Joshua
Je rentre du travail, fatigué mais heureux de retrouver ma petite famille et surtout ma magnifique femme. Que j’aime la voir !! Son sourire, son rire, son parfum, son corps, son c…. Hum hum, je m’égare. « Bonjour mon amour de ma vie » lui dis-je en venant l’embrasser. « Bonjour mon chaton » me répond-t-elle en souriant. Elle s’approche de mon oreille après m’avoir embrassé et susurre « J’ai très très chaud et je suis détendue. Mais je pense avoir besoin d’aide pour me sécher après la douche et qu’on me mette de la crème sur TOUT le corps. » Son regard ne laisse aucune place au doute. Elle est si coquine parfois. C’est ce qui m’a fait tomber amoureux d’elle, c’est toutes ces facettes qu’elle seule semble avoir à mes yeux. Tantôt fragile, tantôt inébranlable, parfois douce et câline, d’autres fois torride et sauvage, ma working girl, ma sexy woman, ma femme plantureuse, si classe et avec une telle prestance. Mais lorsqu’elle me dit ses mots, mon dieu, c’est mon corps entier qui s’embrase et ne souhaite qu’être l’esclave de ses désirs. Ma queue est à demi molle mais pour elle je sais que je serais bien dur après.
La soirée se passe comme chaque soir jusqu’au coucher des princesses. Je finis donc de border notre trésor de deux ans et m’empresse de venir dans la chambre car j’entend encore l’eau couler. Je me déshabille et prend quelques minutes pour observer madame sous la douche. L’eau ruisselle sur ses formes voluptueuses, la buée l’enveloppe petit à petit : on dirait un mirage érotique. « Puis-je entrer mademoiselle ? » dis-je en ouvrant la porte vitrée, « avec plaisir monsieur » me répond-t-elle sensuellement. Sa voix est suave et chaleureuse. Elle met l’eau sur moi et commence à dessiner mon corps avec ses mains douces. Puis elle raccroche le pommeau et prend le gel douche pour se savonner. Je lui prends des mains et notre petit jeu commence. En effet, nous aimons parfois nous parler comme si nous étions deux inconnus :
- Vous permettez ?
- Mais certainement. Vous avez l’air d’un vrai gentleman.
- Cela dépend de mon interlocutrice mais vous semblez être une femme très respectable.
- Effectivement, mais qui sait, méfiez-vous…
- Vraiment ? Pourtant vous avez l’air si douce, et votre peau l’est tout autant d’ailleurs.
- Merci mais je sais aussi mordre quand il le faut, être bien plus sauvage et bien moins respectable.
A ces mots, elle joint le geste à la parole en me mordant le lobe de l’oreille. Huuuummmmm! La vilaine fille. Je la retourne et plaque son cul savonneux sur ma bite déjà bien dure. Elle gémit doucement et commence des mouvements de bas en hauts, ma verge coincée entre ses fesses. Putain, que c’est bon. Mes mains enserrent ses hanches puis sa poitrine. Elle se retourne ensuite et avec ses seins plaqués sur mon torse, elle me savonne le haut du corps. Ses mains descendent dans mon dos puis sur mes fesses. Je veux l’embrasser mais elle ne me laisse pas faire. La garce! Ses doigts glissent le long de ma raie et titillent légèrement mon anus. Oh la vache, elle me connait vraiment par cœur. On se rince rapidement et on sort de la douche en s’embrassant fougueusement. En s’approchant du lit, je la pousse pour qu’elle tombe sur le dos. Mes lèvres la parcourent de toute part, mes mains aussi. Puis mes dents mordillent ses tétons déjà bien durs et un de mes doigts glisse le long de sa fente. Son clito est déjà bien gonflé par l’envie. Je joue un peu avec ce qui la fait gémir encore plus. Elle finit par me morde la clavicule pour ne pas crier. J’entre et sort un doigts à plusieurs reprises de son vagin, puis avec mon pouce, je reviens faire joujou avec son clito pendant que mon index et mon majeur pénètre son intérieur bien chaud et humide. Sa main s’est glissée entre nous et elle m’astique avec vigueur, appuyant bien à la base de mon gland pour me donner plus de sensations. Je finis par me redresser et la retourne comme une crêpe. Un petit cri de surprise s’échappe de sa bouche. Et oui, j’ai beau faire que soixante-trois kilos et quelques centimètres de moins, mais j’ai de la force ma grande! Je la tire (sans jeu de mot) sur le bord du lit et lui demande de remonter ses jambes à hauteur de hanches. De cette façon, elle est à la fois à genoux et comme accroupie dos à moi, son cul rebondi bien offert à ma queue frétillante de désir. Mes mains se replacent sur ses hanches et je la pénètre centimètre par centimètre. « Huuuuuuummmmmmm » gémit-elle les yeux mi-clos. Je continue comme ça plusieurs fois puis augmente un peu la cadence, faisant en sorte que chaque fin de pénétration se fasse d’un coup sec. Son cul claque à chaque assaut : j’adore ça. « Vas-y bébé, baise-moi ! » lâche-t-elle entre deux va-et-vient. J’augmente alors la vitesse et la fermeté. Ses fesses sont comme deux lunes pleines avalant ma queue à chaque fois. C’est si bon, c’est trop bon. J’aime la prendre, j’aime la baiser, j’aime la tirer, j’aime ma belle salope, ma belle garce, ma belle…. « Ooooooooooooohhhhhhh non de Dieu de putain de mmmmmmmmmmm ». Pas le temps de finir ma pensée : j’ai joui. Mon sperme se répand en elle au rythme des spasmes qui secouent joyeusement ma queue. Je viens pour me retirer tout doucement mais elle me retient. « Non, reste encore. Et puis je n’ai pas encore joui moi. » dit- elle un sourire lubrique aux lèvres. Je laisse alors ma bite en elle et commence à faire rouler son clito sous mes doigts. Tout en faisant ça, je fais de petit va-et-vient qu’elle ait une double stimulation de son clito. Elle ondule de plaisir et s’embroche sur ma queue encore dure. Sa respiration se fait de plus en plus courte et saccadée, son ventre se crispe, ses doigts s’agrippe aux draps : elle au bord du précipice de la jouissance. Ce petit jeu dire encore quelques minutes lorsque l’orgasme la délivre dans un dernier soupir. Je continue doucement mon petit manège pour qu’il dure plus longtemps. Elle gémit, mord les draps puis serre fort ma main pour me signaler d’arrêter. Elle s’écroule alors sur le lit et éclate de rire comme souvent lorsqu’elle a joui très fort. « Putain que c’est bon. Merci chaton » me dit-elle en m’embrassant délicatement. « Avec plaisir ma déesse » je lui répond en caressant sa joue. Je la prends dans mes bras et dépose un dernier baiser sur son front. Et nous nous endormons rapidement, satisfaits de cette soirée, repus de plaisir et sentant fort le sexe. On recommencera bientôt, c’est certain.
Annotations