Chapitre 1
Il se trouve dans les grandes villes occidentales certaines personnes dont la vue inspire la jalousie que certains ont pour ceux qui ont réussi ce qu'ils n'ont eux même pas accompli.
Ils se tiennent droit arborant dans leur visage et leur habit une confiance pressée. Leurs pas sont grands et rapides, leurs chaussures faisant sonner leur claquement caractéristique contre les pavés, ils avancent avec détermination.
Leur destination ? Cela dépend. Pour Raphaël, c'est souvent chez ses courtiers.
Avant, c'était vers ses biens que ses pas le dirigeaient. Il achetait un studio à l'aide d'un prêt puis faisait habilement sa promotion auprès des potentiels clients. Il ne trouvait ainsi aucune difficulté à trouver des locataires. Achetant régulièrement de nouveaux biens, il se constitua un certain capital, qu'il mit à profit pour acheter des appartements puis des immeubles.
À cette étape du développement de son entreprise, il avait assez d'argent pour employer des agents immobiliers. Ainsi son travail se réduisait a évaluer le potentiel de chaque bien qu'il comptait acheter, d'observer l'évolution du marché pour savoir lequel de ses biens il valait mieux vendre et de faire jouer le réseau notamment de courtiers qu'il s'était constitué.
Ce n'était pas sa seule activité. Il possédait également sa propre ligne de vêtements féminins et faisait de l'import-export. A partir du moment où il dût travailler avec plusieurs devises (dollars, euros...), cela devint nécessaire d'entrer en relation avec plusieurs courtiers .
Raphaël apprit alors beaucoup de choses sur ce métier. D'abord le marché des changes (Forex) est un marché financier où se vendent les devises (dollars, livre sterling, euros...) , pour faire simple, un marché où les gens échangent leur monnaie. Par exemple, une personne vend 10€ et veut des dollars. Elle pense que les dollars vaudront plus que les euros.
Si il pense l'inverse, que les euros vaudront plus que les dollars alors il devrais lui acheter les 10€ pour plus cher qu'ils ne valent aujourd'hui.
Il misera alors sur leur prix demain, de même que la personne qui les a vendus misera sur le prix des dollars demain.
Ainsi il faut toujours acheter de la devise que l'on pense qui va monter a quelqun qui pense qu'elle va descendre.
Si une organisation veut effectuer des transactions officielles, il lui faudra passer par le Forex.
Plusieurs des banques qui échangent les devises se voient attribuer des missions pour le compte de clients dans des situations difficiles. C'est ici que les courtiers interviennent. Ce sont des prêtes noms, c'est a dire des personnes qui agissent en le nom de clients qui souhaitent rester anonymes, par lesquells transitent ces énormes flux de capitaux. La réglementation internationale leur permet certains... "Montages", certaines magouilles qui leur permet de faire croire que tout est juste, et dans les clous. Ainsi, les organisations suppisées superviser tout cela et maintenir l'ordre ne voient rien.
Par exemple, il y a des gens, en occident qui possèdent des comptes dans d'autres pays qui les fait ne pas payer les impôts dans leur pays de résidence, ce qui est parfaitement légal. Ce genre de "montages" faisait partie du métier de courtier.
Il était donc en relation avec beaucoup de courtiers. Dont Brett, un homme d'âge mûr qui a une grande expérience dans le monde de l'entreprise et de la finance.
Raphaël entra dans son cabinet. Il commença par des mondanités mais Brett le coupa court :
-Je t'ai beaucoup observé et tu es toujours occupé. Tu gagnes de l'argent, nous le savons bien. Mais quel est ton objectif ?
-Gagner un maximum d'argent.
- Dans ce cas arrête tous ce que tu fais, vend toutes tes sociétés, Raphaël, et lance toi dans la gestion d'argent et entre dans le monde de la finance.
Raphaël réfléchit puis répondit positivement.
-Je vais de former et t'introduire au réseau, mais, comme tu le sais ça a un prix, dit Brett en examinant l'expression du jeune entrepreneur. Je veux 10% de tes gains annuels.
Raphaël réfléchit quelques instants, puis répondit:
-C'est d'accord, ça me va très bien.
- Mais il y a une chose que tu dois savoir, ajouta le courtier d'un air grave. Si tu es incapable de mettre ta conscience au congélateur, et par congélateur j'entends -100°C et pas -18°C, alors ne le fais pas.
Raphaël éclata de rire. Cela ne lui semblait pas très difficile à faire. Il avait le sentiment de l'avoir déjà partiellement fait, par instinct de conservation.
Ainsi il se lança dans ce projet et commença petit à petit à se constituer une clientèle. Au cours de sa carrière, il s'enfonça plus profondément dans les réseaux et il remarqua que plus on montait dans la "hiérarchie", plus le cercle de personne était restreint. Ainsi, les plus grands flux d'argent du monde circulaient entre les mains d'une minorité.
Il découvrit le métier, et les "montages" qu'il fallait faire. Un de ses travaux par exemple fut au début du boycott d'un pays nommé Ytan.
Ce dernier n'avait plus le droit de vendre son énergie.
Sauf que, l'énergie, on a beau interdire sa vente ça ne change presque rien. Ça a juste forcé l'Ytan a faire des remises. Cette énergie a toujours été vendue en dodash, la monnaie de l'Ytan. Ainsi tous ces dodash devaient aller quelque part, mais où ?
Les gens ne pouvaient pas se présenter à la banque avec des dodash Ytaniens, car ce serait remarqué et interdit. Alors il faut quelqun pour porter le chapeau. Alors certains états ont recours aux courtiers. Raphaël fut appelé par l'un d'entre eux, l'Aria. Ils lui donnèrent rendez vous dans le sous sol d'une banque.
Il s'y présenta bien en avance. Il s'assit sur des sièges de la banque attendant qu'on vienne le chercher.
Une femme s'approcha de lui, un sourire faux plaqué sur le visage.
Elle lui dit quelques mots qu'il ne compris pas. La langue de ce pays lui était inconnue mais il devinait qu'elle lui demandait s'il avait besoin de son aide ou quelque chose de ce type. Elle ne pouvait pas être là personne qu'il attendait. Il l'aurait abordé en anglais, et outre ça, les gens de son milieu dégagent quelque chose de différent que cette bonne femme.
Au bout de quelques dizaines de minutes, un homme vint à sa rencontre. Il était petit et fin, bien peu imposant, mais dans ses yeux brillait une intelligence qui ferait se méfier même le plus fort des hommes.
Le banquier le conduisit à travers des couloirs blancs jusqu'à une porte derrière laquelle descendaient de sombres escaliers. Il s'étonna du contraste entre la technologie de couloirs blancs et le côté rustre de ces marches qui disparaissent trop vite dans un noir profond qui n'inspirait reine de bon à Raphaël. À croire qu'ils menaient aux Enfers. Mais quand ils y passèrent des néons s'allumèrent automatiquement. Quand la banquier ouvrit la porte, Raphaël fut en quelques sorte soulagé de ce qu'il vit. Pas de feu ne l'attendait. Juste plein de camions dans un sous sol.
Toujours sans un mot, le banquier s'avança et ouvrit l'arrière de cinq camion de cinq compagnies de transport différentes. Ils étaient rempli de dodash Ytaniens.
- Il faut que vous en fassiez quelque chose, les transformer en livre sterling, ou en euros pour que tout cet argent puisse être remis en circulation, dit enfin l'homme.
C'était la mission que Raphaël et ses collègues avaient reçue.
Il fallait trouver un moyen de réintroduire tous ces dodash dans le circuit pour que l'Ytan puisse continuer à négocier librement son énergie.
Ceux qui achetaient l'énergie de l'Ytan étaient ceux qui avaient ordonné le boycott en premier lieu.
