicaux similaires ou encore une certaine appréciation pour certains types de films et séries.
Cinq jours après ma rencontre en ligne avec Kara, celle-ci m’avait invité en boite. Elle avait fait cela parce que durant une de nos conversations, je lui avais dit que je ne sortais pas, que je n’avais plus vraiment envie de le faire, que le monde extérieur m’avait complètement dégouté. Ayant refusé les premières fois, j’avais fini par accepter de sortir avec elle. Cependant, j’étais toujours méfiant, me demandant constamment si elle n’était pas une étudiante de mon université qui avait une fois de plus cherché à me ridiculiser.
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Nous nous étions donc donné rendez-vous au Macumba, une boite de nuit parisienne assez populaire. J’étais donc arrivé avec plusieurs dizaines de minutes d’avance et étais parti m’installer dans un coin. De là, j’avais observé tous les jeunes gens qui dansaient tout en me remémorant une période de ma vie où tout allait pour le mieux.
Au bout d’une dizaine de minutes, j’avais commencé à me sentir mal à l’aise. Il fallait dire que lorsque j’avais imaginé la suite de cette soirée, si tant est qu’il y ait une suite, j’avais vu une scène similaire à celle qui s’était produite avec Sarah. Comment aurais-je pu satisfaire une femme avec mes attributs aussi pathétiques ? J’avais donc décidé de m’en aller. Toutefois, au moment où je m’étais levé de mon siège, j’avais entendu une magnifique voix prononcer le faux prénom que j’avais utilisé sur le site. Je m’étais alors retourné uniquement pour découvrir une véritable bombe.
Kara était une jeune femme noire qui avait arboré à ce moment une coupe afro et était vêtue d’une paire de bottes également blanche, d’une jupe noire, d’un top épaules dénudées de couleur blanche qui était tellement moulante que j’avais eu du mal à détourner mon regard de sa grosse poitrine. Elle avait cependant la même taille que moi, ce qui ne m’avait absolument pas dérangé. En la voyant, je m’étais dit que j’avais vraiment tiré le gros lot tellement cette fille était une véritable déesse.
- Hé, Harold ! Je t’ai immédiatement reconnu dès que je t’ai vu. Il n’y a pas beaucoup de personnes aussi mignonnes que toi ce soir, m’avait-elle dit.
Face à la beauté de Kara, je m’étais retrouvé dans l’incapacité de prononcer le moindre mot. Il fallait dire qu’elle était si belle que mon cerveau avait eu énormément de mal à traiter à l’information. Lorsque je m’étais finalement décidé à ouvrir la bouche, ce qui en était sorti était une phrase complètement incohérente.
- Bonsoir, Harold. Ravi de te rencontrer, je suis Kara, avais-je rétorqué.
Lorsque je m’étais rendu compte de mon erreur, je l’avais immédiatement rectifiée, ce qui n’avait pas manqué de la faire rire. Après cette petite introduction quelque peu gênante, nous avions décidé de nous installer dans un coin tranquille et de commander des boissons. Durant l’attente de ces dernières, Kara et moi en avions profité pour faire de plus amples connaissances. Elle m’avait alors dit que, tout comme moi, elle était une étudiante dans une université située à une trentaine de minutes de la mienne, ce que j’avais trouvé sympa sur le moment. Je m’étais dit que, comme elle ne restait pas trop loin de chez moi, on aurait pu se voir quasiment tout le temps. Kara m’avait ensuite demandé certains détails concernant mon récent comportement.
- C’est une très longue histoire, avais-je répondu.
Durant nos nombreuses conversations en ligne, je n’avais jamais vraiment mentionné la raison pour laquelle j’avais commencé à détester le monde et je n’avais eu pas l’intention de le lui dire. Comment aurais-je pu le faire ? C’était beaucoup trop humiliant. Au moment où j’avais voulu changer de sujet de conversation, le serveur était arrivé avec nos boissons alcoolisées. J’avais alors pris la mienne et l’avais bue d’une traite.
- Hé bien, tu dois vraiment avoir soif, s’était-elle exclamée après m’avoir vu faire.
- Une mauvaise habitude. Désolé, lui avais-je dit en commandant une nouvelle boisson.
Kara et moi avions continué de parler de tout et de rien tandis que ma consommation de boissons alcoolisées augmentait drastiquement. Cela avait surement été dû à mon anxiété vis-à-vis de la suite de la soirée, mais j’étais à ce moment incapable de m’arrêter.
