Le cours de mathématiques
Professeur de mathématiques à l’université expérimentée (c’est mieux que de dire 50 ans non ?) donne cours de soutien en mathématiques à domicile.
Voilà l’annonce est publiée. Elle se lance. Ses enfants sont grands. Son mari en déplacements réels ou fictifs avec une ou plusieurs amantes autant occuper son temps à gagner de l’argent.
L’annonce est à peine publiée qu’elle a déjà trois demandes d’un jeune étudiant, d’une maman pour sa fille de 12 ans et d’un papa pour son fils de 18 ans. Elle répond par l’affirmative étant donné que tous ses programmes sont prêts pour tous les âges.
Mercredi prochain.
9 heures à 11 heures chez la petite Léa que le collège peine à maintenir au bon niveau de mathématiques tellement la petite a décroché. Tout se passe bien pour ce premier cours à domicile.
Le second cours a lieu chez elle à midi. Le papa du jeune majeur le dépose comme prévu. Une atmosphère étrange se dégage entre les trois protagonistes dès que les deux hommes passent la porte d’entrée. Elle ne sait qualifier ce qui se passe mais elle comprend vite quand le papa lui agrippe les poignets tout en disant à son fils « Vas-y fils pelote-la ! ».
Elle ne panique pas mais réalise sa bêtise à avoir envisagé faire cours chez elle et en même temps elle apprécie les mains de ces deux hommes sur elle … ne serait-ce pas parce que son mari ne l’a plus touchée depuis des années ? Ou juste parce qu’elle s’est toujours dit qu’en cas de viol mieux valait être consentante pour désarçonner son agresseur. Mais elle ne se sent pas totalement agressée non plus … elle pressent un bon moment probablement à dépuceler un jeuneot. Il est majeur et sous surveillance parentale. Elle ne risque rien sauf à prendre et donner du plaisir. Elle se laisse faire et le jeune palpe ses seins avec des mains moites qu’elle ressent à travers son chemisier. Le regard du père l’attire de ses yeux bleus transparents… elle ouvre la bouche comme pour aimanter ses lèvres. Il ne dit pas non et semble encore plus bandé que son fils.
La bouche libérée, elle leur propose de plutôt gagner la chambre … ils la suivent dans les escaliers langue pendante, sexe montant à observer ce fessier non dissimulé sous sa jupe cintrée.
Elle ne sait lequel choisir une fois la chambre gagnée. Finalement chacune de ses mains se pose sur leur gland couvert d’un jean. Le fiston s’empresse de tâter ses seins (100F ça fait rêver !) ; le père est plus à palper du fessier.
Les vêtements tombent un à un pendant que Monsieur demande si Madame veut bien sucer le petit. Une fellation ? Mais depuis quand n’a t elle pas fait cela ? Trop lointain souvenir elle espère juste ne pas avoir perdu la main …
Visiblement les deux réactions masculines témoignent d’une belle performance de la professeur de mathématiques : le lycéen perle à souhait sous sa langue et le papa aussi à la vue de cette scène inattendue.
Le lit les appelle : elle s’allonge pendant que le jeune homme cherche toujours la douceur de sa bouche pour maintenir son érection pendant que son père lui montre comment monter une dame à faire jouir. Sa queue raide la pénètre d’une violence inouïe qu’elle n’a pas sentie venir étant occupée avec sa bouche. Un cri s’échappe tellement le plaisir est intense : deux hommes pour elle … même ses fantasmes n’allaient pas si loin. Elle ne perd pas de vue le sexe du jeune puceau qu’elle masturbe avec délectation et plaisir tout en profitant du sexe enfoui qui lui procure orgasme sur orgasme d’autant que le papa est particulièrement monté.
Il sort lentement en pressant son fils de venir la lécher. Il semble désarçonné le pauvre garçon ne sachant trop comment faire. Son guide paternel lui donne alors un cours de cunnilingus laissant l’enseignante jambes relevées mouiller la housse de couette. Le petit bande encore à l’idée de goûter au fruit autorisé au vu du manque total de réticence de la dame. Il ôte sa hampe de cette bouche voluptueuse afin de diriger la sienne vers cet abricot délaissé mais humidifié par son père.
Lui remplace son fils : le mélange des deux sexes procure une idée folle à la prof. Pourvu qu’elle ait les deux en elle avant la fin du cours. Le jeune homme est moins habile que son père mais pas pour autant déplaisant. Son papa l’observe avant de glisser un doigt humide sur le clitoris de leur belle qui ne peut retenir un cri perçant le plaisir. Il indique au fiston de coulisser deux doigts dans la cavité vaginale et le résultat est jouissif pour tous. Ce temps semble suspendu jusqu’à ce que le père cherche à entrer un troisième doigt dans la dame … elle n’en peut plus et se pâme de plaisirs et désirs. Il laisse la priorité au garçon d’engouffrer son sexe. La surprise du plaisir se lit sur son visage il a le tempo dans la peau. Les va et vient s’accélèrent mais le paternel en veut aussi. Il interrompt son garçon plein de compréhension et compassion afin lui-même d’enfourner sa queue dans la professeur jusque là mal léchée. Il la laisse hurler et gémir tout en adaptant son rythme au sien. L’atmosphère est pleine d’appétits. Le rythme s’accélère alors que le fils cherche à téter des seins durs comme du béton. Les râles du père laissent peu de soupçon sur son évacuation spermesque mais madame n’a pas l’air d’être en phase et le jeune apprenti prend la relève pour jouir à son tour et laisser la prof monter encore plus. Il fait chaud, ils ont chaud…
Rêve ou réalité ? Réalité ou fantasme ? À faire ou à refaire ?
Prochaine leçon : la vitesse spermesque en sodomie.
jFA
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