" En fin de compte ils sont tous amis et du même côté, pensa Raphaël. Tout le monde s'imagine qu'ils sont opposés, qu'il y a les méchants d'un côté et les gentils de l'autre mais a ce niveau ils travaillent tous ensemble "
Ces découvertes menèrent le jeune homme a une nouvelle façon de voir le monde. Il voyait que les gens des niveaux supérieurs s'amusaient de ceux d'en bas qui se haissaient alors que leurs chefs sont amis. Cependant les boss doivent respecter les règles, qu'ils ont eux même créés, pour garder la majorité ignorante. Donc il faut jouer selon ses propres règles.
Ce qu'il faut alors faire, c'est d'être certain que personne ne puisse remonter jusqu'à vous. Si une erreur était commise, elle serait detectée, si elle est détectée alors une personne ignorante serait intervenue.
Pour occuper une telle position il fallait avoir des nerfs en acier, et Raphaël en était doté. Pour arriver au plus proche du sommet, il fallait avoir des compétences qui le faisaient se détacher des autres, comme la compétence de rassembler les informations de manière à obtenir une vision globale, tout cela devait être pris en compte sur le terrain. Raphaël sortait du lot et avait en plus une approche novatrice dans la résolution des problèmes. Il trouvait cela amusant de créer des solutions, de toujours avoir une longueur d'avance, d'être plus malin que les autres, tout en respectant les règles , il se jouait d'eux, tout en faisant tout correspondre à la perfection.
Raphaël adorait ce jeu. C'était si grisant, de se sentir au dessus, d'avoir la sensation de tout contrôler !
Mais d'un autre côté, il en découvrait aussi toujours plus, sur le monde réel. Ses clients lui en apprenaient beaucoup. Il était amené à négocier avec de banques, des multinationales, des états, des services secrets, des organisations terroristes. Il voyait ainsi les connexions entre eux, il était au milieu et voyait les trajets de l'argent entre chacun des acteurs.
Dans une de ses missions, lui et ses collègues avaient fait une vente massive d'une devise, le luh. Sa valeur a donc baissé, faisant faire faillite a une entreprise qui en dépendait.
Quelques temps plus tard, un de ses collègues le rejoint dans une des salles de négociation où il discutait avec des amis et lui dit : - Raph, tu te rappelles de cette fois où on a vendu plein de luh et où ça avait fait baisser sa valeur ? Une entreprise avait faillite.
- Oui, je m'en rappelle
- Le patron s'est suicidé, laissant une famille derrière lui ! pouffa-t-il.
Raphaël éclata de rire avec ses amis et collègues. Il était galvanisé par son sentiment de toute puissance, il voyait les gens comme de la marchandise, des déchets négligables. La Terre pouvait bien être brûlée, tant qu'il accomplissait ses objectifs et faisait du profit, cela lui était égal.
La plupart de ses collaborateurs ont sombré dans l'alcool et les drogues mais lui non.
Après être entré dans les cercles profonds il dit signer un contrat. Il fut convoqué. Il alla a l'heure indiquée à l'endroit indiqué. Il patienta devant de grandes portes de bois. Elles étaient d'une couleur profonde et de des lignes sinueuses étaient gravés en une magnifique arabesque dessus. Sa contemplation de ces motifs fut interrompue par l'ouverture des portes. Un homme d'âge mûr, environ quarante ans, à la bedaine généreuse, en costume gris lui ouvrit la porte. Il lui font signe de le suivre et s'enfonça dans la pièce sombre. Raphaël lui emboîta le pas. Il se trouva dans une pièce, avec les boss des plus importantes organisations avec lesquelles il avait travaillé ainsi que beaucoup de ses collaborateurs.
- Aujourd'hui vous allez signer ce contrat, dit un chef de multinationale que Raphaël connaissait bien pour avoir été de nombreuses fois son prête-nom.
Sur le contrat il était stipulé que les courtiers qui le signeraient seraient tenus de garder secret le nom des organisations et entreprises avec lesquelles il travaillait.
Il accepta et fut invité dans plusieurs fêtes avec ses collègues et ses clients.
La plupart des personnes de ces cercles n'obéissent pas aux religions dominantes, la plupart sont lucifériens, c'est-à-dire qu'ils servent quelque chose d'immatériel qu'ils appellent Lucifer. Mais cela, Raphaël s'en moquait ! Pour lui ce n'était que des clients. Lors d'une des fêtes organisés par ses clients il fut invité à l'une des églises de Satan. Il marcha avec eux et assista à leur messe. Il s'assit sur un banc avec des associés et les clients qui l'avaient invité et ils burent des liqueurs et des femmes nue vinrent, danser. Cela le faisait rire et il s'amusait beaucoup avec ses clients !
Un jour, il fut invité cet fois a un rituel auquel il n'avait jamais assisté, un sacrifice. Il y alla, détendu comme a son habitude mais il vit quelque chose qui le choqua a tout jamais. Des enfants... Des enfants étaient torturés et pénétrés par des hommes adultes... Par ses clients, qui, souriants se tournèrent vers lui.
- Viens ! Fais le, toi aussi !
***
Bon, tout le monde, je suis désolée si c'est pas fou, c'est mon tout premier roman, et aussi, je tire mon inspiration de la finance pour les courtiers et tout ça mais je vous rassure, c'est de la fiction pour le reste ! Je me disais juste que ce serait plus horrible si ça ressemblait au monde réel. Comme ça on peut mieux s'imaginer si c'est vrai...
Sinon les amis, critiquez de toute votre âme, je veux progresseeerrr !!Il se trouve dans les grandes villes occidentales certaines personnes dont la vue inspire la jalousie que certains ont pour ceux qui ont réussi ce qu'ils n'ont eux même pas accompli.
Ils se tiennent droit arborant dans leur visage et leur habit une confiance pressée. Leurs pas sont grands et rapides, leurs chaussures faisant sonner leur claquement caractéristique contre les pavés, ils avancent avec détermination.
Leur destination ? Cela dépend. Pour Raphaël, c'est souvent chez ses courtiers.
Avant, c'était vers ses biens que ses pas le dirigeaient. Il achetait un studio à l'aide d'un prêt puis faisait habilement sa promotion auprès des potentiels clients. Il ne trouvait ainsi aucune difficulté à trouver des locataires. Achetant régulièrement de nouveaux biens, il se constitua un certain capital, qu'il mit à profit pour acheter des appartements puis des immeubles.
À cette étape du développement de son entreprise, il avait assez d'argent pour employer des agents immobiliers. Ainsi son travail se réduisait a évaluer le potentiel de chaque bien qu'il comptait acheter, d'observer l'évolution du marché pour savoir lequel de ses biens il valait mieux vendre et de faire jouer le réseau notamment de courtiers qu'il s'était constitué.
Ce n'était pas sa seule activité. Il possédait également sa propre ligne de vêtements féminins et faisait de l'import-export. A partir du moment où il dût travailler avec plusieurs devises (dollars, euros...), cela devint nécessaire d'entrer en relation avec plusieurs courtiers .
Raphaël apprit alors beaucoup de choses sur ce métier. D'abord le marché des changes (Forex) est un marché financier où se vendent les devises (dollars, livre sterling, euros...) , pour faire simple, un marché où les gens échangent leur monnaie. Par exemple, une personne vend 10€ et veut des dollars. Elle pense que les dollars vaudront plus que les euros.
Si il pense l'inverse, que les euros vaudront plus que les dollars alors il devrais lui acheter les 10€ pour plus cher qu'ils ne valent aujourd'hui.
Il misera alors sur leur prix demain, de même que la personne qui les a vendus misera sur le prix des dollars demain.
Ainsi il faut toujours acheter de la devise que l'on pense qui va monter a quelqun qui pense qu'elle va descendre.
Si une organisation veut effectuer des transactions officielles, il lui faudra passer par le Forex.
Plusieurs des banques qui échangent les devises se voient attribuer des missions pour le compte de clients dans des situations difficiles. C'est ici que les courtiers interviennent. Ce sont des prêtes noms, c'est a dire des personnes qui agissent en le nom de clients qui souhaitent rester anonymes, par lesquells transitent ces énormes flux de capitaux. La réglementation internationale leur permet certains... "Montages", certaines magouilles qui leur permet de faire croire que tout est juste, et dans les clous. Ainsi, les organisations suppisées superviser tout cela et maintenir l'ordre ne voient rien.
