Cocasse. C'est le seul mot qu’Anaïs trouva pour décrire les évènements. La cousine de Maxime qui lui envoie des messages en même temps que lui puis Maxime qui lui annoncer qu'il lui a fait un cunnilingus pendant qu'elle lui faisait une fellation dans un petit bois. Surtout qu'elle se promenait sur le GR R2 pour échauffer ses muscles pour demain. Recevoir ses messages alors qu'elle était dans la forêt de la Providence ne pouvait être qu'un signe du destin même si ce qu'elle s'apprêtait à faire n'était pas très catholique. Comme l'avait fait Ludivine et Maxime elle se dirigea vers des fourrés pour se faire plaisir mais elle découvrit qu'elle n'était pas la seule à avoir eu cette idée. Adossé à un bois noir des hauteurs était en train de se caresser les seins et leur vulve tout en s'embrassent. La première une grande blonde aux cheveux dorés avait une jupe patineuse noire retroussé sur le ventre, une culotte bleue à hauteur des genoux et un chemisier blanc ouvert sur une généreuse poitrine tandis qu'un soutien-gorge de la même couleur que sa culotte était à ses pieds. La deuxième avait des cheveux roux auburn ondulé, son mini short était descendu a mis cuisse et son top jaune était remonté au-dessus de ses petits seins. Anaïs savait les ayant déjà vu qu’elles venaient du même hôtel. Elle se rapprocha légèrement. Et s'adossa a un arbre dernière un buisson ce qui lui permettait de voir sans être vu et glissa sa main droite sous son legging pour y trouver un clitoris qui commençait déjà à durcir. Pendant ce temps-là sa main gauche avait remonté sa brassière pour qu'elle puisse accéder à sa poitrine. Juste à coter la blonde a décidé d'accélérer les choses en se mettant à genoux et en commençant à lécher la vulve de la rousse. Cette dernière occupait donc ses deux mains en caressant ces tétons. Anaïs arrêta de se caresser au niveau de son entrejambe le temps qu'elle lèche ses doigts il se délecte de son nectar. Puis se doit repartir à l'assaut de sa pierre de feu. Tout son corps n'était que désir. Elle avait fortement sous-estimé l'effet que lui avaient fait les messages de Maxime et sa cousine. Elle se retenait tant bien que mal de gémir de plaisir. Heureusement pour elle la rousse ne se priver pas de crier son bonheur. Anaïs ne put retenir un cri en même temps que plusieurs jets sorte de sa vulve trempée de désir, mais la rousse était aussi en train de jouir et ses cries étaient bien plus puissant. Anaïs repris son souffle et constata que son éjaculation avait provoqué une tache plus sombre sur le devant de son legging. Elle décida de ne pas s'en préoccuper pour le moment il commença à masser ses tétons dur. Non loin de là les 2 filles avaient échangé leur place et la blonde plaquait la tête de la rousse contre son mont de Vénus. Anaïs alternait le plaisir avec ses seins tantôt en fessant rouler le téton entre son pousse et son indexe, en pinçant ses mamelons ou encore en malaxant sa poitrine. Très vite le plaisir renaît en elle. Et ce n'est pas la seule à ressentir du plaisir, en effet la blonde commence à gémir en prononçant des paroles qui doivent être désengorgement dans une langue qu'elle ne connaît pas. Anaïs continue à suivre son instinct qui la guide depuis 10 minutes sur la voie du plaisir et pince c'est mamelon avant de les tordre violemment. En même temps que la douleur monte jusqu'à son cerveau, une immense vague de plaisir descend jusqu'à son sexe qui lui libère 2 nouvelles vagues de cyprine dans son legging. Anaïs s'éteindre contre l'arbre et réalise que la blonde est elle aussi en train de reprendre son souffle après son propre orgasme. Anaïs n'en revient pas d'avoir eu un orgasme sans touche sans petit abricot. Certes elle sait que ses seins étaient une zone érogène, mais de là à avoir un orgasme en ne s'occupent que d'eux. Elle en est là de ses réflexions quand les deux coquines retournent en direction du sentier de randonnée. Anaïs attend qu'elle soit loin avant d'enfin ce décidée à bouger. C'est à ce moment-là qu'elle remarque que tout le haut de son legging est trempé du fruit de ses deux orgasmes successifs. Si on n'y regarde pas de trop près cela peut ressembler à de la transpiration mais si on y regarde de plus près il est évident que ce n'en ait pas. Elle regrette de ne pas avoir mis de culotte pour limiter les dégâts, mais marché avec le lycra qui frotte doucement sur ses lèvres vaginales était très agréable. Une fois à l'hôtel elle prit des affaires propres dans sa valise et alla directement vers la douche. Une fois dans la cabine elle pointa le jet d'eau vers ses mamelons. C'est tellement bon. Non Laura est à côté ce sera pour une autre fois. Elle finit donc sa douche sans oublier de nettoyer la zone marécageuse entre ses cuisses en résistant à la tentation d'y plonger un doigt. Elle sort enfin de la douche. Et s'allonge sur son lit envoyé un message à Maxime et regarde à nouveau le planning pour demain