Après plusieurs dizaines de minutes de discussion, Kara m’avait soudainement invité à danser. Elle avait donc attrapé ma main et m’avait un peu tiré de force sur la piste de danser où elle s’était mise à se déhancher au rythme de la musique. J’avais été complètement hypnotisé par ses mouvements à la fois sensuels et précis. Elle était totalement différente de moi et de gestes similaires à ceux d’une brique de chantier.
- Kara, il y a quelque chose que je dois t’avouer. À vrai dire, je ne sais pas vraiment danser, avais-je rétorqué.
- Ce n’est pas grave. Approche, je vais te montrer comment faire, avait-elle répondu.
Kara s’était placée derrière, s’était littéralement collée à moi, et m’avait attrapé par les hanches. À ce moment, j’avais senti quelque chose de dur faire pression sur mes fesses, mais j’avais mis cela sur le coup de la trop grande consommation d’alcool et de la ceinture de sa jupe.
- On risque d’attirer l’attention des gens dans cette position.
- Ne t’en fais pas pour eux. Concentre-toi sur moi et suis le mouvement, avait-elle murmuré au creux de mon oreille.
Kara avait été au contrôle de tous mes mouvements. Tandis que nous étions en train de bouger au rythme de la musique, elle avait frotté ses mains sur mon entrejambe et le reste de son corps contre le mien. Je m’étais alors dit que c’était sa façon particulière de danser et n’avais donc pas trop prêté attention à cela.
Au bout d’une dizaine de minutes, j’avais éprouvé quelques difficultés à me tenir droit et à penser correctement. L’énorme quantité d’alcool que j’avais eu à consommer quelques minutes auparavant avait commencé à faire effet. J’étais progressivement en train de perdre connaissance et l’envie de pisser avait commencé à se manifester.
- Je…je ne me sens pas bien. Il faut que j’aille aux toilettes.
- T’inquiète, je m’occupe de toi. Je sais exactement où elles sont.
Kara m’avait aidé à me diriger. Cependant, avant même que nous atteignions les toilettes, j’avais perdu connaissance.
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Tout était sombre, je n’avais aucune idée de l’endroit où je me trouvais, et j’avais très mal à la tête. À ce moment, je m’étais dit que j’avais peut-être bu un peu trop. De plus, j’avais senti quelque chose dans ma bouche, quelque chose de gros et de dur. Comme précédemment, je m’étais dit que je devais surement rêver, que c’était une des conséquences de ma consommation excessive d’alcool. Cependant, pour un rêve, les sensations qu’il m’avait procurées étaient beaucoup trop réelles. J’avais donc décidé d’ouvrir les yeux pour voir s’il s’agissait vraiment d’un rêve.
- Qu’est-ce que… ?
La toute première chose que j’avais vue en ouvrant les yeux était une grosse bite noire. Celle-ci était en train de faire des mouvements de va-et-vient dans ma bouche. Putain ! Mais que se passait-il ? À qui appartenait ce pénis qui s’était frayé un chemin dans ma bouche ? Lorsque j’avais levé mes yeux, j’avais découvert à qui cette chose appartenait.
- Kara ! C’est quoi le…, avais-je essayé de prononcer avant que le pénis s’enfonce à nouveau dans ma gorge.
J’étais complètement perdu. Comment et pourquoi Kara avait une bite ? Que se passait-il, bon sang ? Je l’avais soudainement repoussée et lui avais demandé de quoi il en retournait. Elle m’avait alors répondu que je ne devais pas m’arrêter maintenant, qu’elle était sur le point d’arriver à la partie qui lui plaisait le plus. Kara avait alors placé sa main sur ma tête et avait ensuite approché sa bite de ma bouche.
- Ouvre-la grandement pour moi, bébé, m’avait-elle dit.
J’avais bien évidemment refusé et maintenu ma bouche fermée, ce qui ne lui avait pas plu. Elle avait alors pince mes narines, m’empêchant ainsi de respirer. Quelques secondes plus tard, le manque d’air se faisant ressentir, j’avais fini par l’ouvrir.
- Je t’ai dit d’ouvrir la bouche, pute ! s’était-elle exclamée en l’enfonçant de nouveau dans ma cavité buccale.