Par exemple, il y a des gens, en occident qui possèdent des comptes dans d'autres pays qui les fait ne pas payer les impôts dans leur pays de résidence, ce qui est parfaitement légal. Ce genre de "montages" faisait partie du métier de courtier.
Il était donc en relation avec beaucoup de courtiers. Dont Brett, un homme d'âge mûr qui a une grande expérience dans le monde de l'entreprise et de la finance.
Raphaël entra dans son cabinet. Il commença par des mondanités mais Brett le coupa court :
-Je t'ai beaucoup observé et tu es toujours occupé. Tu gagnes de l'argent, nous le savons bien. Mais quel est ton objectif ?
-Gagner un maximum d'argent.
- Dans ce cas arrête tous ce que tu fais, vend toutes tes sociétés, Raphaël, et lance toi dans la gestion d'argent et entre dans le monde de la finance.
Raphaël réfléchit puis répondit positivement.
-Je vais de former et t'introduire au réseau, mais, comme tu le sais ça a un prix, dit Brett en examinant l'expression du jeune entrepreneur. Je veux 10% de tes gains annuels.
Raphaël réfléchit quelques instants, puis répondit:
-C'est d'accord, ça me va très bien.
- Mais il y a une chose que tu dois savoir, ajouta le courtier d'un air grave. Si tu es incapable de mettre ta conscience au congélateur, et par congélateur j'entends -100°C et pas -18°C, alors ne le fais pas.
Raphaël éclata de rire. Cela ne lui semblait pas très difficile à faire. Il avait le sentiment de l'avoir déjà partiellement fait, par instinct de conservation.
Ainsi il se lança dans ce projet et commença petit à petit à se constituer une clientèle. Au cours de sa carrière, il s'enfonça plus profondément dans les réseaux et il remarqua que plus on montait dans la "hiérarchie", plus le cercle de personne était restreint. Ainsi, les plus grands flux d'argent du monde circulaient entre les mains d'une minorité.
Il découvrit le métier, et les "montages" qu'il fallait faire. Un de ses travaux par exemple fut au début du boycott d'un pays nommé Ytan.
Ce dernier n'avait plus le droit de vendre son énergie.
Sauf que, l'énergie, on a beau interdire sa vente ça ne change presque rien. Ça a juste forcé l'Ytan a faire des remises. Cette énergie a toujours été vendue en dodash, la monnaie de l'Ytan. Ainsi tous ces dodash devaient aller quelque part, mais où ?
Les gens ne pouvaient pas se présenter à la banque avec des dodash Ytaniens, car ce serait remarqué et interdit. Alors il faut quelqun pour porter le chapeau. Alors certains états ont recours aux courtiers. Raphaël fut appelé par l'un d'entre eux, l'Aria. Ils lui donnèrent rendez vous dans le sous sol d'une banque.
Il s'y présenta bien en avance. Il s'assit sur des sièges de la banque attendant qu'on vienne le chercher.
Une femme s'approcha de lui, un sourire faux plaqué sur le visage.
Elle lui dit quelques mots qu'il ne compris pas. La langue de ce pays lui était inconnue mais il devinait qu'elle lui demandait s'il avait besoin de son aide ou quelque chose de ce type. Elle ne pouvait pas être là personne qu'il attendait. Il l'aurait abordé en anglais, et outre ça, les gens de son milieu dégagent quelque chose de différent que cette bonne femme.
Au bout de quelques dizaines de minutes, un homme vint à sa rencontre. Il était petit et fin, bien peu imposant, mais dans ses yeux brillait une intelligence qui ferait se méfier même le plus fort des hommes.
Le banquier le conduisit à travers des couloirs blancs jusqu'à une porte derrière laquelle descendaient de sombres escaliers. Il s'étonna du contraste entre la technologie de couloirs blancs et le côté rustre de ces marches qui disparaissent trop vite dans un noir profond qui n'inspirait reine de bon à Raphaël. À croire qu'ils menaient aux Enfers. Mais quand ils y passèrent des néons s'allumèrent automatiquement. Quand la banquier ouvrit la porte, Raphaël fut en quelques sorte soulagé de ce qu'il vit. Pas de feu ne l'attendait. Juste plein de camions dans un sous sol.
Toujours sans un mot, le banquier s'avança et ouvrit l'arrière de cinq camion de cinq compagnies de transport différentes. Ils étaient rempli de dodash Ytaniens.
- Il faut que vous en fassiez quelque chose, les transformer en livre sterling, ou en euros pour que tout cet argent puisse être remis en circulation, dit enfin l'homme.
C'était la mission que Raphaël et ses collègues avaient reçue.
Il fallait trouver un moyen de réintroduire tous ces dodash dans le circuit pour que l'Ytan puisse continuer à négocier librement son énergie.
Ceux qui achetaient l'énergie de l'Ytan étaient ceux qui avaient ordonné le boycott en premier lieu.
" En fin de compte ils sont tous amis et du même côté, pensa Raphaël. Tout le monde s'imagine qu'ils sont opposés, qu'il y a les méchants d'un côté et les gentils de l'autre mais a ce niveau ils travaillent tous ensemble "
Ces découvertes menèrent le jeune homme a une nouvelle façon de voir le monde. Il voyait que les gens des niveaux supérieurs s'amusaient de ceux d'en bas qui se haissaient alors que leurs chefs sont amis. Cependant les boss doivent respecter les règles, qu'ils ont eux même créés, pour garder la majorité ignorante. Donc il faut jouer selon ses propres règles.
Ce qu'il faut alors faire, c'est d'être certain que personne ne puisse remonter jusqu'à vous. Si une erreur était commise, elle serait detectée, si elle est détectée alors une personne ignorante serait intervenue.
Pour occuper une telle position il fallait avoir des nerfs en acier, et Raphaël en était doté. Pour arriver au plus proche du sommet, il fallait avoir des compétences qui le faisaient se détacher des autres, comme la compétence de rassembler les informations de manière à obtenir une vision globale, tout cela devait être pris en compte sur le terrain. Raphaël sortait du lot et avait en plus une approche novatrice dans la résolution des problèmes. Il trouvait cela amusant de créer des solutions, de toujours avoir une longueur d'avance, d'être plus malin que les autres, tout en respectant les règles , il se jouait d'eux, tout en faisant tout correspondre à la perfection.
Raphaël adorait ce jeu. C'était si grisant, de se sentir au dessus, d'avoir la sensation de tout contrôler !
Mais d'un autre côté, il en découvrait aussi toujours plus, sur le monde réel. Ses clients lui en apprenaient beaucoup. Il était amené à négocier avec de banques, des multinationales, des états, des services secrets, des organisations terroristes. Il voyait ainsi les connexions entre eux, il était au milieu et voyait les trajets de l'argent entre chacun des acteurs.
Dans une de ses missions, lui et ses collègues avaient fait une vente massive d'une devise, le luh. Sa valeur a donc baissé, faisant faire faillite a une entreprise qui en dépendait.
Quelques temps plus tard, un de ses collègues le rejoint dans une des salles de négociation où il discutait avec des amis et lui dit : - Raph, tu te rappelles de cette fois où on a vendu plein de luh et où ça avait fait baisser sa valeur ? Une entreprise avait faillite.
- Oui, je m'en rappelle
- Le patron s'est suicidé, laissant une famille derrière lui ! pouffa-t-il.
Raphaël éclata de rire avec ses amis et collègues. Il était galvanisé par son sentiment de toute puissance, il voyait les gens comme de la marchandise, des déchets négligables. La Terre pouvait bien être brûlée, tant qu'il accomplissait ses objectifs et faisait du profit, cela lui était égal.
La plupart de ses collaborateurs ont sombré dans l'alcool et les drogues mais lui non.
