Les doigts sur le piano faisaient résonner les notes dans la salle vide. Elle continuait d'écrire la suite sur ses partitions et quand le silence se fit. Elle voulut téléphoner au trompétiste mais n'ayant plus de batterie, elle se mit en quête d'une prise. Proche de l'armoire, elle se baissa et branchait son téléphonne. Soudain, elle entendit un bruit provenant de l'intérieur de l'armoire. La main sur la poignée, elle apréhendait. Elle l'ouvrit doucement et entendit des petits soupirs. Elle referma la porte paniquée, ne sachant que faire. Elle rouvrit la porte en grand et le vit, masqué, ligoté et poignardé. Il tomba à la renverse et elle le retint et se mit à le détacher.

Elle soupira et sortit :

• Purée, il y a toujours un truc !