« Fruit d’une relation étonnante

Entre deux pères

Objet d’une fascination déviante

Vendue par sa propre mère.

Enchaînée à un endroit.

Sans foi ni loi

Emprisonnée sans choix

Sans foi ni loi. »

Songer à m’étrangler

N’est guère une vague idée

Songer à me couper

La gorge n’est pas une solution dépravée.

Peut-être alors qu’un sentiment de liberté

Me tendra la main tavelée

Par le sang coulé

De ces années à combattre ces âmes tuées.

« Fruit d’une relation puissante

Entre deux pères

Objet d’une cruauté lassante

Vendue par sa propre mère.

Enchaînée à l’humain

Sans foi ni loi

Obligée de se lever chaque matin

Sans droit ni choix. »

Penser aux pires situations

D’année en année

De songer à ma propre destruction

Penser à me tuer.

Solitude pesante

Fredonnant une mélodie apaisante

Immortalité puissante

Fredonnant une mélodie étonnante.

Mourir n’est pas un droit

Sans foi ni loi

Souffrir est un choix

Jamais de moi.