Après être entré dans les cercles profonds il dit signer un contrat. Il fut convoqué. Il alla a l'heure indiquée à l'endroit indiqué. Il patienta devant de grandes portes de bois. Elles étaient d'une couleur profonde et de des lignes sinueuses étaient gravés en une magnifique arabesque dessus. Sa contemplation de ces motifs fut interrompue par l'ouverture des portes. Un homme d'âge mûr, environ quarante ans, à la bedaine généreuse, en costume gris lui ouvrit la porte. Il lui font signe de le suivre et s'enfonça dans la pièce sombre. Raphaël lui emboîta le pas. Il se trouva dans une pièce, avec les boss des plus importantes organisations avec lesquelles il avait travaillé ainsi que beaucoup de ses collaborateurs.
- Aujourd'hui vous allez signer ce contrat, dit un chef de multinationale que Raphaël connaissait bien pour avoir été de nombreuses fois son prête-nom.
Sur le contrat il était stipulé que les courtiers qui le signeraient seraient tenus de garder secret le nom des organisations et entreprises avec lesquelles il travaillait.
Il accepta et fut invité dans plusieurs fêtes avec ses collègues et ses clients.
La plupart des personnes de ces cercles n'obéissent pas aux religions dominantes, la plupart sont lucifériens, c'est-à-dire qu'ils servent quelque chose d'immatériel qu'ils appellent Lucifer. Mais cela, Raphaël s'en moquait ! Pour lui ce n'était que des clients. Lors d'une des fêtes organisés par se il fut invité à l'une des églises de Satan. Il marcha avec eux et assista à leur messe. Il s'assit sur un banc avec des associés et les clients qui l'avaient invité et ils burent des liqueurs et des femmes nue vinrent, danser. Cela le faisait rire et il s'amusait beaucoup avec ses clients !
Un jour, il fut invité cet fois a un rituel auquel il n'avait jamais assisté, un sacrifice. Il y alla, détendu comme a son habitude mais il vit quelque chose qui le choqua a tout jamais. Des enfants... Des enfants étaient torturés et pénétrés par des hommes adultes... Par ses clients, qui, souriants se tournèrent vers lui.
- Viens ! Fais le, toi aussi !
***
Bon, tout le monde, je suis désolée si c'est pas fou, c'est mon tout premier roman, et aussi, je tire mon inspiration de la finance pour les courtiers et tout ça mais je vous rassure, c'est de la fiction pour le reste ! Je me disais juste que ce serait plus horrible si ça ressemblait au monde réel. Comme ça on peut mieux s'imaginer si c'est vrai...
Sinon les amis, critiquez de toute votre âme, je veux progresseeerrr !!Il se trouve dans les grandes villes occidentales certaines personnes dont la vue inspire la jalousie que certains ont pour ceux qui ont réussi ce qu'ils n'ont eux même pas accompli.
Ils se tiennent droit arborant dans leur visage et leur habit une confiance pressée. Leurs pas sont grands et rapides, leurs chaussures faisant sonner leur claquement caractéristique contre les pavés, ils avancent avec détermination.
Leur destination ? Cela dépend. Pour Raphaël, c'est souvent chez ses courtiers.
Avant, c'était vers ses biens que ses pas le dirigeaient. Il achetait un studio à l'aide d'un prêt puis faisait habilement sa promotion auprès des potentiels clients. Il ne trouvait ainsi aucune difficulté à trouver des locataires. Achetant régulièrement de nouveaux biens, il se constitua un certain capital, qu'il mit à profit pour acheter des appartements puis des immeubles.
À cette étape du développement de son entreprise, il avait assez d'argent pour employer des agents immobiliers. Ainsi son travail se réduisait a évaluer le potentiel de chaque bien qu'il comptait acheter, d'observer l'évolution du marché pour savoir lequel de ses biens il valait mieux vendre et de faire jouer le réseau notamment de courtiers qu'il s'était constitué.
Ce n'était pas sa seule activité. Il possédait également sa propre ligne de vêtements féminins et faisait de l'import-export. A partir du moment où il dût travailler avec plusieurs devises (dollars, euros...), cela devint nécessaire d'entrer en relation avec plusieurs courtiers .
Raphaël apprit alors beaucoup de choses sur ce métier. D'abord le marché des changes (Forex) est un marché financier où se vendent les devises (dollars, livre sterling, euros...) , pour faire simple, un marché où les gens échangent leur monnaie. Par exemple, une personne vend 10€ et veut des dollars. Elle pense que les dollars vaudront plus que les euros.
Si il pense l'inverse, que les euros vaudront plus que les dollars alors il devrais lui acheter les 10€ pour plus cher qu'ils ne valent aujourd'hui.
Il misera alors sur leur prix demain, de même que la personne qui les a vendus misera sur le prix des dollars demain.
Ainsi il faut toujours acheter de la devise que l'on pense qui va monter a quelqun qui pense qu'elle va descendre.
Si une organisation veut effectuer des transactions officielles, il lui faudra passer par le Forex.
Plusieurs des banques qui échangent les devises se voient attribuer des missions pour le compte de clients dans des situations difficiles. C'est ici que les courtiers interviennent. Ce sont des prêtes noms, c'est a dire des personnes qui agissent en le nom de clients qui souhaitent rester anonymes, par lesquells transitent ces énormes flux de capitaux. La réglementation internationale leur permet certains... "Montages", certaines magouilles qui leur permet de faire croire que tout est juste, et dans les clous. Ainsi, les organisations suppisées superviser tout cela et maintenir l'ordre ne voient rien.
Par exemple, il y a des gens, en occident qui possèdent des comptes dans d'autres pays qui les fait ne pas payer les impôts dans leur pays de résidence, ce qui est parfaitement légal. Ce genre de "montages" faisait partie du métier de courtier.
Il était donc en relation avec beaucoup de courtiers. Dont Brett, un homme d'âge mûr qui a une grande expérience dans le monde de l'entreprise et de la finance.
Raphaël entra dans son cabinet. Il commença par des mondanités mais Brett le coupa court :
-Je t'ai beaucoup observé et tu es toujours occupé. Tu gagnes de l'argent, nous le savons bien. Mais quel est ton objectif ?
-Gagner un maximum d'argent.
- Dans ce cas arrête tous ce que tu fais, vend toutes tes sociétés, Raphaël, et lance toi dans la gestion d'argent et entre dans le monde de la finance.
Raphaël réfléchit puis répondit positivement.
-Je vais de former et t'introduire au réseau, mais, comme tu le sais ça a un prix, dit Brett en examinant l'expression du jeune entrepreneur. Je veux 10% de tes gains annuels.
Raphaël réfléchit quelques instants, puis répondit:
-C'est d'accord, ça me va très bien.
- Mais il y a une chose que tu dois savoir, ajouta le courtier d'un air grave. Si tu es incapable de mettre ta conscience au congélateur, et par congélateur j'entends -100°C et pas -18°C, alors ne le fais pas.
Raphaël éclata de rire. Cela ne lui semblait pas très difficile à faire. Il avait le sentiment de l'avoir déjà partiellement fait, par instinct de conservation.
Ainsi il se lança dans ce projet et commença petit à petit à se constituer une clientèle. Au cours de sa carrière, il s'enfonça plus profondément dans les réseaux et il remarqua que plus on montait dans la "hiérarchie", plus le cercle de personne était restreint. Ainsi, les plus grands flux d'argent du monde circulaient entre les mains d'une minorité.
Il découvrit le métier, et les "montages" qu'il fallait faire. Un de ses travaux par exemple fut au début du boycott d'un pays nommé Ytan.
Ce dernier n'avait plus le droit de vendre son énergie.
Sauf que, l'énergie, on a beau interdire sa vente ça ne change presque rien. Ça a juste forcé l'Ytan a faire des remises. Cette énergie a toujours été vendue en dodash, la monnaie de l'Ytan. Ainsi tous ces dodash devaient aller quelque part, mais où ?