Elle avait pris énormément de plaisir tandis que sa bite s’était insérée de plus en plus dans ma gorge. Mon visage avait fini par se retrouver littéralement collé à son pubis. Comme précédemment, j’avais essayé de la repousser, mais Kara m’avait fermement tenu et m’avait ramené à chaque fois vers elle, insérant au passage son pénis plus profondément. Elle était forte, très forte. J’étais littéralement utilisé comme un sextoy par cette femme et il n’y avait rien que j’aurais été en mesure de faire pour l’en empêcher.
De nombreuses minutes s’étaient écoulées et les mouvements de va-et-vient de Kara étaient devenus de plus en plus intenses. Pendant ce temps, j’avais pensé que tout ceci n’avait été qu’un très mauvais rêve, que je me serais réveillé d’une minute à l’autre. Malheureusement, c’était la réalité. Kara avait bel et bien été en train d’enfoncer sa grosse et longue bite noire dans ma bouche.
À un moment, j’avais arrêté de lui résister. J’avais nié la réalité des faits et m’étais dit que cela avait été à cause de ma consommation excessive d’alcool que j’avais commencé à apprécier ce qu’elle avait été en train de me faire. Soudainement, j’avais senti sa grosse bite gonfler davantage, ce qui m’avait fait comprendre qu’elle était sur le point de jouir. J’avais donc décidé de rester immobile et d’attendre que son sperme remplisse ma bouche.
Quelques instants plus tard, Kara, qui avait mis ses deux mains sur ma tête entre-temps, avait resserré son étreinte et déversé sa semence dans ma bouche. J’avais alors senti le liquide chaud et visqueux sortir de son pénis. Parce que ce dernier s’était littéralement trouvé au fond de ma gorge en ce moment, j’avais été contraint de tout avaler jusqu’à la toute dernière goutte. Alors qu’elle avait retiré sa bite, j’avais une fois de plus perdu connaissance.
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Une fois de plus, tout avait été noir. Brusquement, j’avais senti quelque chose, quelque chose faisant pression contre mon trou du cul, quelque chose essayant de me pénétrer, quelque chose devenant de plus en plus gros à l’intérieur de moi. Lorsque la douleur était devenue insupportable, j’avais repris connaissance. Alors que je m’étais retourné, j’avais constaté avec horreur qu’une bite ; la grosse et longue bite noire de Kara ; se frayait un chemin en moi. J’avais alors tenté de fuir, mais elle m’avait fermement saisi au niveau des hanches et m’avait ramené vers elle.
La tête du gros et long pénis de Kara était en train de pousser fortement contre la petite ouverture de mon trou du cul, le forçant ainsi à s’ouvrir davantage et à accepter le reste. Parce que j’avais décidé de mentir à Sarah et à tout le monde, je m’étais retrouvé dans cette situation où je me faisais sodomiser dans les toilettes du Macumba. Malheureusement pour moi, la musique extérieure couvrait mes hurlements de douleur, personne n’allait donc me venir en aide. J’étais coincé avec Kara.
Cela ne pouvait pas se passer ainsi. Il fallait que je l’arrête à tout prix sinon je savais que je ne sortirais pas intact de cette désagréable expérience.
- Kara, s’il te plait…, essayai-je de dire avant qu’un nouveau pic de douleur vienne brusquement m’interrompre.
- Quoi, s’il te plait ? répondit-elle en enfonçant un peu plus sa bite.
Je pouvais clairement sentir le sarcasme dans ses propos. Elle appréciait littéralement le fait que j’ai autant mal. Je lui demandai ensuite d’arrêter.
- Arrêter quoi ? dit-elle par la suite.
Alors qu’une assez grosse partie de son pénis se trouvait déjà en moi, Kara enfonça brusquement le reste. La violence de son geste me fit hurler tel un chien battu. Elle était désormais totalement en moi. Son énorme et grosse bite se trouvait complètement à l'intérieur de mon cul et tremblait doucement.
Tandis que tout mon corps essayait de gérer cette atroce douleur, la demoiselle tortillait sa bite en cercle dans mon cul, ce qui était une très désagréable sensation.
- Merde ! T’es putain de serrer. Je ne me souviens pas de la dernière fois que j’ai baisé un cul aussi serré, me dit-elle par la suite.
Peu importe que mon cul ait été serré ou pas, tout ce qui m’importait à ce moment était qu’elle retire son pénis. Malheureusement, elle n’était pas près de le faire.