Les gens ne pouvaient pas se présenter à la banque avec des dodash Ytaniens, car ce serait remarqué et interdit. Alors il faut quelqun pour porter le chapeau. Alors certains états ont recours aux courtiers. Raphaël fut appelé par l'un d'entre eux, l'Aria. Ils lui donnèrent rendez vous dans le sous sol d'une banque.
Il s'y présenta bien en avance. Il s'assit sur des sièges de la banque attendant qu'on vienne le chercher.
Une femme s'approcha de lui, un sourire faux plaqué sur le visage.
Elle lui dit quelques mots qu'il ne compris pas. La langue de ce pays lui était inconnue mais il devinait qu'elle lui demandait s'il avait besoin de son aide ou quelque chose de ce type. Elle ne pouvait pas être là personne qu'il attendait. Il l'aurait abordé en anglais, et outre ça, les gens de son milieu dégagent quelque chose de différent que cette bonne femme.
Au bout de quelques dizaines de minutes, un homme vint à sa rencontre. Il était petit et fin, bien peu imposant, mais dans ses yeux brillait une intelligence qui ferait se méfier même le plus fort des hommes.
Le banquier le conduisit à travers des couloirs blancs jusqu'à une porte derrière laquelle descendaient de sombres escaliers. Il s'étonna du contraste entre la technologie de couloirs blancs et le côté rustre de ces marches qui disparaissent trop vite dans un noir profond qui n'inspirait reine de bon à Raphaël. À croire qu'ils menaient aux Enfers. Mais quand ils y passèrent des néons s'allumèrent automatiquement. Quand la banquier ouvrit la porte, Raphaël fut en quelques sorte soulagé de ce qu'il vit. Pas de feu ne l'attendait. Juste plein de camions dans un sous sol.
Toujours sans un mot, le banquier s'avança et ouvrit l'arrière de cinq camion de cinq compagnies de transport différentes. Ils étaient rempli de dodash Ytaniens.
- Il faut que vous en fassiez quelque chose, les transformer en livre sterling, ou en euros pour que tout cet argent puisse être remis en circulation, dit enfin l'homme.
C'était la mission que Raphaël et ses collègues avaient reçue.
Il fallait trouver un moyen de réintroduire tous ces dodash dans le circuit pour que l'Ytan puisse continuer à négocier librement son énergie.
Ceux qui achetaient l'énergie de l'Ytan étaient ceux qui avaient ordonné le boycott en premier lieu.
" En fin de compte ils sont tous amis et du même côté, pensa Raphaël. Tout le monde s'imagine qu'ils sont opposés, qu'il y a les méchants d'un côté et les gentils de l'autre mais a ce niveau ils travaillent tous ensemble "
Ces découvertes menèrent le jeune homme a une nouvelle façon de voir le monde. Il voyait que les gens des niveaux supérieurs s'amusaient de ceux d'en bas qui se haissaient alors que leurs chefs sont amis. Cependant les boss doivent respecter les règles, qu'ils ont eux même créés, pour garder la majorité ignorante. Donc il faut jouer selon ses propres règles.
Ce qu'il faut alors faire, c'est d'être certain que personne ne puisse remonter jusqu'à vous. Si une erreur était commise, elle serait detectée, si elle est détectée alors une personne ignorante serait intervenue.
Pour occuper une telle position il fallait avoir des nerfs en acier, et Raphaël en était doté. Pour arriver au plus proche du sommet, il fallait avoir des compétences qui le faisaient se détacher des autres, comme la compétence de rassembler les informations de manière à obtenir une vision globale, tout cela devait être pris en compte sur le terrain. Raphaël sortait du lot et avait en plus une approche novatrice dans la résolution des problèmes. Il trouvait cela amusant de créer des solutions, de toujours avoir une longueur d'avance, d'être plus malin que les autres, tout en respectant les règles , il se jouait d'eux, tout en faisant tout correspondre à la perfection.
Raphaël adorait ce jeu. C'était si grisant, de se sentir au dessus, d'avoir la sensation de tout contrôler !
Mais d'un autre côté, il en découvrait aussi toujours plus, sur le monde réel. Ses clients lui en apprenaient beaucoup. Il était amené à négocier avec de banques, des multinationales, des états, des services secrets, des organisations terroristes. Il voyait ainsi les connexions entre eux, il était au milieu et voyait les trajets de l'argent entre chacun des acteurs.
Dans une de ses missions, lui et ses collègues avaient fait une vente massive d'une devise, le luh. Sa valeur a donc baissé, faisant faire faillite a une entreprise qui en dépendait.
Quelques temps plus tard, un de ses collègues le rejoint dans une des salles de négociation où il discutait avec des amis et lui dit : - Raph, tu te rappelles de cette fois où on a vendu plein de luh et où ça avait fait baisser sa valeur ? Une entreprise avait faillite.
- Oui, je m'en rappelle
- Le patron s'est suicidé, laissant une famille derrière lui ! pouffa-t-il.
Raphaël éclata de rire avec ses amis et collègues. Il était galvanisé par son sentiment de toute puissance, il voyait les gens comme de la marchandise, des déchets négligables. La Terre pouvait bien être brûlée, tant qu'il accomplissait ses objectifs et faisait du profit, cela lui était égal.
La plupart de ses collaborateurs ont sombré dans l'alcool et les drogues mais lui non.
Après être entré dans les cercles profonds il dit signer un contrat. Il fut convoqué. Il alla a l'heure indiquée à l'endroit indiqué. Il patienta devant de grandes portes de bois. Elles étaient d'une couleur profonde et de des lignes sinueuses étaient gravés en une magnifique arabesque dessus. Sa contemplation de ces motifs fut interrompue par l'ouverture des portes. Un homme d'âge mûr, environ quarante ans, à la bedaine généreuse, en costume gris lui ouvrit la porte. Il lui font signe de le suivre et s'enfonça dans la pièce sombre. Raphaël lui emboîta le pas. Il se trouva dans une pièce, avec les boss des plus importantes organisations avec lesquelles il avait travaillé ainsi que beaucoup de ses collaborateurs.
- Aujourd'hui vous allez signer ce contrat, dit un chef de multinationale que Raphaël connaissait bien pour avoir été de nombreuses fois son prête-nom.
Sur le contrat il était stipulé que les courtiers qui le signeraient seraient tenus de garder secret le nom des organisations et entreprises avec lesquelles il travaillait.
Il accepta et fut invité dans plusieurs fêtes avec ses collègues et ses clients.
La plupart des personnes de ces cercles n'obéissent pas aux religions dominantes, la plupart sont lucifériens, c'est-à-dire qu'ils servent quelque chose d'immatériel qu'ils appellent Lucifer. Mais cela, Raphaël s'en moquait ! Pour lui ce n'était que des clients. Lors d'une des fêtes organisés par ses clients il fut invité à l'une des églises de Satan. Il marcha avec eux et assista à leur messe. Il s'assit sur un banc avec des associés et les clients qui l'avaient invité et ils burent des liqueurs et des femmes nue vinrent, danser. Cela le faisait rire et il s'amusait beaucoup avec ses clients !
Un jour, il fut invité cet fois a un rituel auquel il n'avait jamais assisté, un sacrifice. Il y alla, détendu comme a son habitude mais il vit quelque chose qui le choqua a tout jamais. Des enfants... Des enfants étaient torturés et pénétrés par des hommes adultes... Par ses clients, qui, souriants se tournèrent vers lui.
- Viens ! Fais le, toi aussi !
***
Bon, tout le monde, je suis désolée si c'est pas fou, c'est mon tout premier roman, et aussi, je tire mon inspiration de la finance pour les courtiers et tout ça mais je vous rassure, c'est de la fiction pour le reste ! Je me disais juste que ce serait plus horrible si ça ressemblait au monde réel. Comme ça on peut mieux s'imaginer si c'est vrai...
Sinon les amis, critiquez de toute votre âme, je veux progresseeerrr !!
Il se trouve dans les grandes villes occidentales certaines personnes dont la vue inspire la jalousie que certains ont pour ceux qui ont réussi ce qu'ils n'ont eux même pas accompli.
Ils se tiennent droit arborant dans leur visage et leur habit une confiance pressée. Leurs pas sont grands et rapides, leurs chaussures faisant sonner leur claquement caractéristique contre les pavés, ils avancent avec détermination.
Leur destination ? Cela dépend. Pour Raphaël, c'est souvent chez ses courtiers.
Avant, c'était vers ses biens que ses pas le dirigeaient. Il achetait un studio à l'aide d'un prêt puis faisait habilement sa promotion auprès des potentiels clients. Il ne trouvait ainsi aucune difficulté à trouver des locataires. Achetant régulièrement de nouveaux biens, il se constitua un certain capital, qu'il mit à profit pour acheter des appartements puis des immeubles.
À cette étape du développement de son entreprise, il avait assez d'argent pour employer des agents immobiliers. Ainsi son travail se réduisait a évaluer le potentiel de chaque bien qu'il comptait acheter, d'observer l'évolution du marché pour savoir lequel de ses biens il valait mieux vendre et de faire jouer le réseau notamment de courtiers qu'il s'était constitué.
Ce n'était pas sa seule activité. Il possédait également sa propre ligne de vêtements féminins et faisait de l'import-export. A partir du moment où il dût travailler avec plusieurs devises (dollars, euros...), cela devint nécessaire d'entrer en relation avec plusieurs courtiers .
Raphaël apprit alors beaucoup de choses sur ce métier. D'abord le marché des changes (Forex) est un marché financier où se vendent les devises (dollars, livre sterling, euros...) , pour faire simple, un marché où les gens échangent leur monnaie. Par exemple, une personne vend 10€ et veut des dollars. Elle pense que les dollars vaudront plus que les euros.
Si il pense l'inverse, que les euros vaudront plus que les dollars alors il devrais lui acheter les 10€ pour plus cher qu'ils ne valent aujourd'hui.
Il misera alors sur leur prix demain, de même que la personne qui les a vendus misera sur le prix des dollars demain.
Ainsi il faut toujours acheter de la devise que l'on pense qui va monter a quelqun qui pense qu'elle va descendre.
Si une organisation veut effectuer des transactions officielles, il lui faudra passer par le Forex.
Plusieurs des banques qui échangent les devises se voient attribuer des missions pour le compte de clients dans des situations difficiles. C'est ici que les courtiers interviennent. Ce sont des prêtes noms, c'est a dire des personnes qui agissent en le nom de clients qui souhaitent rester anonymes, par lesquells transitent ces énormes flux de capitaux. La réglementation internationale leur permet certains... "Montages", certaines magouilles qui leur permet de faire croire que tout est juste, et dans les clous. Ainsi, les organisations suppisées superviser tout cela et maintenir l'ordre ne voient rien.
Par exemple, il y a des gens, en occident qui possèdent des comptes dans d'autres pays qui les fait ne pas payer les impôts dans leur pays de résidence, ce qui est parfaitement légal. Ce genre de "montages" faisait partie du métier de courtier.
Il était donc en relation avec beaucoup de courtiers. Dont Brett, un homme d'âge mûr qui a une grande expérience dans le monde de l'entreprise et de la finance.
Raphaël entra dans son cabinet. Il commença par des mondanités mais Brett le coupa court :
-Je t'ai beaucoup observé et tu es toujours occupé. Tu gagnes de l'argent, nous le savons bien. Mais quel est ton objectif ?
-Gagner un maximum d'argent.
- Dans ce cas arrête tous ce que tu fais, vend toutes tes sociétés, Raphaël, et lance toi dans la gestion d'argent et entre dans le monde de la finance.
Raphaël réfléchit puis répondit positivement.
-Je vais de former et t'introduire au réseau, mais, comme tu le sais ça a un prix, dit Brett en examinant l'expression du jeune entrepreneur. Je veux 10% de tes gains annuels.
Raphaël réfléchit quelques instants, puis répondit:
-C'est d'accord, ça me va très bien.
- Mais il y a une chose que tu dois savoir, ajouta le courtier d'un air grave. Si tu es incapable de mettre ta conscience au congélateur, et par congélateur j'entends -100°C et pas -18°C, alors ne le fais pas.
Raphaël éclata de rire. Cela ne lui semblait pas très difficile à faire. Il avait le sentiment de l'avoir déjà partiellement fait, par instinct de conservation.
Ainsi il se lança dans ce projet et commença petit à petit à se constituer une clientèle. Au cours de sa carrière, il s'enfonça plus profondément dans les réseaux et il remarqua que plus on montait dans la "hiérarchie", plus le cercle de personne était restreint. Ainsi, les plus grands flux d'argent du monde circulaient entre les mains d'une minorité.
Il découvrit le métier, et les "montages" qu'il fallait faire. Un de ses travaux par exemple fut au début du boycott d'un pays nommé Ytan.
Ce dernier n'avait plus le droit de vendre son énergie.
Sauf que, l'énergie, on a beau interdire sa vente ça ne change presque rien. Ça a juste forcé l'Ytan a faire des remises. Cette énergie a toujours été vendue en dodash, la monnaie de l'Ytan. Ainsi tous ces dodash devaient aller quelque part, mais où ?
Les gens ne pouvaient pas se présenter à la banque avec des dodash Ytaniens, car ce serait remarqué et interdit. Alors il faut quelqun pour porter le chapeau. Alors certains états ont recours aux courtiers. Raphaël fut appelé par l'un d'entre eux, l'Aria. Ils lui donnèrent rendez vous dans le sous sol d'une banque.
Il s'y présenta bien en avance. Il s'assit sur des sièges de la banque attendant qu'on vienne le chercher.
Une femme s'approcha de lui, un sourire faux plaqué sur le visage.
Elle lui dit quelques mots qu'il ne compris pas. La langue de ce pays lui était inconnue mais il devinait qu'elle lui demandait s'il avait besoin de son aide ou quelque chose de ce type. Elle ne pouvait pas être là personne qu'il attendait. Il l'aurait abordé en anglais, et outre ça, les gens de son milieu dégagent quelque chose de différent que cette bonne femme.
Au bout de quelques dizaines de minutes, un homme vint à sa rencontre. Il était petit et fin, bien peu imposant, mais dans ses yeux brillait une intelligence qui ferait se méfier même le plus fort des hommes.
Le banquier le conduisit à travers des couloirs blancs jusqu'à une porte derrière laquelle descendaient de sombres escaliers. Il s'étonna du contraste entre la technologie de couloirs blancs et le côté rustre de ces marches qui disparaissent trop vite dans un noir profond qui n'inspirait reine de bon à Raphaël. À croire qu'ils menaient aux Enfers. Mais quand ils y passèrent des néons s'allumèrent automatiquement. Quand la banquier ouvrit la porte, Raphaël fut en quelques sorte soulagé de ce qu'il vit. Pas de feu ne l'attendait. Juste plein de camions dans un sous sol.
Toujours sans un mot, le banquier s'avança et ouvrit l'arrière de cinq camion de cinq compagnies de transport différentes. Ils étaient rempli de dodash Ytaniens.
- Il faut que vous en fassiez quelque chose, les transformer en livre sterling, ou en euros pour que tout cet argent puisse être remis en circulation, dit enfin l'homme.
C'était la mission que Raphaël et ses collègues avaient reçue.
Il fallait trouver un moyen de réintroduire tous ces dodash dans le circuit pour que l'Ytan puisse continuer à négocier librement son énergie.
Ceux qui achetaient l'énergie de l'Ytan étaient ceux qui avaient ordonné le boycott en premier lieu.
" En fin de compte ils sont tous amis et du même côté, pensa Raphaël. Tout le monde s'imagine qu'ils sont opposés, qu'il y a les méchants d'un côté et les gentils de l'autre mais a ce niveau ils travaillent tous ensemble "
Ces découvertes menèrent le jeune homme a une nouvelle façon de voir le monde. Il voyait que les gens des niveaux supérieurs s'amusaient de ceux d'en bas qui se haissaient alors que leurs chefs sont amis. Cependant les boss doivent respecter les règles, qu'ils ont eux même créés, pour garder la majorité ignorante. Donc il faut jouer selon ses propres règles.