De la même façon qu’elle avait inséré sa bite dans mon cul, Kara se mit à faire des mouvements de va-et-vient. C’était extrêmement douloureux. Pendant de très nombreuses minutes, la bonne femme martelait mon cul comme s’il s’agissait du tout premier qu’elle baisait. Celui-ci s’étirait alors, tressaillait, et brulait. J’aurais dû tout faire pour l’arrêter, mais… Au bout d’une dizaine de minutes, alors que j’étais violemment plaqué contre la cuvette des toilettes, quelque chose commençait à naitre en moi, un sentiment que je n’avais jamais éprouvé auparavant.
Kara faisait sortir sa bite jusqu’à ce qu’il ne reste que son gland à l’intérieur de moi, puis enfonçait de nouveau le tout avec la même force qu’à ses débuts. Après près d’une vingtaine de minutes à me faire sauvagement baisé par elle, mes cris de douleur s’étaient progressivement transformés en gémissements. Je savais que ce n’était pas bien d’apprécier ce genre de choses, mais… peut-être qu’au fond de mon cœur, je ne voulais pas qu’elle s’arrête. Peut-être que je voulais qu’elle continue à m’enculer comme elle le faisait avec sa puissante bite. Je voulais qu’elle me baise et ce peu importe ce qu’il advienne.
Même si Kara avait un pénis avec lequel elle allait me baiser encore et encore, cela n’avait pas d’importance. Du moment que je pouvais rester avec elle, je m’en foutais qu’elle me baisse, viole, sodomise, fasse de moi sa chienne matin, midi, et soir. De toute façon, avec une bite aussi petite que la mienne, il n’y avait aucune chance que je puisse faire tout ça à une fille un jour.
Peut-être était-ce à cause de toutes ces pensées, mais je finis par me laisser aller et me soumettre à Kara. Ses mouvements de va-et-vient ne me faisaient plus mal, mais me procuraient désormais un certain plaisir.
Après une autre période de temps assez longue, je sentis la bite de Kara gonfler de nouveau. Je compris alors qu’elle était sur le point d’éjaculer.
- Putain ! s’exclama-t-elle au moment où elle le fit.
Je sentis alors son sperme chaud et visqueux s’éparpiller au plus profond de moi. Jamais de ma vie je n’aurais imaginé vivre une telle expérience. C’était indescriptible.
Tandis que nous respirions fortement tous les deux, ce fut avec un son de ventouse que Kara retira finalement son pénis de mon cul.
- C’était putain de bien ! Tu sais, Harold…
- Kelly. Mon vrai nom est Kelly, l’interrompis-je brusquement.
- Tu sais, Kelly, tu es né pour être un cul qu’on pénètre, le cul que je vais pénétrer. Tu n’as peut-être pas un matériel efficace, mais ton cul est le meilleur…
Je ne savais pas si c’était un compliment ou pas, mais je pris cela comme tel.
- Je suis parfaite pour toi, ne trouves-tu pas ? dit-elle.
Il était vrai qu’avec elle dans ma vie, les choses seraient complètement différentes. Je lui répondis alors que j’accepterais sa proposition à une seule et unique condition.
- Laquelle ? questionna-t-elle, curieuse.
- Je veux que tu me baises encore, déclarai-je.
Kara sourit, puis me dit que je savais comment parler à une femme. Sans se faire prier, elle me tendit sa main que je pris par la suite, et m’aida à me redresser. Elle s’assit ensuite sur la cuvette des toilettes et m’invita à la sucer de nouveau. Cette fois-ci, je le fis avec plaisir. Je m’agenouillai donc devant elle et insérai sa grosse bite dans ma bouche. Au bout de quelques minutes, alors que son pénis était désormais très dur, elle me demanda de m’assoir dessus, ce que je fis également avec plaisir. Contrairement à la précédente fois, c’était moins douloureux et beaucoup plus plaisant.
- Kelly, demain tu vas déménager et venir habiter chez moi. Comme ça on pourra baiser comme des lapins tous les jours, murmura-t-elle sensuellement au creux de mon oreille.
- O…oui, Kara ! lui dis-je tandis que j’expérimentais mon tout premier orgasme anal.
Et ce fut ainsi que j’ai rencontré ma petite-amie, Kara.
Fin !!!
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