Ce qu'il faut alors faire, c'est d'être certain que personne ne puisse remonter jusqu'à vous. Si une erreur était commise, elle serait detectée, si elle est détectée alors une personne ignorante serait intervenue.
Pour occuper une telle position il fallait avoir des nerfs en acier, et Raphaël en était doté. Pour arriver au plus proche du sommet, il fallait avoir des compétences qui le faisaient se détacher des autres, comme la compétence de rassembler les informations de manière à obtenir une vision globale, tout cela devait être pris en compte sur le terrain. Raphaël sortait du lot et avait en plus une approche novatrice dans la résolution des problèmes. Il trouvait cela amusant de créer des solutions, de toujours avoir une longueur d'avance, d'être plus malin que les autres, tout en respectant les règles , il se jouait d'eux, tout en faisant tout correspondre à la perfection.
Raphaël adorait ce jeu. C'était si grisant, de se sentir au dessus, d'avoir la sensation de tout contrôler !
Mais d'un autre côté, il en découvrait aussi toujours plus, sur le monde réel. Ses clients lui en apprenaient beaucoup. Il était amené à négocier avec de banques, des multinationales, des états, des services secrets, des organisations terroristes. Il voyait ainsi les connexions entre eux, il était au milieu et voyait les trajets de l'argent entre chacun des acteurs.
Dans une de ses missions, lui et ses collègues avaient fait une vente massive d'une devise, le luh. Sa valeur a donc baissé, faisant faire faillite a une entreprise qui en dépendait.
Quelques temps plus tard, un de ses collègues le rejoint dans une des salles de négociation où il discutait avec des amis et lui dit : - Raph, tu te rappelles de cette fois où on a vendu plein de luh et où ça avait fait baisser sa valeur ? Une entreprise avait faillite.
- Oui, je m'en rappelle
- Le patron s'est suicidé, laissant une famille derrière lui ! pouffa-t-il.
Raphaël éclata de rire avec ses amis et collègues. Il était galvanisé par son sentiment de toute puissance, il voyait les gens comme de la marchandise, des déchets négligables. La Terre pouvait bien être brûlée, tant qu'il accomplissait ses objectifs et faisait du profit, cela lui était égal.
La plupart de ses collaborateurs ont sombré dans l'alcool et les drogues mais lui non.
Après être entré dans les cercles profonds il dit signer un contrat. Il fut convoqué. Il alla a l'heure indiquée à l'endroit indiqué. Il patienta devant de grandes portes de bois. Elles étaient d'une couleur profonde et de des lignes sinueuses étaient gravés en une magnifique arabesque dessus. Sa contemplation de ces motifs fut interrompue par l'ouverture des portes. Un homme d'âge mûr, environ quarante ans, à la bedaine généreuse, en costume gris lui ouvrit la porte. Il lui font signe de le suivre et s'enfonça dans la pièce sombre. Raphaël lui emboîta le pas. Il se trouva dans une pièce, avec les boss des plus importantes organisations avec lesquelles il avait travaillé ainsi que beaucoup de ses collaborateurs.
- Aujourd'hui vous allez signer ce contrat, dit un chef de multinationale que Raphaël connaissait bien pour avoir été de nombreuses fois son prête-nom.
Sur le contrat il était stipulé que les courtiers qui le signeraient seraient tenus de garder secret le nom des organisations et entreprises avec lesquelles il travaillait.
Il accepta et fut invité dans plusieurs fêtes avec ses collègues et ses clients.
La plupart des personnes de ces cercles n'obéissent pas aux religions dominantes, la plupart sont lucifériens, c'est-à-dire qu'ils servent quelque chose d'immatériel qu'ils appellent Lucifer. Mais cela, Raphaël s'en moquait ! Pour lui ce n'était que des clients. Lors d'une des fêtes organisés par ses clients il fut invité à l'une des églises de Satan. Il marcha avec eux et assista à leur messe. Il s'assit sur un banc avec des associés et les clients qui l'avaient invité et ils burent des liqueurs et des femmes nue vinrent, danser. Cela le faisait rire et il s'amusait beaucoup avec ses clients !
Un jour, il fut invité cet fois a un rituel auquel il n'avait jamais assisté, un sacrifice. Il y alla, détendu comme a son habitude mais il vit quelque chose qui le choqua a tout jamais. Des enfants... Des enfants étaient torturés et pénétrés par des hommes adultes... Par ses clients, qui, souriants se tournèrent vers lui.
- Viens ! Fais le, toi aussi !
***
Bon, tout le monde, je suis désolée si c'est pas fou, c'est mon tout premier roman, et aussi, je tire mon inspiration de la finance pour les courtiers et tout ça mais je vous rassure, c'est de la fiction pour le reste ! Je me disais juste que ce serait plus horrible si ça ressemblait au monde réel. Comme ça on peut mieux s'iaginer si c'est vrai...
Sinon les amis, critiquez de toute votre âme, je veux progresseeerrr !!
Jvne comprends pas pourquoi ce qu'il y a en dessous apparaît... j'ai fait de mon mieux pour l'enlever mais il réapparaîtréapparaît par magie.
SOSSOS
bugbug. C'est moi qui ne sais pas l'utiliser ? tout bugbug. C'est moi qui ne sais pas l'utiliser ?bugbug. C'est moi qui ne sais pas l'utiliser ? tout bugbug. C'est moi qui ne sais pas l'utiliser ?
ut bugbug. C'est moi qui ne sais pas l'utiliser ? tout bugbug. C'est moi qui ne sais pas l'utiliser ?ut bugbug. C'est moi qui ne sais pas l'utiliser ? tout bugbug. C'est moi qui ne sais pas l'utiliser ?
bas qui se haissaient alors que leurs chefs sont amis. Cependant les boss doivent respecter les règles, qu'ils ont eux même créés, pour garder la majorité ignorante. Donc il faut jouer selon ses propres règles.
bas qui se haissaient alors que leurs chefs sont amis. Cependant les boss doivent respecter les règles, qu'ils ont eux même créés, pour garder la majorité ignorante. Donc il faut jouer selon ses propres règles.
bas qui se haissaient alors que leurs chefs sont amis. Cependant les boss doivent respecter les règles, qu'ils ont eux même créés, pour garder la majorité ignorante. Donc il faut jouer selon ses propres règles.
bas qui se haissaient alors que leurs chefs sont amis. Cependant les boss doivent respecter les règles, qu'ils ont eux même créés, pour garder la majorité ignorante. Donc il faut jouer selon ses propres règles.
bas qui se haissaient alors que leurs chefs sont amis. Cependant les boss doivent respecter les règles, qu'ils ont eux même créés, pour garder la majorité ignorante. Donc il faut jouer selon ses propres règles.bas qui se haissaient alors que leurs chefs sont amis. Cependant les boss doivent respecter les règles, qu'ils ont eux même créés, pour garder la majorité ignorante. Donc il faut jouer selon ses propres règles.
n bas qui se haissaient alors que leurs chefs sont amis. Cependant les boss doivent respecter les règles, qu'ils ont eux même créés, pour garder la majorité ignorante. Donc il faut jouer selon ses propres règles.
n s.
Ce qu'il faut alors faire, c'est d'être certain que personne ne puisse remonter jusqu'à vous. Si une erreur était commise, elle serait detectée, si elle est détectée alors une personne ignorante serait intervenue.
Pour occuper une telle position il fallait avoir des nerfs en acier, et Raphaël en était doté. Pour arriver au plus proche du sommet, il fallait avoir des compétences qui le faisaient se détacher des autres, comme la compétence de rassembler les informations de manière à obtenir une vision globale, tout cela devait être pris en compte sur le terrain. Raphaël sortait du lot et avait en plus une approche novatrice dans la résolution des problèmes. Il trouvait cela amusant de créer des solutions, de toujours avoir une longueur d'avance, d'être plus malin que les autres, tout en respectant les règles , il se jouait d'eux, tout en faisant tout correspondre à la perfection.
Raphaël adorait ce jeu. C'était si grisant, de se sentir au dessus, d'avoir la sensation de tout contrôler !
Mais d'un autre côté, il en découvrait aussi toujours plus, sur le monde réel. Ses clients lui en apprenaient beaucoup. Il était amené à négocier avec de banques, des multinationales, des états, des services secrets, des organisations terroristes. Il voyait ainsi les connexions entre eux, il était au milieu et voyait les trajets de l'argent entre chacun des acteurs.
Dans une de ses missions, lui et ses collègues avaient fait une vente massive d'une devise, le luh. Sa valeur a donc baissé, faisant faire faillite a une entreprise qui en dépendait.
Quelques temps plus tard, un de ses collègues le rejoint dans une des salles de négociation où il discutait avec des amis et lui dit : - Raph, tu te rappelles de cette fois où on a vendu plein de luh et où ça avait fait baisser sa valeur ? Une entreprise avait faillite.
- Oui, je m'en rappelle
- Le patron s'est suicidé, laissant une famille derrière lui ! pouffa-t-il.
Raphaël éclata de rire avec ses amis et collègues. Il était galvanisé par son sentiment de toute puissance, il voyait les gens comme de la marchandise, des déchets négligables. La Terre pouvait bien être brûlée, tant qu'il accomplissait ses objectifs et faisait du profit, cela lui était égal.
La plupart de ses collaborateurs ont sombré dans l'alcool et les drogues mais lui non.
Après être entré dans les cercles profonds il dit signer un contrat. Il fut convoqué. Il alla a l'heure indiquée à l'endroit indiqué. Il patienta devant de grandes portes de bois. Elles étaient d'une couleur profonde et de des lignes sinueuses étaient gravés en une magnifique arabesque dessus. Sa contemplation de ces motifs fut interrompue par l'ouverture des portes. Un homme d'âge mûr, environ quarante ans, à la bedaine généreuse, en costume gris lui ouvrit la porte. Il lui font signe de le suivre et s'enfonça dans la pièce sombre. Raphaël lui emboîta le pas. Il se trouva dans une pièce, avec les boss des plus importantes organisations avec lesquelles il avait travaillé ainsi que beaucoup de ses collaborateurs.
- Aujourd'hui vous allez signer ce contrat, dit un chef de multinationale que Raphaël connaissait bien pour avoir été de nombreuses fois son prête-nom.
Sur le contrat il était stipulé que les courtiers qui le signeraient seraient tenus de garder secret le nom des organisations et entreprises avec lesquelles il travaillait.
Il accepta et fut invité dans plusieurs fêtes avec ses collègues et ses clients.
La plupart des personnes de ces cercles n'obéissent pas aux religions dominantes, la plupart sont lucifériens, c'est-à-dire qu'ils servent quelque chose d'immatériel qu'ils appellent Lucifer. Mais cela, Raphaël s'en moquait ! Pour lui ce n'était que des clients. Lors d'une des fêtes organisés par ses clients il fut invité à l'une des églises de Satan. Il marcha avec eux et assista à leur messe. Il s'assit sur un banc avec des associés et les clients qui l'avaient invité et ils burent des liqueurs et des femmes nue vinrent, danser. Cela le faisait rire et il s'amusait beaucoup avec ses clients !
Un jour, il fut invité cet fois a un rituel auquel il n'avait jamais assisté, un sacrifice. Il y alla, détendu comme a son habitude mais il vit quelque chose qui le choqua a tout jamais. Des enfants... Des enfants étaient torturés et pénétrés par des hommes adultes... Par ses clients, qui, souriants se tournèrent vers lui.
- Viens ! Fais le, toi aussi !
***
Bon, tout le monde, je suis désolée si c'est pas fou, c'est mon tout premier roman, et aussi, je tire mon inspiration de la finance pour les courtiers et tout ça mais je vous rassure, c'est de la fiction pour le reste ! Je me disais juste que ce serait plus horrible si ça ressemblait au monde réel. Comme ça on peut mieux s'imaginer si c'est vrai...
Sinon les amis, critiquez de toute votre âme, je veux progresseeerrr !!
se trouve dans les grandes villes occidentales certaines personnes dont la vue inspire la jalousie que certains ont pour ceux qui ont réussi ce qu'ils n'ont eux même pa
se tiennent droit arborant dans leur visage et leur habit une confiance pressée. pas sont grands et rapides, leurs chaussures faisant sonner leur claquement caractéristique contre les pavés, ils avancent avec détermination.
Leur destination ? Cela dépend. Pour Raphaël, c'est souvent chez ses courtier
Bon, tout le monde, je suismst mon tout premier roman, et aussi, je tire mon inspiration de la finance pour les courtiers et tout ça mais je vous rassure, c'est de la fiction pour le reste ! Je me disais juste que ce serait plus horrible si ça ressemblait au monde réel. Comme ça on peut mieux s'imaginer si c'est vrai...
Sinon les amis, t n'avait plus le droit de vendre son .
Sauf que, l'énergie, on a beau interdire sa vente ça ne change presque rien. Ça a juste forcé l'Ytan a faire . Cette énergie a toujours été vendue enen
dodash, la monnaie de l'Ytan. Ainsi tous ces dodash devaient aller quelque part, mais où ?
Les gens ne pouvaient pasporter le chapeau. Alors certains états ont recours aux courtiers. Raphaël fut appeler par l'un d'entre eux, l'Aria. Ils lui donnèrent rendez vous dans le sous sol d'une banque. Il y alla et remarqué que ce sous sol était empli de camions. Il les observa de plus près et vit que c'était des camions de plusieurs compagnies de transports. " Bah oui, logique, ils ont bien besoin d'acheminer beaucoup de choses les banques".
L'homme qui l'avait conduit jusqu'ici se retourna.
- Suivez moi.
s'approcha d'un des camions et l'ouvrit sous les yeux ébahis de Raphaël. Il était rempli de dodash Ytaniens. Il ouvrit ensuite chacun des autres camions, et ils étaient tous emplis de dodash.
- Il que vous en fassiez quelque chose, les transformer en livre sterling, ou en euros pour que tout cet argent puisse être remis en circulation.
C'était la mission que Raphaël et ses collègues avaient reçue.
Il fallait trouver un moyen de réintroduire tous ces dodash dans le circuit pour que l'Ytan puisse continuer à négocier librement son énergie.
Ceux qui achetaient (illégalement, si vous avez suivi) l'énergie de l'Ytan étaient ceux qui avaient ordonné le boycott en premier lieu.
" En fin de compte ils sont tous amis et du
se tiennent droit arborant dans leur visage et leur habit une confiance pressée. insi tous ces dodash devaient aller quelque part, mais où ?
Les gens ne pouvaient pasporter le chapeau t n'avait plus le droit de vendre son .
Sauf que, l'énergie, on a beau interdire sa vente ça ne change presque rien. Ça a juste forcé l'Ytan a faire . Cette énergie a toujours été vendue enen
dodash, la monnaie de l'Ytan. Ainsi tous ces dodash devaient aller quelque part, mais où ?
Les gens ne pouvaient pasporter le chapeau. Alors certains états ont recours aux courtiers. Raphaël fut appeler par l'un d'entre eux, l'Aria. Ils lui donnèrent rendez vous dans le sous sol d'une banque. Il y alla et remarqué que ce sous sol était empli de camions. Il les observa de plus près et vit que c'était des camions de plusieurs compagnies de transports. " Bah oui, logique, ils ont bien besoin d'acheminer beaucoup de choses les banques".
L'homme qui l'avait conduit jusqu'ici se retourna.
- Suivez moi.
s'approcha d'un des camions et l'ouvrit sous les yeux ébahis de Raphaël. Ytaniens. Il ouvrit ensuite chacun des autres camions, et ils t emplis de dodash.
- Il
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